Bonjour je suis nouveau, je dois faire une anti thèse pour lundi avec la problèmetique : Est-ce que un personnage d'un roman est un modèle?, j'ai trouvé les arguments qui sont : Antithèse : Cependant, je n'attends pas toujours de ce personnage qu'il soit un héros, mais un anti-héros : en incarnant des valeurs négatives car 1) il montre le côté négatif de l'Humain, : sa face cachée : jalousie, cupidité, mensonge, besoin de se montrer et d'impressionner. → roman réaliste 2) il peut rendre le roman beaucoup plus attrayant : plus de suspense, on veut savoir ce qu'il va lui arriver. 3) il peut provoquer divers sentiments chez le lecteur : de la compassion, pitié : on espère que malgré tout ses côtés négatifs, il va arriver à changer, à s'en sortir. Mais je n'arrive pas à trouver des exemples à ceux ci s'il vous plaît j'ai besoin de votre aide , je n'arriverais pas tout seul car je n'ai aucune connaissance litéraire. Merci d'avance !
Bonsoir, comme exemple tu peux utiliser : Splendeur et misère d’une courtisane, de Balzac. Un personnage méchant devient un personnage principal, il est pourtant méchant : manipulateur, ancien bagnard, et il pousse l’héroïne à la prostitution. Pourtant sans sa ruse, les protagonistes ne survivraient pas, et ce n’est que parce qu’il est retardé dans son plan que le héros meurt. La mise en place de héros méchant permet de nuancer les psychologies et de se rapprocher de la vie : personne n’est tout blanc comme tout noir. Le lecteur apprend à s’identifier à des personnages auxquels il n’a pas l’habitude de croire et Le voyage au bout de la nuit, de Louis Ferdinand Céline : Propose une autre définition du personnage : le personnage fou. Le lecteur suit : Bardamu, misanthrope et paranoïaque. Tout le récit est conditionné par ces caractéristiques du personnage. Cela apporte au roman une nouvelle perception des choses puisque que le lecteur croit d’abord objectif puisqu’il l’ab de suivre des personnages sains. Au fur et à mesure que Bardamu rencontre des gens, le lecteur perçoit ce côté malade et malsain du personnage principal, et à prendre du recul par rapport à la fiction et pour terminer Journal intime de Sally Mara, de Raymond Queneau. Le personnage principal est naïf et idiot. Le lecteur est obligé de se fier à la subjectivité de Sally car il n’y a pas d’autre narrateur. Le narrateur devient plus que banal, il devient déficient. Cela pousse le lecteur à se questionner sur la validité du personnage, et sur la raison de son existence. Cela permet de voir le monde d’une manière totalement hors du commun, une sorte de dépaysement total que le merveilleux.
Lista de comentários
Bonsoir, comme exemple tu peux utiliser : Splendeur et misère d’une courtisane, de Balzac. Un personnage méchant devient un personnage principal, il est pourtant méchant : manipulateur, ancien bagnard, et il pousse l’héroïne à la prostitution. Pourtant sans sa ruse, les protagonistes ne survivraient pas, et ce n’est que parce qu’il est retardé dans son plan que le héros meurt. La mise en place de héros méchant permet de nuancer les psychologies et de se rapprocher de la vie : personne n’est tout blanc comme tout noir. Le lecteur apprend à s’identifier à des personnages auxquels il n’a pas l’habitude de croire et Le voyage au bout de la nuit, de Louis Ferdinand Céline : Propose une autre définition du personnage : le personnage fou. Le lecteur suit : Bardamu, misanthrope et paranoïaque. Tout le récit est conditionné par ces caractéristiques du personnage. Cela apporte au roman une nouvelle perception des choses puisque que le lecteur croit d’abord objectif puisqu’il l’ab de suivre des personnages sains. Au fur et à mesure que Bardamu rencontre des gens, le lecteur perçoit ce côté malade et malsain du personnage principal, et à prendre du recul par rapport à la fiction et pour terminer Journal intime de Sally Mara, de Raymond Queneau. Le personnage principal est naïf et idiot. Le lecteur est obligé de se fier à la subjectivité de Sally car il n’y a pas d’autre narrateur. Le narrateur devient plus que banal, il devient déficient. Cela pousse le lecteur à se questionner sur la validité du personnage, et sur la raison de son existence. Cela permet de voir le monde d’une manière totalement hors du commun, une sorte de dépaysement total que le merveilleux.