Bonjour, je dois écrire une fable en s'inspirant de La Fontaine de 30 vers avec une morale: J'ai commencé par choisir les moutons pour représenter les humains ( quand une personne a quelque chose, une autre à la même... etc) J'ai voulu raconté l'histoire d'un mouton noir qui regardait un troupeau de mouton blanc, il rêvait d'être comme eux. un jour il neigea il décida de se rouler dans la neige pour leur ressemblé. Du coup il va être accepté parmi eux, mais lors du printemps la neige fond et redevint noir. En voyant cela les moutons blancs comprirent que malgré la différence de couleur, ils sont les mêmes, j'ai commencé mais je n'arrive pas a finir:
Dans un près, où l'herbe et l'eau manquait
se trouvait un jeune mouton noir qui commençait à perdre espoir
rêvant de devenir ce qu'il n'était.
Cette couleur si tendance, ce blanc
qui revient toujours en cette saison
et portait tout les autres montons
...?
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bobi18
La neige que lon trouve sur le bord des bancs mais alors que le printemps arive voila qu il se mit sur la rive et se reagarda dans lo ou des moutons gros
....
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layna43
Cela fait un peu rapide voilà ce que j'ai fait mais le dernier vers me déçoit un peu: Cette couleur si tendance, ce blanc qui revient toujours en cette saison et que portait tout les autres moutons faisait de lui un paria, pleurant
Se sentant complètement isolé Il criait son désespoir, disait que sa vie si noir ne valait pas la peine de continuer.
layna43
Accablé par sa différence, Il ne pouvait que sauter Depuis le haut de ce fossé Peu-importe les conséquences.
Sa chute ne lui parût pas douloureuse Que s'était-il donc passé ? La neige l'avait rattrapé Le recouvrant de cette poudreuse
layna43
Son rêve fut enfin réalisé C'était le plus beau jour de sa vie retournant dans le pré, il se fit des amis Étonné que si vite il se fit accepter Dans cette joie, l'hiver fut court les premiers rayons de soleil apparurent Il perdit sa fière allure Redevenant noir pour toujours. Mais il y eu point de moqueries Le monde n’est que variété et dissemblance. Notre cœur ne devrait pas voir la différence Ne faut-il pas apprendre à s'apprécier ?
bobi18
desoler si je nai pas trop dipagination mais ce nai pas très simple avec se dernier vers
bobi18
je trouve ton poeme très bien et que tu as un bon niveau de français
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mais alors que le printemps arive
voila qu il se mit sur la rive et se reagarda dans lo
ou des moutons gros
....
qui revient toujours en cette saison
et que portait tout les autres moutons
faisait de lui un paria, pleurant
Se sentant complètement isolé
Il criait son désespoir,
disait que sa vie si noir
ne valait pas la peine de continuer.
Il ne pouvait que sauter
Depuis le haut de ce fossé
Peu-importe les conséquences.
Sa chute ne lui parût pas douloureuse
Que s'était-il donc passé ?
La neige l'avait rattrapé
Le recouvrant de cette poudreuse
C'était le plus beau jour de sa vie
retournant dans le pré, il se fit des amis
Étonné que si vite il se fit accepter
Dans cette joie, l'hiver fut court
les premiers rayons de soleil apparurent
Il perdit sa fière allure
Redevenant noir pour toujours.
Mais il y eu point de moqueries
Le monde n’est que variété et dissemblance.
Notre cœur ne devrait pas voir la différence
Ne faut-il pas apprendre à s'apprécier ?