Bonjour, j'ai une rédaction a faire pour demain, en francais. Le sujet c'est que je dois faire la déscription d'un lieu inquiétant tout en utilisant des moyens déscriptif varié ( Comme des expansions du nom, des adjectis superlatif, absolu ou comparatif) et en utilisant des modalisateurs. je dois également provoquer de la peur chez le lecteur et je dois rédiger le texte en narrateur interne. Quelqu'un pourait m'aider, s'il vous plait..?
Lista de comentários
rictusimpra
C'était l'hiver, j'avais décidé de prendre la voiture et d'aller me promener au bord de la mer, chemin faisant je me retrouvais sur la falaise . Le soleil cherchait à se cacher et la lune faisait son apparition. Dans le ciel ,quelques gouttes d'eau commençaient à tomber, soudain le tonnerre éclata, je me réfugiais donc dans une cavité de la falaise.En attendant que la pluie cesse, je regardais autour de moi et je vis pas très loin de mon pauvre refuge, une vieille cabane vraiment délabrée.Un éclair me fit voir sur le dessus de la porte de la peinture rouge qui coulait,il est sûr que je n'avais pas envie de rester dans ce lieu mais j'avais réellement peur de sortir sous l'orage,Le vent s'était mis à gémir à souffler comme s'il voulait tout arracher sur son passage.Au loin un chien hurlait à la mort.Je regardais la mer, Poséidon était en colère , les vagues énormes, comme des serpents, claquaient le long de la falaise. Je reculais , et là je vis que ce trou où j'étais se prolongeait d'un tunnel,comme un puits sans fin qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir au fond? Inquiète, je ne souhaitais pas y aller, mais j'écoutais le moindre bruit, provenant des profondeurs du tunnel, une araignée aux longues pattes velues tomba sur mon bras ce qui me fit hurler. L'écho se répandit dans mon refuge de fortune. La porte de la cabane s'ouvrit, un être encapuchonné en sortit avec un lapin dans les mains qui se débattait,j'entendais les couinements du pauvre animal.L''être humain se dirigea vers un arbre , prit une corde et passa la tête du lapin dedans, il bougea, puis plus rien.Quelle horreur.j'osais à peine respirer , je me disais :pourvu qu'il ne me voit pas.Mon écharpe s'envola et se dirigea vers la cabane.j'entendais crier: il y a quelqu'un. Je sortis et courut le plus vite possible du coté de ma voiture qui était à l'opposé de cette affreuse, épouvantable maison, et sans me retourner la pluie ruisselant sur moi, essoufflé, mais vivante et terrorisée je montais dans ma voiture et partais à toute allure.
Lista de comentários
Le soleil cherchait à se cacher et la lune faisait son apparition. Dans le ciel ,quelques gouttes d'eau commençaient à tomber, soudain le tonnerre éclata, je me réfugiais donc
dans une cavité de la falaise.En attendant que la pluie cesse, je regardais autour de moi et je vis pas très loin de mon pauvre refuge, une vieille cabane vraiment délabrée.Un éclair me fit voir sur le dessus de la porte de la peinture rouge qui coulait,il est sûr que je n'avais pas envie de rester dans ce lieu mais j'avais réellement peur de sortir sous l'orage,Le vent s'était mis à gémir à souffler comme s'il voulait tout arracher sur son passage.Au loin un chien hurlait à la mort.Je regardais la mer, Poséidon était en colère , les vagues énormes, comme des serpents, claquaient le long de la falaise. Je reculais , et là je vis que ce trou où j'étais se prolongeait d'un tunnel,comme un puits sans fin qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir au fond?
Inquiète, je ne souhaitais pas y aller, mais j'écoutais le moindre bruit, provenant des profondeurs du tunnel, une araignée aux longues pattes velues tomba sur mon bras ce qui me fit hurler.
L'écho se répandit dans mon refuge de fortune. La porte de la cabane s'ouvrit, un être encapuchonné en sortit avec un lapin dans les mains qui se débattait,j'entendais les couinements du pauvre animal.L''être humain se dirigea vers un arbre , prit une corde et passa la tête du lapin dedans, il bougea, puis plus rien.Quelle horreur.j'osais à peine respirer , je me disais :pourvu qu'il ne me voit pas.Mon écharpe s'envola et se dirigea vers la cabane.j'entendais crier: il y a quelqu'un.
Je sortis et courut le plus vite possible du coté de ma voiture qui était à l'opposé de cette affreuse, épouvantable maison, et sans me retourner la pluie ruisselant sur moi,
essoufflé, mais vivante et terrorisée je montais dans ma voiture et partais à toute allure.
Voici une idée dont tu peux t'inspirer.