Dans l'entrée de guerre, la France résiste à la montée des extrêmes, grâce au Front populaire.
Dans un premier temps, la France comme tous les pays d'Europe, connaît une crise économique à cause du krach boursier de 1929. Peu à peu, les entreprises font faillite et le chômage augmente. Devant l’incapacité du gouvernement à arranger la situation, les idées d'extrême droite se développent. Ainsi le 6 février 1934, les ligues d’extrêmes droites manifestent à Paris et tentent de renverser la démocratie. Face a la montée de ses idéaux, les partis de gauche, composés du parti radical du SFIO et du parti communiste, forment le Front populaire ; afin de lutter contre la pauvreté, les guerres, et le fascisme.
Dans un deuxième temps, en 1936, fort de leur union, le Front populaire remporte les élections, et Léon Blum devient ainsi président du conseil. Mais il ne prend le pouvoir qu’un mois plus tard. C'est ainsi que durant le mois de mai, de nombreuses ouvriers, ayant peur d'un retour de la droite et du renversement du Front populaire se mettent en grève. Peu à peu, le mouvement grandi et des élan de générosité et de joie fleurissent partout en France : ce sont les grèves joyeuses. Début juin 1936, Léon Blum arrive au pouvoir et convoque tout le patronnât et le syndicat à Matignon. Le 7 juin 1936, les accord de Matignon sont signés. Grace à eux, les ouvriers gagnent une meilleur reconnaissance du droit syndical et une augmentation de salaire. Mais Blum ne s’arrête pas là car il obtient aussi les premiers congés payés (2semaines), le samedi et le dimanche de repos, la semaine de 40h et l’école obligatoire à 14 ans. Ces avancées sont révolutionnaire.
Enfin, les conséquence sociales instaurées par Blum avaient pour but de relancer l’économie mais bloquer par le patronat et les socialoseptiques. La crise continue de s’aggraver et Léon Blum est contrait de démissionné en 1938.
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Les ouvriers salariés
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Dans l'entrée de guerre, la France résiste à la montée des extrêmes, grâce au Front populaire.
Dans un premier temps, la France comme tous les pays d'Europe, connaît une crise économique à cause du krach boursier de 1929. Peu à peu, les entreprises font faillite et le chômage augmente. Devant l’incapacité du gouvernement à arranger la situation, les idées d'extrême droite se développent. Ainsi le 6 février 1934, les ligues d’extrêmes droites manifestent à Paris et tentent de renverser la démocratie. Face a la montée de ses idéaux, les partis de gauche, composés du parti radical du SFIO et du parti communiste, forment le Front populaire ; afin de lutter contre la pauvreté, les guerres, et le fascisme.
Dans un deuxième temps, en 1936, fort de leur union, le Front populaire remporte les élections, et Léon Blum devient ainsi président du conseil. Mais il ne prend le pouvoir qu’un mois plus tard. C'est ainsi que durant le mois de mai, de nombreuses ouvriers, ayant peur d'un retour de la droite et du renversement du Front populaire se mettent en grève. Peu à peu, le mouvement grandi et des élan de générosité et de joie fleurissent partout en France : ce sont les grèves joyeuses. Début juin 1936, Léon Blum arrive au pouvoir et convoque tout le patronnât et le syndicat à Matignon. Le 7 juin 1936, les accord de Matignon sont signés. Grace à eux, les ouvriers gagnent une meilleur reconnaissance du droit syndical et une augmentation de salaire. Mais Blum ne s’arrête pas là car il obtient aussi les premiers congés payés (2semaines), le samedi et le dimanche de repos, la semaine de 40h et l’école obligatoire à 14 ans. Ces avancées sont révolutionnaire.
Enfin, les conséquence sociales instaurées par Blum avaient pour but de relancer l’économie mais bloquer par le patronat et les socialoseptiques. La crise continue de s’aggraver et Léon Blum est contrait de démissionné en 1938.