Bonjour, j’ai une fiche de lecture à fair en français sur le cœur révélateur de Edgar poe. Je dois faire un résume détaillé et dire les caractéristiques des personnages. Merci !
- il veut arracher la vie du vieillard dans le but de se délivrer de l'oeil du vieux homme à tout jamais
- la maladie a aiguisé ses sens
Le vieux homme
Caractéristique physique :
- œil bleu pâle avec une taie dessus qui ressemble à celui d'un vautour
Autre :
- il est riche
RÉSUMÉ DÉTAILLÉ
Le narrateur décide un jour d'assassiner un vieillard. Pourquoi donc ? C'est à cause de l'œil du vieux homme, cet œil bleu pâle pareil à un vautour. À chaque fois que le narrateur pose ses yeux sur l'oeil de vautour, son sang se glace. Ainsi, dans le but de se délivrer de l'œil, il commet un meurtre.
Pour être prudent, le narrateur procède en plusieurs jours, en 8 jours ou plutôt 8 nuits. Donc, chaque nuits, juste à minuit, il s'introduit dans sa chambre avec précaution, ouvre la lanterne et fait passer un imperceptible filet de lumière qui tombe sur l'œil de vautour. Mais le narrateur trouve toujours l'œil fermé. Ainsi, il lui est impossible d'accomplir l'oeuvre. En effet, il n'a rien contre le vieux homme mais contre son mauvais œil.
La 8ème nuit, alors qu'il ouvre la porte, il pousse un petit rire à l'idée de son triomphe ce qui réveille le vieillard. Ce dernier reste éveillé, il essaie de se persuader que ce bruit vient seulement d'un grillon qui pousse son cri, ou d'une souris qui traverse le parquet ou encore du vent qui souffle dans la cheminée.
Après avoir longtemps attendu, le fin rayon de lumière de la lanterne s'abat sur l'œil de vautour. Celui - ci est ouvert. Le narrateur s'élance dans la chambre avec un grand hurlement, précipite le vieillard sur le parquet et renverse sur lui le poids écrasant du lit. Le vieux meurt.
Le narrateur n'a pas fini son travail. Il dépèce le corps et le dépose sous les planches du parquet qu'il replace ensuite. Quand il finit ses travaux il est 4 heures.
Trois hommes sonnent à la porte quelques temps après. Ce sont des officiers de police. Ils ont été alertés par un voisin qui a entendu un cri. Le narrateur les accueille chaleureusement et les invite à chercher dans toute la maison. Le criminel n'est pas angoissé. À la fin, il conduit les officiers dans la chambre. Il apporte des sièges et les invite à s'asseoir. Le narrateur installe sa chaise à l'endroit même où il a dissimulé le corps et répond gaiement aux questions des officiers. Puis, il entend un tintement dans son oreille ; sa tête lui fait mal. Le tintement devient de plus en plus distinct, de plus en plus fort. Quand il découvre que ce bruit n'est pas dans ses oreilles il devient alors très pâle. Ce bruit sourd, fréquent, ressemble à celui que fait une montre enveloppée. Les officiers ne l'entendent pas encore. Le narrateur bavarde alors davantage, avec plus de véhémence mais le bruit croit incessamment. Il se lève, gesticule dans le but d'atténuer ce bruit. Mais celui-ci augmente. Il devient fort, très fort. La narrateur se demande pourquoi les officiers ne l'entendent pas. Il en conclut qu'ils entendent, qu'ils savent. Les officiers se font un amusement de son effroi. C'est ce que le narrateur croit et il ne peut supporter plus longtemps cette dérision. Il avoue la chose.
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Le Cœur révélateur de Edgar Poe
Le narrateur
Caractéristique physique :
- sens de l'ouïe très fin
Caractéristiques morales :
- très nerveux ; - très prudent
Autre(s) :
- on le croit fou
- il veut arracher la vie du vieillard dans le but de se délivrer de l'oeil du vieux homme à tout jamais
- la maladie a aiguisé ses sens
Le vieux homme
Caractéristique physique :
- œil bleu pâle avec une taie dessus qui ressemble à celui d'un vautour
Autre :
- il est riche
Le narrateur décide un jour d'assassiner un vieillard. Pourquoi donc ? C'est à cause de l'œil du vieux homme, cet œil bleu pâle pareil à un vautour. À chaque fois que le narrateur pose ses yeux sur l'oeil de vautour, son sang se glace. Ainsi, dans le but de se délivrer de l'œil, il commet un meurtre.
Pour être prudent, le narrateur procède en plusieurs jours, en 8 jours ou plutôt 8 nuits. Donc, chaque nuits, juste à minuit, il s'introduit dans sa chambre avec précaution, ouvre la lanterne et fait passer un imperceptible filet de lumière qui tombe sur l'œil de vautour. Mais le narrateur trouve toujours l'œil fermé. Ainsi, il lui est impossible d'accomplir l'oeuvre. En effet, il n'a rien contre le vieux homme mais contre son mauvais œil.
La 8ème nuit, alors qu'il ouvre la porte, il pousse un petit rire à l'idée de son triomphe ce qui réveille le vieillard. Ce dernier reste éveillé, il essaie de se persuader que ce bruit vient seulement d'un grillon qui pousse son cri, ou d'une souris qui traverse le parquet ou encore du vent qui souffle dans la cheminée.
Après avoir longtemps attendu, le fin rayon de lumière de la lanterne s'abat sur l'œil de vautour. Celui - ci est ouvert. Le narrateur s'élance dans la chambre avec un grand hurlement, précipite le vieillard sur le parquet et renverse sur lui le poids écrasant du lit. Le vieux meurt.
Le narrateur n'a pas fini son travail. Il dépèce le corps et le dépose sous les planches du parquet qu'il replace ensuite. Quand il finit ses travaux il est 4 heures.
Trois hommes sonnent à la porte quelques temps après. Ce sont des officiers de police. Ils ont été alertés par un voisin qui a entendu un cri. Le narrateur les accueille chaleureusement et les invite à chercher dans toute la maison. Le criminel n'est pas angoissé. À la fin, il conduit les officiers dans la chambre. Il apporte des sièges et les invite à s'asseoir. Le narrateur installe sa chaise à l'endroit même où il a dissimulé le corps et répond gaiement aux questions des officiers. Puis, il entend un tintement dans son oreille ; sa tête lui fait mal. Le tintement devient de plus en plus distinct, de plus en plus fort. Quand il découvre que ce bruit n'est pas dans ses oreilles il devient alors très pâle. Ce bruit sourd, fréquent, ressemble à celui que fait une montre enveloppée. Les officiers ne l'entendent pas encore. Le narrateur bavarde alors davantage, avec plus de véhémence mais le bruit croit incessamment. Il se lève, gesticule dans le but d'atténuer ce bruit. Mais celui-ci augmente. Il devient fort, très fort. La narrateur se demande pourquoi les officiers ne l'entendent pas. Il en conclut qu'ils entendent, qu'ils savent. Les officiers se font un amusement de son effroi. C'est ce que le narrateur croit et il ne peut supporter plus longtemps cette dérision. Il avoue la chose.