Bonjour j'espère que vous allez bien pourriez vous m'aider pour cette exercice s'il vous plaît merci. 1) Réécrivez ce texte au passé composé et en remplaçant « je » par «elle». J'arrache mes lunettes , je les tiens loin de moi. L'air vif crochète mes paupières , tire des larmes de froid , suivies d'autres , que je n'essaie même pas s'arrêter. Une main serre ma gorge , une autre froisse nerveusement mon estomac. Je ne sais pas pourquoi. C'est , depuis quelques temps , comme ça : une mélancolie qui me noie.
2) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait.
Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée ; et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.
Cependant du haut de la montagne arrive à mon balcon , à travers les nues transparentes du soir , un grand hurlement , composé d'une foule de cris discordant , que l'espace transforme en une lugubre harmonie.
3) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait et remplacez « Deux vieux marins» par « Deux vieilles navigatrices». Faites toutes les modifications nécessaires.
Deux vieux marins des mers du Nord
[...] Revenaient , un soir d'automne , [...].
Joyeux d'orgueil, ils regagnaient leur fiord [...].
De la rive , les gens du port
Les regardaient , sans faire un signe :
Aux cordages le long des mâts ,
Les Sirènes , couvertes d'or ,
Tordaient , comme des vignes ,
Les lignes
Sinueuses de leurs corps.
Et les gens [...] , ne sachant pas
Ce qui venait de l'océan , là-bas ,
À travers brumes ,
Le navire voguait comme un panier d'argent
Rempli de chair , de fruits et d'or bougeant
Qui s'avançait , porte sur des ailes d'écume.
Merci et à bientôt.
2) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait.
Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée ; et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule.
Cependant du haut de la montagne arrive à mon balcon , à travers les nues transparentes du soir , un grand hurlement , composé d'une foule de cris discordant , que l'espace transforme en une lugubre harmonie.
3) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait et remplacez « Deux vieux marins» par « Deux vieilles navigatrices». Faites toutes les modifications nécessaires.
Deux vieux marins des mers du Nord
[...] Revenaient , un soir d'automne , [...].
Joyeux d'orgueil, ils regagnaient leur fiord [...].
De la rive , les gens du port
Les regardaient , sans faire un signe :
Aux cordages le long des mâts ,
Les Sirènes , couvertes d'or ,
Tordaient , comme des vignes ,
Les lignes
Sinueuses de leurs corps.
Et les gens [...] , ne sachant pas
Ce qui venait de l'océan , là-bas ,
À travers brumes ,
Le navire voguait comme un panier d'argent
Rempli de chair , de fruits et d'or bougeant
Qui s'avançait , porte sur des ailes d'écume.
Merci et à bientôt.
More Questions From This User See All
Lista de comentários
Réponse :
Bonsoir
Explications :
1. passé composé / et on remplace "je" par "elle"
Elle a arraché ses lunettes , elle les a tenues loin d'elle . L'air vif a crocheté ses paupières , a tiré des larmes de froid , suivies d'autres , qu'elle n'a même pas essayé d'arrêter. Une main a serré sa gorge , une autre a froissé nerveusement son estomac. Elle n'a pas su pourquoi. C'était (concordance des temps: dc imparfait ici) , depuis quelques temps , comme ça : une mélancolie qui l'a noyée.
2) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait.
Le jour était tombé. Un grand apaisement s'était fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée ; et leurs pensées avaient pris alors ( changement de l adverbe de temps avec plus que parfait) les couleurs tendres et indécises du crépuscule.
Cependant du haut de la montagne était arrivé à mon balcon , à travers les nues transparentes du soir , un grand hurlement , composé d'une foule de cris discordant , que l'espace avait transformé en une lugubre harmonie.
3) Réécrivez ce texte au plus-que-parfait et remplacez « Deux vieux marins» par « Deux vieilles navigatrices».
Deux vieilles navigatrices des mers du Nord
[...] Etaient revenues , un soir d'automne , [...].
Joyeuses d'orgueil, elles avaient regagné leur fiord [...].
De la rive , les gens du port
Les avaient regardées , sans faire un signe :
Aux cordages le long des mâts ,
Les Sirènes , couvertes d'or ,
Avaient tordu , comme des vignes ,
Les lignes
Sinueuses de leurs corps.
Et les gens [...] , ne sachant pas
Ce qui était venu de l'océan , là-bas ,
À travers brumes ,
Le navire avait vogué comme un panier d'argent
Rempli de chair , de fruits et d'or bougeant
Qui s' était avancé , porté sur des ailes d'écume.