Bonjour niveau 3eme, pouver vous m'aider c'est pour le lundi d'après les vacances. Il faut faire un récit de 45-60 lignes (feuille de classeur) sur une injustice ou j'ai été témoin ou victime Photo du sujet:
Un jour comme un autre, j'accompagnai mon père dans un magasin de bricolage. Ma présence n'était pas désintéressée, mon père avait eu l'idée de me proposer de me faire des étagères pour ma chambre. Le conseiller se faisait attendre, mais bon, pour moi, c'était pour la bonne cause. Arrivés au rayon, nous vînmes un homme s'agiter car apparemment il attendait depuis un long moment et personne ne le servait. Rien ne pouvait justifier le désintérêt, l'ignorance de sa présence, ah, si sa couleur de peau, noire, très noire et un vocabulaire approximatif. Impossible de ne pas le voir. Discret, mais très poli, il faisait des gestes que les autres ignoraient. Enfin, le conseiller arriva et s'adressa directement à mon père. Celui-ci lui fit remarquer cet homme qui attendait depuis un bon moment. Sa réponse fut cinglante : " qu'il retourne dans son pays"; mon père abasourdi de cette réponse, obligea ce salarié à le servir et surtout à ne pas lui faire acheter n'importe quoi. Puis comme menace, lui fit savoir qu'il réclamait la présence du responsable. Dans le haut parleur, monsieur Lapointe fut réclamé dans notre rayon. Il arriva tout essoufflé et écouta les explications de mon père. A la fin de la phrase, rouge de colère, il demanda à son salarié d'aller ranger les palettes de la réserve, il s'excusa près du client et le servit avec attention, puis l'accompagna à la caisse. Waouh, j'avais assisté à un certain truc. Je suis passé par l'étonnement, la colère mais aussi par la justesse que mon père dégageait par son intervention. Je ne suis pas prêt de l'oublier.
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gabylou
est ce que sa passe sur une feuille à carreau de classeur et il faut 40-60 ligne
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Bonjour
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Un jour comme un autre, j'accompagnai mon père dans un magasin de bricolage. Ma présence n'était pas désintéressée, mon père avait eu l'idée de me proposer de me faire des étagères pour ma chambre. Le conseiller se faisait attendre, mais bon, pour moi, c'était pour la bonne cause. Arrivés au rayon, nous vînmes un homme s'agiter car apparemment il attendait depuis un long moment et personne ne le servait. Rien ne pouvait justifier le désintérêt, l'ignorance de sa présence, ah, si sa couleur de peau, noire, très noire et un vocabulaire approximatif. Impossible de ne pas le voir. Discret, mais très poli, il faisait des gestes que les autres ignoraient. Enfin, le conseiller arriva et s'adressa directement à mon père. Celui-ci lui fit remarquer cet homme qui attendait depuis un bon moment. Sa réponse fut cinglante : " qu'il retourne dans son pays"; mon père abasourdi de cette réponse, obligea ce salarié à le servir et surtout à ne pas lui faire acheter n'importe quoi. Puis comme menace, lui fit savoir qu'il réclamait la présence du responsable. Dans le haut parleur, monsieur Lapointe fut réclamé dans notre rayon. Il arriva tout essoufflé et écouta les explications de mon père. A la fin de la phrase, rouge de colère, il demanda à son salarié d'aller ranger les palettes de la réserve, il s'excusa près du client et le servit avec attention, puis l'accompagna à la caisse. Waouh, j'avais assisté à un certain truc. Je suis passé par l'étonnement, la colère mais aussi par la justesse que mon père dégageait par son intervention. Je ne suis pas prêt de l'oublier.