bonjour je dois raconter l histoire d un enfant abandonné à lui même, vivant dans la rue en 15 lignes. Sexe,age, raisons de l abandon,conditions de vie actuelles,traits physique,qualite ou défaut moraux .choisissez la place du narrateur de votre texte,qui racontera et décrira? Un narrateur extérieur ou le personnage lui même. Merci
bonjour je m'appelle Théo et depuis l'age de 8 ans j'ai détester l'école les devoirs et vue que je ramener des mauvaises notes mon beau père me gronder et j'en avait marre un jours mon beau père me dit qu'on ira faire un tour le moments venue on monta dans la voiture et on commence a rouler quand il s'arreta après 1 heures de voiture, il me dit sors de la voiture et le petit garcon sortie de la voiture il commenca a marcher marcher pour retrouver sa maison mais de jours en jours le petit avait de plus en plus faim on voyait c'est os sa peau qui pendouillait et pleurait tout les jours coincé dans la rue fatiguait envie d'une bonne douche,envie d'un bon lit douillait,un bon repas mais tout sa n'était q'un rêve. Aujourd'huit le petit garcons a atteind 13 ans et toujour dans la rue le petit c'etait fait des copain qui lui rammener tout les jours de la nourriture des petits gateaux etc 1 jours quand t-il dorma un homme le prit dans c'est bras en pleurant désoler Théo mais dans le noir je crue que cétait dieux mais non cettait mon beau pére.
J'attends dans un coin de cette rue sombre et froide. J'observe de loin ces enfants, sortant de leur école, souriant et attendant avec joie de retrouver leurs parents pour leur raconter leur journée.
Je me rappelle de cette époque. C'était il y a 3 ans : la joie, l'amour, le rire....
Mais je n'en ai plus. Cela fait 3 ans que moi, Eline, vis dans ce quartier, abandonnée de ma famille suite à la tromperie de mon père envers ma mère. Aucun de mes deux parents ne voulait de moi.... sans doute un souvenir trop pénible à porter pour ma conscience car je commence à pleurer doucement. À ce moment là, une personne inconnue me demande si je vais bien. Je réponds par l'affirmative, ma fierté l'emportant sur ma tristesse et sur mon besoin d'être aimée et réconfortée. Le monsieur part.
Je me lève doucement, grelottant de froid à cause de mes habits ( haillons troués ), et je retourne chez mon chez moi, c'est à dire le vieux pont abandonné où je prie Dieu en espérant que dans une autre vie, il me comblera de joie et d'amour.
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bonjour je m'appelle Théo et depuis l'age de 8 ans j'ai détester l'école les devoirs et vue que je ramener des mauvaises notes mon beau père me gronder et j'en avait marre un jours mon beau père me dit qu'on ira faire un tour le moments venue on monta dans la voiture et on commence a rouler quand il s'arreta après 1 heures de voiture, il me dit sors de la voiture et le petit garcon sortie de la voiture il commenca a marcher marcher pour retrouver sa maison mais de jours en jours le petit avait de plus en plus faim on voyait c'est os sa peau qui pendouillait et pleurait tout les jours coincé dans la rue fatiguait envie d'une bonne douche,envie d'un bon lit douillait,un bon repas mais tout sa n'était q'un rêve. Aujourd'huit le petit garcons a atteind 13 ans et toujour dans la rue le petit c'etait fait des copain qui lui rammener tout les jours de la nourriture des petits gateaux etc 1 jours quand t-il dorma un homme le prit dans c'est bras en pleurant désoler Théo mais dans le noir je crue que cétait dieux mais non cettait mon beau pére.
Coucou
J'attends dans un coin de cette rue sombre et froide. J'observe de loin ces enfants, sortant de leur école, souriant et attendant avec joie de retrouver leurs parents pour leur raconter leur journée.
Je me rappelle de cette époque. C'était il y a 3 ans : la joie, l'amour, le rire....
Mais je n'en ai plus. Cela fait 3 ans que moi, Eline, vis dans ce quartier, abandonnée de ma famille suite à la tromperie de mon père envers ma mère. Aucun de mes deux parents ne voulait de moi.... sans doute un souvenir trop pénible à porter pour ma conscience car je commence à pleurer doucement. À ce moment là, une personne inconnue me demande si je vais bien. Je réponds par l'affirmative, ma fierté l'emportant sur ma tristesse et sur mon besoin d'être aimée et réconfortée. Le monsieur part.
Je me lève doucement, grelottant de froid à cause de mes habits ( haillons troués ), et je retourne chez mon chez moi, c'est à dire le vieux pont abandonné où je prie Dieu en espérant que dans une autre vie, il me comblera de joie et d'amour.