Bonjour, Pourriez-vous me donner un titre pour le texte que j’ai écris s’il vous plaît ?
C’était en automne, nous étions au XXIe siècle. Après une longue semaine de travail acharné, je profitai enfin de la tranquillité de la forêt.
Un vent frais s’était levé. Les feuilles de toutes les couleurs formèrent un ballet de papillons de mille teintes : jaune, vert, rouge et or. Elles craquèrent sous mes pieds, et voltigèrent dans les cieux. Certaines tourbillonnèrent et revinrent se poser sur les branches des arbres.
Petit à petit les éléments au loin devinrent flou, je constatais qu’un brouillard était sur le point de débuter. et bientôt, une épaisse couche de vapeur m’encerclait. Je songeai donc à rebrousser le chemin
Curieusement, le chemin de pic-abrupt d’arbres éparpillés me sembla plus long que d’habitude. J’accélérais le pas. Une bonne dizaine de minutes passa pendant laquelle je marchais péniblement sur le chemin de terre, encerclé par cette brume qui humidifiait mon visage. Cependant, je n’avais toujours pas atteint la sortie. J’eu crainte de m’être égaré du chemin par toute cette brume qui brouillait mon sens de l’orientation.
Une étérnité passa, et peu à peu le doute s’instaura parmi moi, j’eus l’impression d’appercevoir le même décor qui défilait devant mes yeux plus j’avancais, tel une boucle.
C’était en automne, nous étions au XXIe siècle. Après une longue semaine de travail acharné, je profitai enfin de la tranquillité de la forêt.
Un vent frais s’était levé. Les feuilles de toutes les couleurs formèrent un ballet de papillons de mille teintes : jaune, vert, rouge et or. Elles craquèrent sous mes pieds, et voltigèrent dans les cieux. Certaines tourbillonnèrent et revinrent se poser sur les branches des arbres.
Petit à petit les éléments au loin devinrent flou, je constatais qu’un brouillard était sur le point de débuter. et bientôt, une épaisse couche de vapeur m’encerclait. Je songeai donc à rebrousser le chemin
Curieusement, le chemin de pic-abrupt d’arbres éparpillés me sembla plus long que d’habitude. J’accélérais le pas. Une bonne dizaine de minutes passa pendant laquelle je marchais péniblement sur le chemin de terre, encerclé par cette brume qui humidifiait mon visage. Cependant, je n’avais toujours pas atteint la sortie. J’eu crainte de m’être égaré du chemin par toute cette brume qui brouillait mon sens de l’orientation.
Une étérnité passa, et peu à peu le doute s’instaura parmi moi, j’eus l’impression d’appercevoir le même décor qui défilait devant mes yeux plus j’avancais, tel une boucle.
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