April 2019 1 115 Report
Bonjour j'aurais besoin d'aide.
Exercice (QCM à justifier) :
On a représenter une série statistique continue par un histogramme (voir photo).
- La classe [1 ; 3[ a pour effectif 1 et la classe [3 ; 4[ a pour effectif 4.
- La moyenne est 3.8.
- L'étendue est 3.
- La médiane est 3.75.

Je pense que la première proposition est juste mais ne sais pas comment justifier.
Merci de bien vouloir m'aider.
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Voici le texte: A quelque distance de Bagdad, un dervis1 , renommé pour sa sainteté, passait des jours tranquilles dans une solitude agréable. Les habitants d'alentour, pour avoir part à ses prières, s'empressaient chaque jour à lui porter des provisions et des présents. Le saint homme ne cessait de rendre grâces à Dieu des bienfaits dont sa Providence le comblait. « 0 Allah ! disait-il, que ta tendresse est ineffable pour tes serviteurs, qu'ai-je fait pour mériter les biens dont ta libéralité m'accable ? 0 monarque des cieux ! 0 père de la nature ! quelles louanges pourraient dignement célébrer ta munificence et tes soins paternels ! 0 Allah ! que tes bontés sont grandes pour les enfants des hommes ! » Pénétré de reconnaissance, notre ermite fit le vœu d'entreprendre pour la septième fois le pèlerinage de La Mecque. La guerre qui subsistait alors entre les Persans et les Turcs, ne put lui faire différer l'exécution de sa pieuse entreprise. Plein de confiance en Dieu, il se met en voyage ; sous la sauvegarde inviolable d'un habit respecté, il traverse sans obstacle les détachements ennemis : loin d'être molesté, il reçoit à chaque pas des marques de la vénération du soldat des deux partis. A la fin, accablé de lassitude, il se voit obligé de chercher un asile contre les rayons d'un soleil brûlant ; il le trouve sous l'ombrage frais d'un groupe de palmiers, dont un ruisseau limpide arrosait les racines. Dans ce lieu solitaire, dont la paix n'était troublée que par le murmure des eaux et le ramage des oiseaux, l'homme de Dieu rencontre, non seulement une retraite enchantée, mais encore un repas délicieux ; il n'a qu'à étendre la main pour cueillir des dattes et d'autres fruits agréables ; le ruisseau lui fournit le moyen de se désaltérer : bientôt un gazon vert l'invite à prendre un doux repos ; à son réveil il fait l'ablution sacrée et dans un transport d'allégresse il s'écrie, « 0 Allah ! que tes bontés sont grandes pour les enfants des hommes ! » Bien repu, rafraîchi, plein de force et de gaieté, notre saint poursuit sa route ; elle le conduit quelque temps au travers d'une contrée riante qui n'offre à ses yeux que des coteaux fleuris, des prairies émaillées, des arbres chargés de fruits. Attendri par ce spectacle, il ne cesse d'adorer la main riche et libérale de la providence, qui se montre partout occupée du bonheur de la race humaine. Parvenu un peu plus loin, il trouve quelques montagnes assez rudes à franchir, mais une fois arrivé à leur sommet, un spectacle hideux se présente tout à coup à ses regards ; son âme en est consternée. II découvre une vaste plaine, entièrement désolée par le fer et la flamme ; il la mesure des yeux et la voit couverte de plus de cent mille cadavres, restes déplorables d'une bataille sanglante qui depuis peu de jours s'était livrée dans ces lieux. Les aigles, les vautours, les corbeaux et les loups dévoraient à l'envi les corps morts, dont la terre était jonchée. Cette vue plonge notre pèlerin dans une sombre rêverie ; le ciel, par une faveur spéciale, lui avait donné de comprendre le langage des bêtes ; il entendit un loup gorgé de chair humaine, qui, dans l'excès de sa joie,s'écriait, « 0 Allah ! que tes bontés sont grandes pour les enfants des loups ! ta sagesse prévoyante a soin d'envoyer des vertiges à ces hommes détestables si dangereux pour nous. Par un effet de ta providence, qui veille sur tes créatures, ces destructeurs de notre espèce s'égorgent les uns les autres, et nous fournissent des repas somptueux. 0 Allah que tes bontés sont grandes pour les enfants des loups ! » Voilà les questions : Sur quelle opposition est construit le conte ? Quels éléments relèvent du merveilleux ? MERCI DE BIEN VOULOIR M'AIDER .
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Bonjour pouvez-vous m'aidez je bloque sur 1 question: Assurons nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause. Il est vrai que cette méthode est bien lente pour la plupart des gens, qui courent naturellement à la cause, et passent par-dessus la vérité du fait; mais enfin nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point. Ce malheur arriva si plaisamment sur la fin du siècle passé à quelques savants d'Allemagne, que je ne puis m'empêcher d'en parler ici. En 1593, le bruit courut que les dents étant tombées à un enfant de Silésie, âgé de sept ans, il lui en était venu une d'or, à la place d'une de ses grosses dents. Horatius, professeur en médecine à l'université de Helmstad, écrivit, en 1595, l'histoire de cette dent, et prétendit qu'elle était en partie naturelle, en partie miraculeuse, et qu'elle avait été envoyée de Dieu à cet enfant pour consoler les chrétiens affligés par les Turcs. Figurez vous quelle consolation, et quel rapport de cette dent aux chrétiens, et aux Turcs. En la même année, afin que cette dent d'or ne manquât pas d'historiens, Rullandus en écrit encore l'histoire. Deux ans après, Ingolsteterus, autre savant, écrit contre le sentiment que Rullandus avait de la dent d'or, et Rullandus fait aussitôt une belle et docte réplique. Un autre grand homme, nommé Libavius, ramasse tout ce qui avait été dit sur la dent, et y ajoute son sentiment particulier. Il ne manquait autre chose à tant de beaux ouvrages, sinon qu'il fût vrai que la dent était d'or. Quand un orfèvre l'eût examinée, il se trouva que c'était une feuille d'or appliquée à la dent avec beaucoup d'adresse; mais on commença par faire des livres, et puis on consulta l'orfèvre. Rien n'est plus naturel que d'en faire autant sur toutes sortes de matières. Je ne suis pas si convaincu de notre ignorance par les choses qui sont, et dont la raison nous est inconnue, que par celles qui ne sont point, et dont nous trouvons la raison. Cela veut dire que non seulement nous n'avons pas les principes qui mènent au vrai, mais que nous en avons d'autres qui s'accommodent très bien avec le faux. Q1: En quoi les noms des savants et les expressions suivantes, "belle et docte réplique" , "grand homme" , " tant de beaux ouvrages", relèvent de l'ironie ?
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