Bonjour je dois faire un texte d une vingtaine de ligne faites le portrait de quelqu un en décrivant une particularité physique de telle manière a ce que la personne apparaisse mystérieuse
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bethsa009
L'homme, assis sur une austère chaise, me regarde. Et je tente péniblement de soutenir son regard vairon. Marron, bleu. Bleu, marron. Ce sont les yeux d'un hypnotiseur, des yeux trompeurs qui vous braquent, vous renversent, vous explorent et esquissent un semblant de sourire, terrible. Parfois un clignement, presque imperceptible, et un rideau noir recouvre les yeux, soudain similaires. Et l'instant d'après, c'est une oeil azur et un oeil moucheté de vert qui vous fixent. Il y a quelque chose d'inhumain dans ce regard, différent, détonnant, pas totalement naturel. Le regard n'est pas brave ni farouche, rieur ou moqueur, il est indéchiffrable. À peine admirable. Je tente à nouveau un coup d'oeil vers les objets de mon malaise et à nouveau cette vague étrange me saisit, m'envahit. L'oeil marron m'attire dans sa douceur hypnotique,, et je me détends à peine que déjà son voisin glacial, m'arrache, me pique, me mord. Puis plus rien. Un voile vitreux recouvre les deux yeux de mon interlocuteur, puis disparait, laissant une étincelle indescriptible, une étincelle de mystère. Dans la monochromie de coutume, les yeux vairons de l'étrange personne qui me fait face dérangent, enragent. Je suis soudain tirée de mes pensées, il a bougé. Oh, à peine, mais pour cette haute stature statique, le moindre mouvement fait figure de bouleversement. Mon coeur frappe contre mes côtes, je suis intimidée. Je suis impressionnée. Un clignement. Une autre étincelle dans le regard, étincelle brillante et limpide d'un côté, plus foncée et brutale de l'autre. L'homme va parler.
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Et je tente péniblement de soutenir son regard vairon.
Marron, bleu. Bleu, marron.
Ce sont les yeux d'un hypnotiseur, des yeux trompeurs qui vous braquent, vous renversent, vous explorent et esquissent un semblant de sourire, terrible.
Parfois un clignement, presque imperceptible, et un rideau noir recouvre les yeux, soudain similaires. Et l'instant d'après, c'est une oeil azur et un oeil moucheté de vert qui vous fixent.
Il y a quelque chose d'inhumain dans ce regard, différent, détonnant, pas totalement naturel.
Le regard n'est pas brave ni farouche, rieur ou moqueur, il est indéchiffrable.
À peine admirable.
Je tente à nouveau un coup d'oeil vers les objets de mon malaise et à nouveau cette vague étrange me saisit, m'envahit.
L'oeil marron m'attire dans sa douceur hypnotique,, et je me détends à peine que déjà son voisin glacial, m'arrache, me pique, me mord.
Puis plus rien. Un voile vitreux recouvre les deux yeux de mon interlocuteur, puis disparait, laissant une étincelle indescriptible, une étincelle de mystère.
Dans la monochromie de coutume, les yeux vairons de l'étrange personne qui me fait face dérangent, enragent.
Je suis soudain tirée de mes pensées, il a bougé.
Oh, à peine, mais pour cette haute stature statique, le moindre mouvement fait figure de bouleversement.
Mon coeur frappe contre mes côtes, je suis intimidée. Je suis impressionnée.
Un clignement. Une autre étincelle dans le regard, étincelle brillante et limpide d'un côté, plus foncée et brutale de l'autre.
L'homme va parler.