April 2019 1 58 Report

Bonjour je dois faire un commentaire composé sur Arthur Rimbaud sur Roman . J'ai déjà fait l'introduction et trouvé les 3 axes j'aurai besoins de votre avis SVP .

Les 3 axes sont : I] La nature propice aux sentimens.

1-la rencontre amoureuse à dix-sept ans

2-entre les réparties de Nina et mes petites amoureuses

II] Le jeu de la séduction

1) le coup de foudre

2-le refus de s'engager

III] Une ironie constante

1-les robinsonnades, des aventures

2-le romanesque, le rêve

L'introduction:

Arthur Rimbaud est un grand poète français de la seconde moitié du 19e siècle (1850-1900). il est né à Charleville le 20 Octobre 1854, il a grandit dans la campagne sachant qu'il détestait cela. Dès son plus jeune âge, il écriva des poèmes, c'est un élève très brillat. Il fut remarqué par son Professeur de Français M.Izambard. En 1871, il va a Paris où il rencontre Paul Verlaine, poète. Rimbaud et Verlaine décide de s'installer ensemble car ils étaient amants. Mais leur relation ne dura pas longtemps car en 1875 ils se quittent. Toujours durant cette même année, il abandonne la poésie pour aller faire ces voyages dont il était passionné, notamment en Afrique. Il marchait beaucoup et suite à cela il a eu un problème au genou, le temps qu'on le ramène en France, sa jambe s'est infectée. Il a subit une opération mais il n'a pas survécu. Il meurt en Novembre 1891 à Marseille.

Son œuvre “Roman” a été mal vue par ses contemporains (= collègue), en raison de son caractère provocant que son petit ami Verlaine l’a classé parmi les “poètes maudits”. Tous ses poèmes datent de son adolescence ( de 1870 à 1872), avant qu'il devienne adulte, il se décide brusquement de choisir la dure réalité en renonçant a l’écriture. « Roman » appartient aux premières tentatives du poète, publiées dans le “Cahier de Douai”. Il s’agit de l’évocation lyrique (=passionné) et satirique (= marrant) des émotions adolescentes à la fin du printemps. Rimbaud observe ses réactions intimes et s’amuse de l’idylle naissante avec une jeune demoiselle qu'il a croisé. Les romans sont souvent des fictions. Dans ce poème Rimbaut fait tous un critique de ses aventures amoureuses d'un adolescent encore très naif.

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Bonjour alors je dois faire une commentaire littéraire en francais pour vendredi j'aurai besoins que de la problématique svp pouvez-vous m'en trouver une j'ai cherchée mais je ne trouve pas merci d'avance a ceux qui m'aideront voici le texte : MARIANNE. Ne serait-elle point heureuse, Octave, la femme qui t’aimerait ?OCTAVE. Je ne sais point aimer ; Cœlio seul le savait. La cendre que renferme cette tombe est tout ce que j’ai aimé sur la terre, tout ce que j’aimerai. Lui seul savait verser dans une autre âme toutes les sources de bonheur qui reposaient dans la sienne. Lui seul était capable d’un dévouement sans bornes ; lui seul eût consacré sa vie entière à la femme qu’il aimait, aussi facilement qu’il aurait bravé la mort pour elle. Je ne suis qu’un débauché sans cœur ; je n’estime point les femmes ; l’amour que j’inspire est comme celui que je ressens, l’ivresse passagère d’un songe. Je ne sais pas les secrets qu’il savait. Ma gaieté est comme le masque d’un histrion2 ; mon cœur est plus vieux qu’elle, mes sens blasés n’en veulent plus. Je ne suis qu’un lâche ; sa mort n’est point vengée.MARIANNE. Comment aurait-elle pu l’être, à moins de risquer votre vie ? Claudio est trop vieux pour accepter un duel, et trop puissant dans cette ville pour rien craindre de vous.OCTAVE. Cœlio m’aurait vengé si j’étais mort pour lui comme il est mort pour moi. Ce tombeau m’appartient : c’est moi qu’ils ont étendu sous cette froide pierre ; c’est pour moi qu’ils avaient aiguisé leurs épées ; c’est moi qu’ils ont tué. Adieu la gaieté de ma jeunesse, l’insouciante folie, la vie libre et joyeuse au pied du Vésuve ! adieu les bruyants repas, les causeries du soir, les séré-nades sous les balcons dorés ! adieu Naples et ses femmes, les mascarades à la lueur des torches, les longs soupers à l’ombre des forêts ! adieu l’amour et l’amitié ! ma place est vide sur la terre.MARIANNE. Mais non pas dans mon cœur, Octave. Pourquoi dis-tu : « Adieu l’amour » ?OCTAVE. Je ne vous aime pas, Marianne ; c’était Cœlio qui vous aimait.
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