Bonjour j'ai un devoir pour demain pourriez vous m'aidez 2. Réécriture aidée : transposer au pluriel. Réécrire le texte suivant en remplaçant « Madame Marty » par « Madame Marty et son amie » Pour t’aider, tous les mots qui doivent être modifiés sont en italiques. Madame Marty demeurait seule, dans la crise finale de la vente. Elle ne pouvait s’en détacher, lasse à mourir, retenue par des liens si forts, qu’elle revenait toujours sur ses pas, sans besoin, battant les rayons de sa curiosité inassouvie. […] Maintenant, elle avait la face animée et nerveuse. Entrée les yeux clairs, la peau fraîche du froid de la rue, elle s’était lentement brûlé la vue et le teint, au spectacle de ce luxe, de ces couleurs violentes, dont le galop continu irritait sa passion. Lorsqu’elle partit enfin, après avoir dit qu’elle paierait chez elle, terrifiée par le chiffre de sa facture, elle avait les traits tirés, les yeux élargis d’une malade. Il lui fallut se battre pour se dégager de l’écrasement obstiné de la porte. Madame Marty et son amie ……
Réécrire le texte suivant en remplaçant « Madame Marty » par « Madame Marty et son amie »
Madame Marty et son amie demeuraient seule, dans la crise finale de la vente. Elles ne pouvaient s’en détacher, lasses à mourir, retenues par des liens si forts, qu’elles revenaient toujours sur leurs pas, sans besoin, battant les rayons de leur curiosité inassouvie.
[…] Maintenant, elles avaient la face animée et nerveuse. Entrées les yeux clairs, la peau fraîche du froid de la rue, elles s’étaient lentement brûlées la vue et le teint, au spectacle de ce luxe, de ces couleurs violentes, dont le galop continu irritait leur passion. Lorsqu’elles partirent enfin, après avoir dit qu’elles paieraient chez elles, terrifiées par le chiffre de sa facture, elles avaient les traits tirés, les yeux élargis d’une malade. Il leur fallut se battre pour se dégager de l’écrasement obstiné de la porte.
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Bonjour
2. Réécriture aidée : transposer au pluriel.
Réécrire le texte suivant en remplaçant « Madame Marty » par « Madame Marty et son amie »
Madame Marty et son amie demeuraient seule, dans la crise finale de la vente. Elles ne pouvaient s’en détacher, lasses à mourir, retenues par des liens si forts, qu’elles revenaient toujours sur leurs pas, sans besoin, battant les rayons de leur curiosité inassouvie.
[…] Maintenant, elles avaient la face animée et nerveuse. Entrées les yeux clairs, la peau fraîche du froid de la rue, elles s’étaient lentement brûlées la vue et le teint, au spectacle de ce luxe, de ces couleurs violentes, dont le galop continu irritait leur passion. Lorsqu’elles partirent enfin, après avoir dit qu’elles paieraient chez elles, terrifiées par le chiffre de sa facture, elles avaient les traits tirés, les yeux élargis d’une malade. Il leur fallut se battre pour se dégager de l’écrasement obstiné de la porte.