La ville de Londres au XVIII° siècle était la plus insolite qui soit. Un peuple disparate que l'on retrouvait aussi dans les pensions. Celle de Fabrice tenait lieu de café mais aussi de pension de famille puisqu'il louait aux hôtes de passage, chambre ou petit appartement. Il se présenta ce jour là un monsieur fort bien mis mais à l'air hautain. Il se renseignait à l'accueil sur les services de cet établissement discret. Il lui fut répondu qu'une seule locataire occupait pour l'instant une chambre meublée mais elle sortait peu étant très discrète . On avait pourtant remarqué sa beauté. Le monsieur, décidément fort dédaigneux, déclina son identité, Monsieur Monroe, et sortit. Il fut interpellé sur la terrasse par Frélon, sorte de bonimenteur qui se faisait passer pour un écrivain public. Il proposa ses services non sans avoir d'abord flatté le client en lui donna du Milord. Monroe, plus grand seigneur que jamais, déclina l'offre et ironisa sur le sort qu'on pourrait bien réserver à ce bonimenteur Frélon si on l'exposait sur la place publique.
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morgsne5
Merci niogret mais n'est-ce pas que je demande.
morgsne5
Il faut transposer le texte de théâtre en texte du récit
morgsne5
Pourquoi il n'y pas de dialogue dans le récit ?
niogret2m
je t'ai fait une page de roman. Tu peux y inclure du discours direct si tu le souhaites.
morgsne5
D'accord je vous remercie beaucoup ! Bonne soirée à
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La ville de Londres au XVIII° siècle était la plus insolite qui soit. Un peuple disparate que l'on retrouvait aussi dans les pensions. Celle de Fabrice tenait lieu de café mais aussi de pension de famille puisqu'il louait aux hôtes de passage, chambre ou petit appartement. Il se présenta ce jour là un monsieur fort bien mis mais à l'air hautain. Il se renseignait à l'accueil sur les services de cet établissement discret. Il lui fut répondu qu'une seule locataire occupait pour l'instant une chambre meublée mais elle sortait peu étant très discrète . On avait pourtant remarqué sa beauté. Le monsieur, décidément fort dédaigneux, déclina son identité, Monsieur Monroe, et sortit. Il fut interpellé sur la terrasse par Frélon, sorte de bonimenteur qui se faisait passer pour un écrivain public. Il proposa ses services non sans avoir d'abord flatté le client en lui donna du Milord. Monroe, plus grand seigneur que jamais, déclina l'offre et ironisa sur le sort qu'on pourrait bien réserver à ce bonimenteur Frélon si on l'exposait sur la place publique.
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