D'une part dans « Ma bohème », comme dans la majorité des poèmes d’Arthur Rimbaud, la nature est divinisée. Elle est maternelle et bienveillante.
D’autre part, la nature est présentée comme protectrice et nourricière : « Mon auberge était à la Grande-Ourse » (v. 7), « des gouttes/De rosée à mon front, comme un vin de vigueur » (v. 10-11). C’est ainsi dans la nature que le poète donne une image de refuge.
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Réponse :
D'une part dans « Ma bohème », comme dans la majorité des poèmes d’Arthur Rimbaud, la nature est divinisée. Elle est maternelle et bienveillante.
D’autre part, la nature est présentée comme protectrice et nourricière : « Mon auberge était à la Grande-Ourse » (v. 7), « des gouttes/De rosée à mon front, comme un vin de vigueur » (v. 10-11). C’est ainsi dans la nature que le poète donne une image de refuge.
J'espère t'avoir aidé voilà !