Un jeune homme plutôt grand, aux yeux marrons, âgé d'environ vingt-six ans, se promenait dans cette nouvelle ville, dans laquelle il venait tout juste d'être muté. Il portait les cheveux bruns, courts en bataille. Il découvrait la belle métropole, réputée pour la beauté de ses paysages environnants. Il se faufilait tranquillement dans la foule impressionnante tandis que les passants se pressaient nerveusement pour se diriger vers les boutiques aux propositions alléchantes en cette période de soldes. Une telle affluence de clients n'aurait incité personne à se promener pour se détendre, mais le jeune homme n'était nullement troublé par cette effervescence.
Soudain, un homme, plus petit, le bouscule sans s'excuser. Surpris, il se retourne, mais l'homme a déjà disparu dans le tourbillon de la foule.
Il examine, observe avec attention, scrute les moindre détails du paysage urbain. Les hommes de la ville, pour la plupart, portent des chapeaux. Les femmes, quand à elles, sont vêtues de robes légères. Rares sont celles qui portent des pantalons. Bientôt, il aperçoit, au milieu de la rue, la fontaine de la ville. On raconte que c'est de la source de cette fontaine que vient la magie des panoramas des alentours. Mais ce n'est qu'une légende! Pourtant l'homme y cherche les moindres détails, différents d'une eau classique. Mais il abandonne rapidement, comprenant que ce n'est qu'une eau des plus normales. Il contourne la fontaine et continue son chemin.
L
e temps paru soudain s'arrêter.
Au milieu de la rue, cinq jeunes femmes riaient. Et, au centre de ce groupe, apparut une déesse. Son sourire illuminait la rue tout entière. Ses yeux, d'un vert émeraude, laissaient transparaitre une immense joie de vivre. Elle avait bien cinq ans de moins que lui, mais son regard était d'une sagesse profonde. Comme toutes les jeunes femmes de son groupe, elle portait une robe, dont le fond gris clair, faisait ressortir le noir intense de ses longs cheveux bruns indisciplinés. Cette robe révélait une taille parfaite. Ses manches courtes dévoilaient des épaules menues. Un magnifique ruban blanc noué à la taille d'une beauté incontestable. La jeune femme portait un large chapeau assorti à la couleur de sa robe. Ses cheveux fins et soyeux étaient aussi lumineux que ses yeux. Sa démarche était si gracieuse qu'elle semblait danser et ses ballerines glissaient délicatement sur le sol. À l'instar d'un frêle oiseau, elle paraissait prête à prendre son envol. Ses doigts, quant à eux, semblaient être dotés d'une vélocité hors du commun et filaient à travers l'air comme ceux d'un chef d'orchestre passion par son métier. Le jeune homme croyait entendre sa voix mélodieuse, mais ce n'était que le fruit de son imagination. Les lèvres quoique pâles mais souriantes de la jeune femme frémissaient, comme pour l'appeler, et lui demeurait là, pétrifié. Le temps redémarra. Les passants se remirent en marche et elle disparut comme par enchantement.l la chercha en vain dans le foule. C'était comme si elle n'avait jamais existé. Cependant, il sentait au plus profond de lui-même qu'elle était réelle. Elle ne l'avait pas vu à son plus grand déplaisir. Mais lui l'avait observée scrupuleusement. Il avait cherché son regard. Celui-ci n'était pas venu à sa rencontre. Jamais il n'avait rencontré plus belle ni plus énigmatique créature. Rien ne pouvait égaler les yeux émeraude de cette beauté. Il avait senti chez elle un calme et un respect profonds. Et en lui, il sentait désormais un vide. Son estomac était noué.
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Un jeune homme plutôt grand, aux yeux marrons, âgé d'environ vingt-six ans, se promenait dans cette nouvelle ville, dans laquelle il venait tout juste d'être muté. Il portait les cheveux bruns, courts en bataille. Il découvrait la belle métropole, réputée pour la beauté de ses paysages environnants. Il se faufilait tranquillement dans la foule impressionnante tandis que les passants se pressaient nerveusement pour se diriger vers les boutiques aux propositions alléchantes en cette période de soldes. Une telle affluence de clients n'aurait incité personne à se promener pour se détendre, mais le jeune homme n'était nullement troublé par cette effervescence.
Soudain, un homme, plus petit, le bouscule sans s'excuser. Surpris, il se retourne, mais l'homme a déjà disparu dans le tourbillon de la foule.
Il examine, observe avec attention, scrute les moindre détails du paysage urbain. Les hommes de la ville, pour la plupart, portent des chapeaux. Les femmes, quand à elles, sont vêtues de robes légères. Rares sont celles qui portent des pantalons. Bientôt, il aperçoit, au milieu de la rue, la fontaine de la ville. On raconte que c'est de la source de cette fontaine que vient la magie des panoramas des alentours. Mais ce n'est qu'une légende! Pourtant l'homme y cherche les moindres détails, différents d'une eau classique. Mais il abandonne rapidement, comprenant que ce n'est qu'une eau des plus normales. Il contourne la fontaine et continue son chemin.
L
e temps paru soudain s'arrêter.
Au milieu de la rue, cinq jeunes femmes riaient. Et, au centre de ce groupe, apparut une déesse. Son sourire illuminait la rue tout entière. Ses yeux, d'un vert émeraude, laissaient transparaitre une immense joie de vivre. Elle avait bien cinq ans de moins que lui, mais son regard était d'une sagesse profonde. Comme toutes les jeunes femmes de son groupe, elle portait une robe, dont le fond gris clair, faisait ressortir le noir intense de ses longs cheveux bruns indisciplinés. Cette robe révélait une taille parfaite. Ses manches courtes dévoilaient des épaules menues. Un magnifique ruban blanc noué à la taille d'une beauté incontestable. La jeune femme portait un large chapeau assorti à la couleur de sa robe. Ses cheveux fins et soyeux étaient aussi lumineux que ses yeux. Sa démarche était si gracieuse qu'elle semblait danser et ses ballerines glissaient délicatement sur le sol. À l'instar d'un frêle oiseau, elle paraissait prête à prendre son envol. Ses doigts, quant à eux, semblaient être dotés d'une vélocité hors du commun et filaient à travers l'air comme ceux d'un chef d'orchestre passion par son métier. Le jeune homme croyait entendre sa voix mélodieuse, mais ce n'était que le fruit de son imagination. Les lèvres quoique pâles mais souriantes de la jeune femme frémissaient, comme pour l'appeler, et lui demeurait là, pétrifié. Le temps redémarra. Les passants se remirent en marche et elle disparut comme par enchantement.l la chercha en vain dans le foule. C'était comme si elle n'avait jamais existé. Cependant, il sentait au plus profond de lui-même qu'elle était réelle. Elle ne l'avait pas vu à son plus grand déplaisir. Mais lui l'avait observée scrupuleusement. Il avait cherché son regard. Celui-ci n'était pas venu à sa rencontre. Jamais il n'avait rencontré plus belle ni plus énigmatique créature. Rien ne pouvait égaler les yeux émeraude de cette beauté. Il avait senti chez elle un calme et un respect profonds. Et en lui, il sentait désormais un vide. Son estomac était noué.