Bonjour Je suis en 3ème et j’ai des questions à faire en français sur un poème (« Paris, 1983 » de D. Laferrière) mais je n’y arrive pas. Pouvez-vous m’aider s’il vous plaît ?
Voici les questions : 1 a. Comment l'écriture du poème donne-t-elle l'impression d'une marche ? b. Quelle atmosphère se dégage de la ville ? 2 Quel(s) sentiment(s) le poète éprouve-t-il à l'égard de Paris ? Citez le texte à l'appui de votre réponse. 3 De quels symboles Paris est-il porteur pour D. Laferrière ? Expliquez en une réponse développée et argumentée. 4 a. Expliquez le dernier vers. b. Quel lien la vision de Paris dans ce poème a-t-elle avec les attentats de novembre 2015 ? Expliquez.
Voici le poème : Paris, 1983
Je marche de jour comme de nuit dans Paris depuis si longtemps déjà que je me demande qui habite l'autre toujours ému de savoir qu'un poète nommé Villon l'a fait avant moi qu'un libérateur comme Bolivar y a séjourné en dandy que mon jeune voisin Jean de la rue Masson a fêté son vingtième anniversaire jusqu'à l'aube dans un bistro situé en face d'une petite place faiblement éclairée. J'aime savoir qu'il existe une ville où les femmes aiment marcher de nuit sans s'inquiéter des ombres et aussi parce qu'on y trouve une station de métro avant la fatigue. J'aime flâner dans une ville où les quartiers contrastés fleurissent au bout de nos rêves. J'aime m'arrêter à la terrasse des cafés pour observer le ballet des serveurs. J'aime écouter dans le métro les conversations des jeunes filles qui racontent la soirée d'avant. J'aime voir les jambes nues tout le long de l'été. Cet art de vivre qu'aucune autre ville ne connaît mieux que Paris. Et que personne n'a mieux chanté que Villon et Aragon ou cette jeune fille croisée boulevard Richard-Lenoir qui s'est exclamée : « Je me suis cassé le talon mais je m'en fous si c'est à Paris, » Me voilà dans cette baignoire à lire, cette fois, Paris est une fête d'Hemingway tout en me disant qu'elle le sera toujours quoi qu'il arrive.
1 a. Comment l'écriture du poème donne-t-elle l'impression d'une marche ?
Le poème est écrit en vers libres. Il commence par "je marche" et donne l'impression d'une flânerie sans but réel dans les rues de Paris.
b. Quelle atmosphère se dégage de la ville ?
C'est un eatmosphère agréable, bohême, cosmopolite, insouciante: "toujours ému" "qu"un libérateur comme Bolivar y a séjourné en dandy", une ville où les femmes aiment marcher de nuit sans s'inquiéter des ombres", "cet art de vivre qu'aucune autre ville ne connaît mieux que Paris". C'est une ville où l'on s'amuse, où l'on oublie les affres de l'existence, une ville qui appelle à la créativité.
2 Quel(s) sentiment(s) le poète éprouve-t-il à l'égard de Paris ? Citez le texte à l'appui de votre réponse.
Le poète aime Paris. Il reprend à plusieurs reprises "j'aime Paris" et plusieurs aspects qui le plaisent dans Paris et dans les gens qui y vivent : "J"aime savoir qu'il existe une ville où les femmes marchent de nuit sans s'inquiéter des ombres", "Paris est une fête d'Hemingway".
3 De quels symboles Paris est-il porteur pour D. Laferrière ? Expliquez en une réponse développée et argumentée.
Paris est une ville :
- qui éveille l'émotion : "toujours ému de savoir [...] Villon [...] Bolivar [...] y a séjourné";
- où on vit insouciant, où on peut flâner : "a fêté [...] jusqu'à l'aube [...] d'une place faiblement éclairée";
- où il y a suffisamment de commodités modernes : "une station de métro avant la fatigue";
- cosmopolite : "où les quartiers constratés fleurissent au bout de nos rèves";
- joyeuse : "Paris est une fête".
4 a. Expliquez le dernier vers.
Paris est une ville où il fait on vivre, "une fête" et le poète désire qu'elle garde toujours cet esprit joyeux, quoi qu'il arrive.
b. Quel lien la vision de Paris dans ce poème a-t-elle avec les attentats de novembre 2015 ? Expliquez.
Le poète se rémémore le Paris de ses souvenirs, le Paris qui existe dan son coeur, et en pensant à l'horreur des attentats qui frappent brusquement et soudainement, il "se dit" avec espoir qu'elle saura toujours conserver ce qui fait son âme.
Lista de comentários
Réponse :
Bonjour,
1 a. Comment l'écriture du poème donne-t-elle l'impression d'une marche ?
Le poème est écrit en vers libres. Il commence par "je marche" et donne l'impression d'une flânerie sans but réel dans les rues de Paris.
b. Quelle atmosphère se dégage de la ville ?
C'est un eatmosphère agréable, bohême, cosmopolite, insouciante: "toujours ému" "qu"un libérateur comme Bolivar y a séjourné en dandy", une ville où les femmes aiment marcher de nuit sans s'inquiéter des ombres", "cet art de vivre qu'aucune autre ville ne connaît mieux que Paris". C'est une ville où l'on s'amuse, où l'on oublie les affres de l'existence, une ville qui appelle à la créativité.
2 Quel(s) sentiment(s) le poète éprouve-t-il à l'égard de Paris ? Citez le texte à l'appui de votre réponse.
Le poète aime Paris. Il reprend à plusieurs reprises "j'aime Paris" et plusieurs aspects qui le plaisent dans Paris et dans les gens qui y vivent : "J"aime savoir qu'il existe une ville où les femmes marchent de nuit sans s'inquiéter des ombres", "Paris est une fête d'Hemingway".
3 De quels symboles Paris est-il porteur pour D. Laferrière ? Expliquez en une réponse développée et argumentée.
Paris est une ville :
- qui éveille l'émotion : "toujours ému de savoir [...] Villon [...] Bolivar [...] y a séjourné";
- où on vit insouciant, où on peut flâner : "a fêté [...] jusqu'à l'aube [...] d'une place faiblement éclairée";
- où il y a suffisamment de commodités modernes : "une station de métro avant la fatigue";
- cosmopolite : "où les quartiers constratés fleurissent au bout de nos rèves";
- joyeuse : "Paris est une fête".
4 a. Expliquez le dernier vers.
Paris est une ville où il fait on vivre, "une fête" et le poète désire qu'elle garde toujours cet esprit joyeux, quoi qu'il arrive.
b. Quel lien la vision de Paris dans ce poème a-t-elle avec les attentats de novembre 2015 ? Expliquez.
Le poète se rémémore le Paris de ses souvenirs, le Paris qui existe dan son coeur, et en pensant à l'horreur des attentats qui frappent brusquement et soudainement, il "se dit" avec espoir qu'elle saura toujours conserver ce qui fait son âme.
Explications :
En espérant t'avoir aidé, regarde également nosdevoirs.fr/devoir/2517133