Bonjour, Je suis presqu'au terme de mon exposé qui a pour thème: LA JUSTICE et pour problématique: DOIS T-ON SE FIER A LA JUSTICE ? Bien évidemment que suis de cette avis, pour justifier pourquoi je suis de cette avis J'aimerai parler dans ce exposé des actions menées par la justice. Votre aide me sera très précieuse, merci d'avance.
Notre société recherche le bien commun, conçu comme intérêt général, ce qui ne peut être défini que par une volonté générale de notre société. Une loi juste ne pourra donc jamais être la volonté générale à l'unanimité. Cela dit, la conception et la définition de l’intérêt général par la volonté générale ne peut aller que par définition dans le sens de la société pour une meilleure condition de vie. Pour être juste et légitime, la Volonté générale ne peut pas aller totalement à l’encontre des valeurs fondamentales que l'homme s'est donné, à savoir la dignité morale, la liberté et l’égalité « naturelle » des individus. Elle est rendue possible et légitime si nous rendons possible et valide le « contrat », la convention, le pacte social qui a fait naître l'égalité et la notion de justice en principe. Une convention, c'est ce qui est inventé par l'homme, ce qui n'existe pas naturellement. Il est vrai que si l'homme agissait seulement de par sa loi morale qu'il se serait construit selon son propre mode de vie, et selon ses propres pulsions, il y aurait beaucoup plus de problèmes de citoyenneté. Du fait que notre mode de vie soit encadré par des lois, selon Socrate, les lois éviteraient l'anarchie. C'est pourquoi le contrat social doit être mis en place pour une meilleure vie sociale.
L’État va poser des limites pour éviter les débordements. L’État met donc des limites aux désirs de chacun, c'est une contrainte qui va limiter la multiplication de nos désirs et nous garantir la liberté de faire ce que l'on veut vraiment avec notre raison et non ce que l'on désire car je désirerais toujours plus. Quand je suis les lois je suis indépendant, alors pour Socrate il faut suivre les lois car elles garantissent notre liberté et nous posent des limites, nous empêchent de vivre dans l'anarchie, c'est dans notre intérêt. Si dans un régime démocratique les lois sont par définition, légitimes car elles représentent l’intérêt général, encore faut il qu'elles soient claires , expliquées, applicables et semblables aux valeurs de notre société. Avec ces conditions, les citoyens pourront y obéir.
Si juste et injuste sont déterminés par le jugement humain et dérivés de notre nature, alors, la justice comme sentiment moral doit être affirmée par l’homme, et posée comme une exigence morale. Ce qui implique que le juste et l’injuste sont fondés sur deux choses. L'une repose d’abord sur le droit de la nature humaine, au sein des cultures et l'autre, sur une décision humaine au titre de morale universelle. Le juste et l’injuste sont donc, à la fois, des éléments appartenant au registre du droit naturel et des conventions humaines. Le juste et l'injuste relèvent à la fois d'une convention et d'une valeur qui n'est autre que la valeur morale. Pour finir, on notera qu'il y a du juste par nature, mais heureusement qu'il y a des conventions pour pouvoir contenir notre faible voix de la raison.
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Bonsoir,Notre société recherche le bien commun, conçu comme intérêt général, ce qui ne peut être défini que par une volonté générale de notre société. Une loi juste ne pourra donc jamais être la volonté générale à l'unanimité. Cela dit, la conception et la définition de l’intérêt général par la volonté générale ne peut aller que par définition dans le sens de la société pour une meilleure condition de vie. Pour être juste et légitime, la Volonté générale ne peut pas aller totalement à l’encontre des valeurs fondamentales que l'homme s'est donné, à savoir la dignité morale, la liberté et l’égalité « naturelle » des individus. Elle est rendue possible et légitime si nous rendons possible et valide le « contrat », la convention, le pacte social qui a fait naître l'égalité et la notion de justice en principe.
Une convention, c'est ce qui est inventé par l'homme, ce qui n'existe pas naturellement. Il est vrai que si l'homme agissait seulement de par sa loi morale qu'il se serait construit selon son propre mode de vie, et selon ses propres pulsions, il y aurait beaucoup plus de problèmes de citoyenneté. Du fait que notre mode de vie soit encadré par des lois, selon Socrate, les lois éviteraient l'anarchie. C'est pourquoi le contrat social doit être mis en place pour une meilleure vie sociale.
L’État va poser des limites pour éviter les débordements. L’État met donc des limites aux désirs de chacun, c'est une contrainte qui va limiter la multiplication de nos désirs et nous garantir la liberté de faire ce que l'on veut vraiment avec notre raison et non ce que l'on désire car je désirerais toujours plus. Quand je suis les lois je suis indépendant, alors pour Socrate il faut suivre les lois car elles garantissent notre liberté et nous posent des limites, nous empêchent de vivre dans l'anarchie, c'est dans notre intérêt. Si dans un régime démocratique les lois sont par définition, légitimes car elles représentent l’intérêt général, encore faut il qu'elles soient claires , expliquées, applicables et semblables aux valeurs de notre société. Avec ces conditions, les citoyens pourront y obéir.
Si juste et injuste sont déterminés par le jugement humain et dérivés de notre nature, alors, la justice comme sentiment moral doit être affirmée par l’homme, et posée comme une exigence morale. Ce qui implique que le juste et l’injuste sont fondés sur deux choses. L'une repose d’abord sur le droit de la nature humaine, au sein des cultures et l'autre, sur une décision humaine au titre de morale universelle. Le juste et l’injuste sont donc, à la fois, des éléments appartenant au registre du droit naturel et des conventions humaines. Le juste et l'injuste relèvent à la fois d'une convention et d'une valeur qui n'est autre que la valeur morale. Pour finir, on notera qu'il y a du juste par nature, mais heureusement qu'il y a des conventions pour pouvoir contenir notre faible voix de la raison.