May 2021 0 252 Report
Bonjour, j'aurais besoin d'aide pour l'exercice 1 de mon DM de maths, s'il vous plâit! Une entreprise produit et vend des stylos.
Pour l'entreprise, la production quotidienne de stylos engendre un coût total en euros, noté C(x) composé de coûts fixes (salaires et matériaux) et d'un coup variable proportionnel au nombre x de stylos vendus.
Chaque stylo est vendu 2,50e. La recette pour x stylos vendus est notée R(x).
Le coût total en euros est donné par la formule: C(x)= 1,25x+180.
Le bénéfice, noté B(x) est la différence entre la recette et le coût total, c'est a dire B(x)= R(x) - C(x). On admet que x ϵ [0;300].

1) Calculer la recette et le coût pour 50 stylos. En déduire B(50). Expliquer ce résultat dans le contexte de l'exercice.
2) Donner l'expression de la recette R(x) en fonction de x.
3) Montrer que le bénéfice en euros B(x) est donné par B(x)= 1,25x-180.
4) Résoudre B(x)>0. Qu'est-ce que cela veut dire pour l'entreprise?
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Bonjour, J'ai un devoir à faire en français sur le conte traditionnel de Voltaire "Jeannot et Colin". J'en suis au chapitre "Deux Amis" donc au début, mais il y a une question où je bloque un peu : Quelle est donc la critique implicite (sous-entendue) contenue dans le quatrième paragraphe ? Je vous mets le 4ème paragraphe, merci de votre aide ! *Les lecteurs qui aiment à s'instruire doivent savoir que M. Jeannot, le père, avait acquis assez rapidement des biens immenses dans les affaires. Vous demandez comment on fait ces grandes fortunes ? C'est parcequ'on est heureux. M. Jeannot était bien fait, sa femme aussi, et elle avait encore de la fraîcheur. Ils allèrent à Paris pour un procès qui les ruinait, lorsque la fortune, qui élève et qui abaisse les hommes à son gré, les présenta à la femme d'un entrepreneur des hôpitaux des armées, homme d'un grand talent, et qui pouvait se vanter d'avoir tué plus de soldats en un an que le canon n'en fait périr en dix. Jeannot plut à madame ; la femme de Jeannot plut à monsieur. Jeannot fut bientôt de part dans l'entreprise ; il entra dans d'autres affaires. Dès qu'on est dans le fil de l'eau, il n'y a qu'à se laisser aller ; on fait sans peine une fortune immense. Les gredins, qui du rivage vous regardent voguer à pleines voiles, ouvrent des yeux étonnés ; ils ne savent comment vous avez pu parvenir ; ils vous envient au hasard, et font contre vous des brochures que vous ne lisez point. C'est ce qui arriva à Jeannot le père, qui fut bientôt M. de La Jeannotière, et qui, ayant acheté un marquisat au bout de six mois, retira de l'école monsieur le marquis son fils, pour le mettre à Paris dans le beau monde.*
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