Bonjour ou Bonsoir, j'ai une réécriture à faire, pouvez vous m'aider svp ?
« Ma seule consolation, quand je montais me coucher, était que maman viendrait m’embrasser quand je serais dans mon lit. Mais ce bonsoir durait si peu de temps, elle redescendait si vite, que le moment où je l’entendais monter, puis où passait dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin de mousseline bleue […], était pour moi un moment douloureux. Il annonçait celui qui allait le suivre, où elle m’aurait quitté, où elle serait redescendue. De sorte que ce bonsoir que j’aimais tant, j’en arrivais à souhaiter qu’il vînt le plus tard possible, à ce que se prolongeât le temps de répit où maman n’était pas encore venue. »
Marcel Proust, Du côté de chez Swann (1913)
Consigne :
Réécrivez le texte en commençant par : « Ta seule consolation, quand tu montes te coucher… » et effectuez par la suite toutes les modifications nécessaires.
Réécrivez le texte en commençant par : « Ta seule consolation, quand tu montes te coucher… » et effectuez par la suite toutes les modifications nécessaires.
« Ta seule consolation, quand tu montes te coucher, est que maman vienne t’embrasser quand tu seras dans ton lit. Mais ce bonsoir dure si peu de temps, elle redescend si vite, que le moment où tu l’entends monter, puis où passe dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin de mousseline bleue […], est pour toi un moment douloureux. Il annonce celui qui va le suivre, où elle t’aura quitté, où elle sera redescendue. De sorte que ce bonsoir que tu aimes tant, tu en arrives à souhaiter qu’il vienne le plus tard possible, à ce que se prolonge le temps de répit où maman n’est pas encore venue. »
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Bonjour
Réécrivez le texte en commençant par : « Ta seule consolation, quand tu montes te coucher… » et effectuez par la suite toutes les modifications nécessaires.
« Ta seule consolation, quand tu montes te coucher, est que maman vienne t’embrasser quand tu seras dans ton lit. Mais ce bonsoir dure si peu de temps, elle redescend si vite, que le moment où tu l’entends monter, puis où passe dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin de mousseline bleue […], est pour toi un moment douloureux. Il annonce celui qui va le suivre, où elle t’aura quitté, où elle sera redescendue. De sorte que ce bonsoir que tu aimes tant, tu en arrives à souhaiter qu’il vienne le plus tard possible, à ce que se prolonge le temps de répit où maman n’est pas encore venue. »
Marcel Proust, Du côté de chez Swann (1913)