Bonjour jr manque d idées pouvez vous me rédiger une rédaction sur un pauvre paysan est tourmenté par le comportement de son riche voisin qui n'a de cesse de se moquer de lui.mais le fils du paysan va venger son père en se faisant passer pour seigeur sur quoi je pourrais commencer ma redaction merci m'aider
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hugoker
Un riche propriétaire, possédant de nombreuses terres, bovins et chevaux, vivait à la campagne dans une immense métairie, composée d'écuries, d'étables, de grands greniers à grains, entourée de terres de culture et d'élevage. Cet homme vivait seul, riche mais seul, avec seulement quelques domestiques dans ce grand corps de ferme. Ses domestiques ne l'aimaient guère, il était dédaigneux, hautain, dur, parfois méchant, moqueur. Près de là, une petite maison, avec un tout petit lopin de terre, abritait une famille de paysans, qui travaillait dur chaque jour pour faire bouillir la marmite. L'homme partait de bon matin, chaque jour de la semaine, travaillait dans une carrière, la femme cultivait le petit potager, en récoltait quelques légumes qu'elle vendait sur le marché du village. Pauvrement vêtus, sans souliers, des guenilles en guise d'habits, ils vivaient ainsi, unis dans la misère. Chaque soir, en rentrant de son travail, notre paysan croisait son riche voisin. Celui ci, monté sur son cheval, chapeauté, élégamment habillé, très pompeux, dévisageait d'un air hautain le paysan et lui lançait à la figure : - " alors, mon brave, encore un jour à manger du bouillon sans pain, la poule au pot ce n'est pas pour ce soir, n'est ce pas !!!!" Et il repartait au galop, en s'esclaffant, laissant dans le désarroi notre paysan. Chaque soir, chaque soir, les mêmes réflexions méchantes. Celui ci rentrait chez lui, embrassait sa femme et lui racontait, chaque jour, les remarques désobligeantes de cet homme odieux. Sa femme pleurait, lui répétait de ne pas prêter attention à ces sarcasmes, que cet odieux personnage finirait bien par s'en lasser......... Un soir d'orage, le fils, qui travaillait loin de là, rendit visite à ses parents. Il les vit décontenancés, agacés par ses paroles blessantes, blessés dans leur chair... Le lendemain soir, le fils se mit en chemin, fit mine d'aller à la rencontre de son père, et se cacha dans un bosquet. De loin, il vit son pauvre père arriver, courbant le dos, marchant lentement après cette dure journée d'efforts. Soudain, le galop d'un cheval. - Alors voisin, toujours pas de sabots aux pieds, l'hiver est proche, tes guenilles ne tiendront pas au chaud, ni toi ni ta gueuse de femme.... !!" et le cheval s'enfuit à toute allure, ne laissant dans son sillage que le rire bruyant de son maitre... Notre paysan continua sa route, des larmes coulaient sur ses joues, son fils cachés dans son bosquet, le vit ainsi, anéanti....Il resta tapis dans son bosquet. ça ne pouvait plus durer, il se devait d'agir. De bon matin, le lendemain, le fils se dirigea d'un pas alerte vers la ferme du riche voisin de son père. Il admira au passage l'étendue de terres, la propreté du corps de ferme, la grande maison en pierre aux jolis rideaux blancs..... Le fils était vêtu simplement, mais proprement, et pour se donner de l'importance, il s'était bagué le doigt et chapeauté la tête. Il avançait, la tête haute, le torse bombé, dans cette immense cour... Soudain, la grande porte de bois s'ouvrit, laissant apparaître le maitre des lieux. Il descendit alertement les quelques marches, s'approcha de cet intrus: - à qui ai je l'honneur, très cher ? - Seigneur de Las Rocas, possesseur de la terre des Orgues, de l'état d'Oc..je suis dans l'obligation de réquisition.... - de réquisition ?????? - votre métairie est désormais réquisitionnée pour les chevaliers de mon fief, vos grandes écuries abriteront les chevaux, je vous ordonne sur le champ de quitter cet endroit, la petite maison abandonné par vos valets à l'entrée de la propriété fera votre affaire, mon brave....Allez, allez , passez votre chemin. - vous ne savez qui je suis, je suis riche, très riche......et je vous briserai... - Qu'à cela ne tienne, vos biens, vos terres, vos animaux, vos meubles, voici par cet écrit, la notification de saisie!!!" Le fils, qui ne tenait à la main qu'un simple parchemin blanc, le tendit effrontément au maitre des lieux. Celui ci devint livide, blanc de peur, tomba à genoux, supplia le fils.... L'odieux personnage n'était plus qu'une loque au pied du fils, celui ci tenait sa vengeance.... il fut bien obligé au fils de révéler sa supercherie, il fit jurer au maitre des lieux de se comporter en homme digne envers ses parents, envers ses valets... De ce jour, notre brave paysan et sa gueuse de femme sont venus à la métairie, ils travaillent tous deux désormais pour le riche métayer, qui,lui, a mis de l'eau dans son vin.
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hugoker
voilà tu en fais ce que tu veux, tu peux bien sur faire des modifications, changer la fin .......
ruimanuelsard
super j aime beaucoup l histoire quel imagination !!
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Près de là, une petite maison, avec un tout petit lopin de terre, abritait une famille de paysans, qui travaillait dur chaque jour pour faire bouillir la marmite. L'homme partait de bon matin, chaque jour de la semaine, travaillait dans une carrière, la femme cultivait le petit potager, en récoltait quelques légumes qu'elle vendait sur le marché du village. Pauvrement vêtus, sans souliers, des guenilles en guise d'habits, ils vivaient ainsi, unis dans la misère.
Chaque soir, en rentrant de son travail, notre paysan croisait son riche voisin.
Celui ci, monté sur son cheval, chapeauté, élégamment habillé, très pompeux, dévisageait d'un air hautain le paysan et lui lançait à la figure :
- " alors, mon brave, encore un jour à manger du bouillon sans pain, la poule au pot ce n'est pas pour ce soir, n'est ce pas !!!!"
Et il repartait au galop, en s'esclaffant, laissant dans le désarroi notre paysan. Chaque soir, chaque soir, les mêmes réflexions méchantes.
Celui ci rentrait chez lui, embrassait sa femme et lui racontait, chaque jour, les remarques désobligeantes de cet homme odieux. Sa femme pleurait, lui répétait de ne pas prêter attention à ces sarcasmes, que cet odieux personnage finirait bien par s'en lasser......... Un soir d'orage, le fils, qui travaillait loin de là, rendit visite à ses parents. Il les vit décontenancés, agacés par ses paroles blessantes, blessés dans leur chair...
Le lendemain soir, le fils se mit en chemin, fit mine d'aller à la rencontre de son père, et se cacha dans un bosquet. De loin, il vit son pauvre père arriver, courbant le dos, marchant lentement après cette dure journée d'efforts. Soudain, le galop d'un cheval.
- Alors voisin, toujours pas de sabots aux pieds, l'hiver est proche, tes guenilles ne tiendront pas au chaud, ni toi ni ta gueuse de femme.... !!"
et le cheval s'enfuit à toute allure, ne laissant dans son sillage que le rire bruyant de son maitre...
Notre paysan continua sa route, des larmes coulaient sur ses joues, son fils
cachés dans son bosquet, le vit ainsi, anéanti....Il resta tapis dans son bosquet.
ça ne pouvait plus durer, il se devait d'agir.
De bon matin, le lendemain, le fils se dirigea d'un pas alerte vers la ferme du riche voisin de son père. Il admira au passage l'étendue de terres, la propreté du corps de ferme, la grande maison en pierre aux jolis rideaux blancs..... Le fils était vêtu simplement, mais proprement, et pour se donner de l'importance, il s'était bagué le doigt et chapeauté la tête.
Il avançait, la tête haute, le torse bombé, dans cette immense cour... Soudain, la grande porte de bois s'ouvrit, laissant apparaître le maitre des lieux. Il descendit alertement les quelques marches, s'approcha de cet intrus:
- à qui ai je l'honneur, très cher ?
- Seigneur de Las Rocas, possesseur de la terre des Orgues, de l'état d'Oc..je suis dans l'obligation de réquisition....
- de réquisition ??????
- votre métairie est désormais réquisitionnée pour les chevaliers de mon fief,
vos grandes écuries abriteront les chevaux, je vous ordonne sur le champ de quitter cet endroit, la petite maison abandonné par vos valets à l'entrée de la propriété fera votre affaire, mon brave....Allez, allez , passez votre chemin.
- vous ne savez qui je suis, je suis riche, très riche......et je vous briserai...
- Qu'à cela ne tienne, vos biens, vos terres, vos animaux, vos meubles, voici par cet écrit, la notification de saisie!!!"
Le fils, qui ne tenait à la main qu'un simple parchemin blanc, le tendit effrontément au maitre des lieux. Celui ci devint livide, blanc de peur, tomba à genoux, supplia le fils.... L'odieux personnage n'était plus qu'une loque au pied du fils, celui ci tenait sa vengeance....
il fut bien obligé au fils de révéler sa supercherie, il fit jurer au maitre des lieux de se comporter en homme digne envers ses parents, envers ses valets...
De ce jour, notre brave paysan et sa gueuse de femme sont venus à la métairie, ils travaillent tous deux désormais pour le riche métayer, qui,lui, a mis de l'eau dans son vin.