L'Africain est un très bel hommage de JMG Le Clézio à son père et à l'Afrique, continent dans lequel il a vécu pendant quelques années durant son enfance (de ses huit ans jusqu'à son adolescence).
On peut observer dans ce récit une progression, on passe de l'optimisme au début du livre au pessimisme à la fin.
L'auteur commence par nous raconter que l'Afrique est la région où il a vécu le plus libre. Il découvre les corps qui l'entourent, ce qui donne lieu à de belles descriptions. Et la violence de l'Afrique, mais dans le bon sens du terme : la violence des orages, l'électricité dans l'air, les saisons extrêmes (ni printemps ni automne de transition). Puis il nous parle des insectes et du bonheur qu'il ressentait lorsque lui et ses parents se réfugiaient derrière les moustiquaires.
Puis il enchaîne sur l'histoire de son père, ce médecin qui avait soif d'aventure. Il est médecin en Afrique, et les premières années sont des années d'intense bonheur à parcourir les contrées avec sa femme, se sentant proche et aimé des populations locales. Mais la guerre arrive et il est séparé de sa famille. Il veut rentrer en Europe mais ne peut pas. Il est muté ensuite dans une autre région. La situation change alors, maintenant l'Afrique est horriblement violente, avec force histoires sordides, il a l'impression d'être inutile tant il y a de malades.
Il finit sa vie usé, fatigué.
Ce livre émeut, et donne envie d'imiter le père, au début en tout cas, de partir à l'aventure tout en aidant les populations africaines, de vivre en Afrique pourquoi pas! de connaître cette liberté cette violence des corps, cette violence physique.
L'Africain nous raconte aussi le destin de beaucoup de gens sûrement qui ont vécu au XXè siècle brisés par la seconde guerre mondiale.
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Réponse:
Essaie de résumer l'histoire en quelques partie avec tes émotions et sentiments à toi
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L'Africain est un très bel hommage de JMG Le Clézio à son père et à l'Afrique, continent dans lequel il a vécu pendant quelques années durant son enfance (de ses huit ans jusqu'à son adolescence).
On peut observer dans ce récit une progression, on passe de l'optimisme au début du livre au pessimisme à la fin.
L'auteur commence par nous raconter que l'Afrique est la région où il a vécu le plus libre. Il découvre les corps qui l'entourent, ce qui donne lieu à de belles descriptions. Et la violence de l'Afrique, mais dans le bon sens du terme : la violence des orages, l'électricité dans l'air, les saisons extrêmes (ni printemps ni automne de transition). Puis il nous parle des insectes et du bonheur qu'il ressentait lorsque lui et ses parents se réfugiaient derrière les moustiquaires.
Puis il enchaîne sur l'histoire de son père, ce médecin qui avait soif d'aventure. Il est médecin en Afrique, et les premières années sont des années d'intense bonheur à parcourir les contrées avec sa femme, se sentant proche et aimé des populations locales. Mais la guerre arrive et il est séparé de sa famille. Il veut rentrer en Europe mais ne peut pas. Il est muté ensuite dans une autre région. La situation change alors, maintenant l'Afrique est horriblement violente, avec force histoires sordides, il a l'impression d'être inutile tant il y a de malades.
Il finit sa vie usé, fatigué.
Ce livre émeut, et donne envie d'imiter le père, au début en tout cas, de partir à l'aventure tout en aidant les populations africaines, de vivre en Afrique pourquoi pas! de connaître cette liberté cette violence des corps, cette violence physique.
L'Africain nous raconte aussi le destin de beaucoup de gens sûrement qui ont vécu au XXè siècle brisés par la seconde guerre mondiale.