Réponse : 1. Michel Leiris raconte l'opération qu'il a subit lorsqu'il était enfant et la fourberie dont ont fait preuve les adultes envers lui
2.Michel Leirus a raconté cette anecdote car cest pour lui "le plus pénible de ses souvenirs". Il explique l'impact que cette expérience a eu sur sa vision de la vie.
3. Le verbe subir est conjugué au passé simple car c'est quelque chose qui s'est produit dans le passé. De plus le reste de la phrase est au passé simple.
C'est le premier Je qui désigne le narrateur adulte car le verbe qui suit est au présent et le deuxième Je désigne le narrateur enfant car le verbe qui suit est au passé simple et décrit une action qu'il a subit dans le passé en étant enfant.
4. Le narrateur qualifie ce souvenir d'une "agression". Il s'exprime comme un adulte
Champ lexical d'agression : choc, brutal, violent
5. Le narrateur porte un jugement négatif sur les adultes de ce souvenir. En effet, il a vécu cette expérience comme "une agression". Ils pense que les adultes sont perfides "d'une perfidie atroce de la part des adultes". De plus Leiris croit que ses parents l'ont piégé : "dans un abominable guet apens" "d'une duperie", "d'un piège".
6. Ces mots appartiennent à l'univers de l'enfance. Le narrateur a choisi de s'exprimer ainsi car cela montre la naïveté des enfants et cela rend le texte plus sincère.
7. L'auteur manifeste sa volonté d'expliquer les faits au lecteur par ces deux expressions : "je veux dire que" et "voici comment les choses se passèrent"
Les autres modalisateurs : "et, sans doute" l.11, "je ne me souviens plus de rien" l.13
Ils traduisent l'exigence de la sincérité dans l'écriture de Leiris, qui essaie de décrire un maximum cette expérience d'après ses souvenirs
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Réponse : 1. Michel Leiris raconte l'opération qu'il a subit lorsqu'il était enfant et la fourberie dont ont fait preuve les adultes envers lui
2.Michel Leirus a raconté cette anecdote car cest pour lui "le plus pénible de ses souvenirs". Il explique l'impact que cette expérience a eu sur sa vision de la vie.
3. Le verbe subir est conjugué au passé simple car c'est quelque chose qui s'est produit dans le passé. De plus le reste de la phrase est au passé simple.
C'est le premier Je qui désigne le narrateur adulte car le verbe qui suit est au présent et le deuxième Je désigne le narrateur enfant car le verbe qui suit est au passé simple et décrit une action qu'il a subit dans le passé en étant enfant.
4. Le narrateur qualifie ce souvenir d'une "agression". Il s'exprime comme un adulte
Champ lexical d'agression : choc, brutal, violent
5. Le narrateur porte un jugement négatif sur les adultes de ce souvenir. En effet, il a vécu cette expérience comme "une agression". Ils pense que les adultes sont perfides "d'une perfidie atroce de la part des adultes". De plus Leiris croit que ses parents l'ont piégé : "dans un abominable guet apens" "d'une duperie", "d'un piège".
6. Ces mots appartiennent à l'univers de l'enfance. Le narrateur a choisi de s'exprimer ainsi car cela montre la naïveté des enfants et cela rend le texte plus sincère.
7. L'auteur manifeste sa volonté d'expliquer les faits au lecteur par ces deux expressions : "je veux dire que" et "voici comment les choses se passèrent"
Les autres modalisateurs : "et, sans doute" l.11, "je ne me souviens plus de rien" l.13
Ils traduisent l'exigence de la sincérité dans l'écriture de Leiris, qui essaie de décrire un maximum cette expérience d'après ses souvenirs
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