Ton personnage, qui raconte son histoire d'un point de vue interne ("je"), se balade dans la rue. Il fait nuit, la lune est ronde et pâle (n'oublie pas ce détail, la lune est très importante dans le fantastique). Soudain, ton personnage voit une ombre, environ 20 mètres devant lui. Une ombre de 3mètres de haut, une silhouette non-humaine... Bref, ton personnage veut fuir. Il se retourne et revoit cette même ombre au loin. Il tourne sa tête : l'ombre a disparu. Le héros prend ses jambes à son cou pour rentrer le plus vite chez lui (emploie le champ lexical de la peur à cet extrait). La rue est calme, déserte. Le héros marche, épuisé. La lumière de la lune envoie l'ombre de ton personnage sur les murs des immeubles. Ton héros sursaute : il voit son ombre prendre la forme du "machin difforme" de tout à l'heure. Et là, pour conclure, ton héros se réveille à l'hôpital (ou chez lui, comme tu veux). Pas de transition, ni avant, ni après, tu finis comme ça (genre une phrase : "je crois que je me suis réveillé ici", après, à voir avec le temps du texte). Ca laisse pour le lecteur plein de questions du genre "A-t-il rêvé ?", "était-ce vraiment la réalité ?"... Bref, pleins de questions digne d'un récit fantastique !
J'espère que ça t'a bien donné au minimum une idée !
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Ton personnage, qui raconte son histoire d'un point de vue interne ("je"), se balade dans la rue. Il fait nuit, la lune est ronde et pâle (n'oublie pas ce détail, la lune est très importante dans le fantastique).
Soudain, ton personnage voit une ombre, environ 20 mètres devant lui. Une ombre de 3mètres de haut, une silhouette non-humaine... Bref, ton personnage veut fuir. Il se retourne et revoit cette même ombre au loin. Il tourne sa tête : l'ombre a disparu.
Le héros prend ses jambes à son cou pour rentrer le plus vite chez lui (emploie le champ lexical de la peur à cet extrait). La rue est calme, déserte.
Le héros marche, épuisé. La lumière de la lune envoie l'ombre de ton personnage sur les murs des immeubles. Ton héros sursaute : il voit son ombre prendre la forme du "machin difforme" de tout à l'heure.
Et là, pour conclure, ton héros se réveille à l'hôpital (ou chez lui, comme tu veux). Pas de transition, ni avant, ni après, tu finis comme ça (genre une phrase : "je crois que je me suis réveillé ici", après, à voir avec le temps du texte). Ca laisse pour le lecteur plein de questions du genre "A-t-il rêvé ?", "était-ce vraiment la réalité ?"... Bref, pleins de questions digne d'un récit fantastique !
J'espère que ça t'a bien donné au minimum une idée !