Les qualités de la cloche : « alerte et bien portante », « bienheureuse »
Le ton de cette strophe est léger et musical
3. Choix de faire rimer « ennuis avec le mot « nuits » : les nuits sont longues pour le poète qui a mal à son âme et il ressasse ses les ennuis de son âme.
4. Le poète est mélancolique, il ressemble à cette cloche fêlée, il a une fêlure à l’âme (« ses ennuis, c’est l’ennui de son âme, « elle veut » il n’est plus maître de lui et « elle veut peupler l’air froid des nuits » contrairement à la cloche). Son âme a un chant semblable au « râle épais d’un blessé qu’on oublie » son « âme est fêlée »
« Il était amer et doux, pendant les nuits d’hiver
D’écouter, près du feu qui palpitait et qui fumait,
Les souvenirs lointains lentement s’élever
Au bruit des carillons qui chantaient dans la brume.
Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jetait fidèlement son cri religieux
Ainsi qu’un vieux soldat qui veillait sous la tente ! »
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jeremypuja
Bonsoir pouvez vous m'aider en français svp?
Lista de comentários
Réponse :
bonjour
Explications :
1. Il s’agit d’un poème, c’est un sonnet (2 quatrains deux tercets), le texte est en vers et ces vers sont des alexandrins
2. A. « il est amer et doux « : contradiction entre amer et doux. Il et « amer et doux » « d’écouter les souvenirs »
B. Il s’agit d’un oxymore qui provoque un étonnement.
3. Personnification de la cloche
- »ainsi qu’un vieux soldat qui veille », « bienheureuse », « gosier vigoureux »
Les qualités de la cloche : « alerte et bien portante », « bienheureuse »
Le ton de cette strophe est léger et musical
3. Choix de faire rimer « ennuis avec le mot « nuits » : les nuits sont longues pour le poète qui a mal à son âme et il ressasse ses les ennuis de son âme.
4. Le poète est mélancolique, il ressemble à cette cloche fêlée, il a une fêlure à l’âme (« ses ennuis, c’est l’ennui de son âme, « elle veut » il n’est plus maître de lui et « elle veut peupler l’air froid des nuits » contrairement à la cloche). Son âme a un chant semblable au « râle épais d’un blessé qu’on oublie » son « âme est fêlée »
« Il était amer et doux, pendant les nuits d’hiver
D’écouter, près du feu qui palpitait et qui fumait,
Les souvenirs lointains lentement s’élever
Au bruit des carillons qui chantaient dans la brume.
Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jetait fidèlement son cri religieux
Ainsi qu’un vieux soldat qui veillait sous la tente ! »