Bonjour je voudrais de l'aide pour une rédaction sur la capture, le trajet et la conditions de vie d'un groupe d'esclave voilà Merci !!
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lolita222
Dans les colonies du Nord, les esclaves étaient utilisés à des tâches domestiques et dans le commerce. Dans les colonies du centre ils étaient davantage utilisés dans l’agriculture, et dans les colonies du Sud où dominait l’agriculture de plantations, presque tous les esclaves travaillaient dans celles-ci et notamment dans les plantations de coton, de café et de canne à sucre, les trois grandes plantes « esclavagistes »où les conditions de vie étaient atroces.
Le travail épuisait les esclaves du matin tôt jusque tard dans la nuit: Aux Antilles, les esclaves étaient réveillés vers 5 h du matin par un claquement de fouet. Après la prière et l’appel c’est le départ pour les champs. A midi, ils disposent de deux heures pour préparer leur repas et manger. Puis le travail reprend jusqu’a la tombée de la nuit. Mais la journée n’est pas finie pour autant: il faut encore chercher de l’herbe pour le bétail. Ensuite seulement les esclaves peuvent rentrer dans leur case pour préparer, en famille, leur repas. Vers minuit, épuisés, ils se jettent sur leur lit pour une courte nuit de sommeil.
Tout les esclaves souhaitent retrouver la liberté. Mais peu tentent de s’évader. Le Code noir, rédigé au temps de Colbert en 1685, punit trés durement les fugitifs. Dans les colonies des Amériques, de nombreux esclaves africain travaillent dans les plantations (coton, café, canne a sucre….) en étant au contact des blanc européens, leur culture change au fur est a mesure, ils adoptent une nouvelle religion : le christianisme mais sans oublier leur tradition et leur rites africains. Leur dance, leur chant et leur musique ont une place très importante dans la vie quotidienne . Pour rythmer le travail pénible et difficile dans le chant (interdiction de parler) les esclaves noirs pratiquent les worksongs c’est-à-dire le chant du travail. D’abord le chant était sans accompagnement, puis, peu a peu ils utilisent des instruments comme le tambour akan, la flute ou le violon Les nègre y apportent et y conservent leur penchant pour la danse (qui se danser pied nus et en couples) quand les nègres veulent danser, ils prennent deux tambour, qui résonnent sous les coups de poignet et le mouvement des doigts du nègre qui se tient a la califourchon sur chaque tambour. Un danseur et une danseuse s’élancent au milieu de l’espace et se mettent à danser, en figurant toujours deux a deux. Donc avec étude précédent, on peu conclure que la musique, le chant et la danse on une place très important dans la culture et la vie quotidienne des esclaves qui ont évolué et ont été influencer par les européens. Les esclaves au fil du temps ont créé le Negro spiritual l’ancêtre de la musique afro-américaine et du Jazz. Les negro spirituals étaient avant tout des chants religieux noirs, mélangeant traditions africaines et mélodies liturgiques européennes, psaumes souvent chantés a cappella par un groupe vocal, et qui se caractérisait par une grande liberté d’improvisation à partir d’une ligne mélodique. Elle servait également de cadre aux prières collectives et permettait de se communiquer clandestinement, notamment pour organiser des évasions.
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Le travail épuisait les esclaves du matin tôt jusque tard dans la nuit: Aux Antilles, les esclaves étaient réveillés vers 5 h du matin par un claquement de fouet. Après la prière et l’appel c’est le départ pour les champs. A midi, ils disposent de deux heures pour préparer leur repas et manger. Puis le travail reprend jusqu’a la tombée de la nuit. Mais la journée n’est pas finie pour autant: il faut encore chercher de l’herbe pour le bétail. Ensuite seulement les esclaves peuvent rentrer dans leur case pour préparer, en famille, leur repas. Vers minuit, épuisés, ils se jettent sur leur lit pour une courte nuit de sommeil.
Tout les esclaves souhaitent retrouver la liberté. Mais peu tentent de s’évader. Le Code noir, rédigé au temps de Colbert en 1685, punit trés durement les fugitifs.
Dans les colonies des Amériques, de nombreux esclaves africain travaillent dans les plantations (coton, café, canne a sucre….) en étant au contact des blanc européens, leur culture change au fur est a mesure, ils adoptent une nouvelle religion : le christianisme mais sans oublier leur tradition et leur rites africains. Leur dance, leur chant et leur musique ont une place très importante dans la vie quotidienne . Pour rythmer le travail pénible et difficile dans le chant (interdiction de parler) les esclaves noirs pratiquent les worksongs c’est-à-dire le chant du travail. D’abord le chant était sans accompagnement, puis, peu a peu ils utilisent des instruments comme le tambour akan, la flute ou le violon Les nègre y apportent et y conservent leur penchant pour la danse (qui se danser pied nus et en couples) quand les nègres veulent danser, ils prennent deux tambour, qui résonnent sous les coups de poignet et le mouvement des doigts du nègre qui se tient a la califourchon sur chaque tambour. Un danseur et une danseuse s’élancent au milieu de l’espace et se mettent à danser, en figurant toujours deux a deux. Donc avec étude précédent, on peu conclure que la musique, le chant et la danse on une place très important dans la culture et la vie quotidienne des esclaves qui ont évolué et ont été influencer par les européens. Les esclaves au fil du temps ont créé le Negro spiritual l’ancêtre de la musique afro-américaine et du Jazz. Les negro spirituals étaient avant tout des chants religieux noirs, mélangeant traditions africaines et mélodies liturgiques européennes, psaumes souvent chantés a cappella par un groupe vocal, et qui se caractérisait par une grande liberté d’improvisation à partir d’une ligne mélodique. Elle servait également de cadre aux prières collectives et permettait de se communiquer clandestinement, notamment pour organiser des évasions.