Il existe une vérité des apparences : celle-ci n’est pas unique et dépend de chacun, et doit pouvoir être justifiée et argumentée. S’il y a une part de vérité dans le réel et dans la façon dont nous le percevons, il faut cependant être critique, et chercher cette vérité, comme notamment avec l’expérience. Les obstacles vers la vérité sont nombreux, car il est toujours plus facile de montrer qu’une théorie est fausse que le contraire. Ainsi, en science, la connaissance s’est bâtie de cette manière, par ajout de couches successives, tout en trouvant et en démontrant la fausseté de certains théorèmes considérés comme vrais… dans toutes les sciences qu’elle soit concrète, à application humaine telle la physique, la biologie, ou abstraite, créée par l’esprit humain telle la mathématique. La quête de la vérité est importante, mais sans observation des apparences du réel, on ne peut pas la trouver. Toute vérité dépend donc des apparences, alors que l’apparence dépend dans une certaine mesure de cette vérité… Nous avons besoin des apparences pour trouver la vérité qui s’y cache. À partir des apparences, nous pourrons donc trouver directement ou indirectement la vérité. Il y a donc une vérité des apparences.
Le scientifique est professeur de lui-même : en science, la vérité n’est pas absolue, on la cherche, on la trouve, on démentie des théorèmes acquis pour vrais. Le scientifique avance donc à son rythme vers la vérité, en se critiquant, en expérimentant. Il cherche la vérité des apparences qu’il voit par ses observations. On peut donc dire que la science expérimentale est à la base de la vérité des apparences et que celle-ci existe bel et bien.
Lista de comentários
Bonjour,
Il existe une vérité des apparences : celle-ci n’est pas unique et dépend de chacun, et doit pouvoir être justifiée et argumentée. S’il y a une part de vérité dans le réel et dans la façon dont nous le percevons, il faut cependant être critique, et chercher cette vérité, comme notamment avec l’expérience. Les obstacles vers la vérité sont nombreux, car il est toujours plus facile de montrer qu’une théorie est fausse que le contraire. Ainsi, en science, la connaissance s’est bâtie de cette manière, par ajout de couches successives, tout en trouvant et en démontrant la fausseté de certains théorèmes considérés comme vrais… dans toutes les sciences qu’elle soit concrète, à application humaine telle la physique, la biologie, ou abstraite, créée par l’esprit humain telle la mathématique. La quête de la vérité est importante, mais sans observation des apparences du réel, on ne peut pas la trouver. Toute vérité dépend donc des apparences, alors que l’apparence dépend dans une certaine mesure de cette vérité… Nous avons besoin des apparences pour trouver la vérité qui s’y cache. À partir des apparences, nous pourrons donc trouver directement ou indirectement la vérité. Il y a donc une vérité des apparences.
Le scientifique est professeur de lui-même : en science, la vérité n’est pas absolue, on la cherche, on la trouve, on démentie des théorèmes acquis pour vrais. Le scientifique avance donc à son rythme vers la vérité, en se critiquant, en expérimentant. Il cherche la vérité des apparences qu’il voit par ses observations. On peut donc dire que la science expérimentale est à la base de la vérité des apparences et que celle-ci existe bel et bien.