bonjour, je demande ceux qui ont lu du livre "Le Rouge et le Noir" de Stendhal
je ne comprends pas ce signifient "touffes de vigoureux châtaigniers", "ses fortifications bâties", "donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois" ,"Un torrent," et "fracas d’une machine" ? du chapitre 1
Dans la description d'abord générale et de loin, les feuillages de châtaigniers font des touffes, des gros bouquets serrés.
La ville est entourées de fortifications, de hauts murs de défense bâtis jadis par les espagnols.
Les usines à bois, donc les scieries sont alimentées par le force de l'eau du torrent avec des moulins à eau, sont nombreuses dans la vallée.
Pour qui a vu des moulins à eau, on comprend que le bruit des marteaux de bois fait un bruit très fort et régulier. On peut parler de fracas.
Explications :
La petite ville de Verrières peut passer pour l'une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s'étendent sur la pente d'une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications, bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.
r.
Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids d'octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois ; c'est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à bois qui ont enrichi cette petite ville. C'est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse que l'on doit l'aisance générale qui, depuis la chute de Napoléon, a fait rebâtir les façades de presque toutes les maisons de Verrières.
A peine entre-t-on dans la ville que l'on est étourdi par le fracas d'une machine bruyante et terrible en apparence. Vingt marteaux pesants, et retombant avec un bruit qui fait trembler le pavé, sont élevés par une roue que l'eau du torrent fait mouvoir.
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Réponse :
Dans la description d'abord générale et de loin, les feuillages de châtaigniers font des touffes, des gros bouquets serrés.
La ville est entourées de fortifications, de hauts murs de défense bâtis jadis par les espagnols.
Les usines à bois, donc les scieries sont alimentées par le force de l'eau du torrent avec des moulins à eau, sont nombreuses dans la vallée.
Pour qui a vu des moulins à eau, on comprend que le bruit des marteaux de bois fait un bruit très fort et régulier. On peut parler de fracas.
Explications :
La petite ville de Verrières peut passer pour l'une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s'étendent sur la pente d'une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications, bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.
r.
Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids d'octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois ; c'est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à bois qui ont enrichi cette petite ville. C'est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse que l'on doit l'aisance générale qui, depuis la chute de Napoléon, a fait rebâtir les façades de presque toutes les maisons de Verrières.
A peine entre-t-on dans la ville que l'on est étourdi par le fracas d'une machine bruyante et terrible en apparence. Vingt marteaux pesants, et retombant avec un bruit qui fait trembler le pavé, sont élevés par une roue que l'eau du torrent fait mouvoir.