Bonjour, je suis en seconde et j’ai besoin d’aide. Je dois rédiger, sous forme de lettre, la réponse d’Hélène au poème de Ronsard (Quand vous serez bien vieille). Je dois faire environ 30 lignes sur feuille simple. Je dois parler comme dans l’ancien temps. Merci au personne qui m’aideront
Réponse : Brassens s'est plié à l'exercice et en a fait une chanson.
Tu pourrais t'en inspirer et faire la lettre en prose.
Je n‘ai que vingt cinq ans, répond la jouvencelle,
Et roses à cueillir point les veux fanées,
Consens mon vieux Ronsard que les fleurs surannées,
Flétrissent les bouquets et desservent les belles.
Ainsi de ta leçon m'en vais tirer matière,
Mais certes opterai pour un vert damoiseau,
Qui saura me chérir m’éloignant des fuseaux,
Pour un temps bien plus long que tu ne le suggères.
Piètre boniment, ton amour rédempteur,
Souffre que la jeunesse écarte tes avances
Et que ton beau sonnet empli de doléances,
Un brin présomptueux et fort inquisiteur,
Augurant mes vieux jours quand toi tu seras mort,
Finisse à la corbeille. Adieu fourbe Mentor…
Hélène
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2e6ypwkhq5
J’ai essayée en m’inspirant de cette chanson mais je n’y arrive pas, c’est très compliqué, ça va faire pratiquement 1h que je suis dessus, j’ai beaucoup de mal...
niogret2m
C'est très délicat de m'imaginer déjà si vieille sauf que tu sera vieux bien avant moi. Je n'ai que ma jeunesse et des jours à aimer. Ma jeunesse sera louée par d'autres et je serai aimée. Ménage-toi cher Ronsard, la ride te guette et l'amertume aussi. je suis gaie, je suis belle ...
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Réponse : Brassens s'est plié à l'exercice et en a fait une chanson.
Tu pourrais t'en inspirer et faire la lettre en prose.
Je n‘ai que vingt cinq ans, répond la jouvencelle,
Et roses à cueillir point les veux fanées,
Consens mon vieux Ronsard que les fleurs surannées,
Flétrissent les bouquets et desservent les belles.
Ainsi de ta leçon m'en vais tirer matière,
Mais certes opterai pour un vert damoiseau,
Qui saura me chérir m’éloignant des fuseaux,
Pour un temps bien plus long que tu ne le suggères.
Piètre boniment, ton amour rédempteur,
Souffre que la jeunesse écarte tes avances
Et que ton beau sonnet empli de doléances,
Un brin présomptueux et fort inquisiteur,
Augurant mes vieux jours quand toi tu seras mort,
Finisse à la corbeille. Adieu fourbe Mentor…
Hélène