Bonjour ! Pouvais vous m'aidez a une question qui concerne le français ? La question est la suivante : "Est-il important que l'art et la littérature racontent le passé ? Vous proposerez une réflexion organisée et argumentée en vous appuyant sur vos lectures et vos connaissances personnelles. Votre texte comportera 50 lignes"
Qu’il s’agisse de revisiter sa vie, de transmettre un patrimoine humain ou de faire œuvre littéraire, beaucoup ressentent le besoin d’écrire leur histoire familiale.
Explications :
D’innombrables écrivains ont fait de leur histoire familiale la matière de romans. Parmi les œuvres à lire ou relire :
Souvenirs d’enfance, de Marcel Pagnol. L’auteur provençal signe ici une série de quatre romans, dans lesquels il rend notamment hommage à ses parents avec La gloire
de mon père et Le Château de ma mère (Éd. de Fallois, 2004), tous deux parus en 1957 et adaptés, depuis, au cinéma par Yves Robert.
Vipère au poing, d’Hervé Bazin (Éd. Grasset, 2011). Parue en 1948, cette œuvre largement autobiographique, premier livre et immense succès pour cet écrivain, évoque la révolte d’un fils contre sa mère et plus largement contre l’oppression sociale et familiale qu’elle
incarne.
Le Livre de ma mère, d’Albert Cohen (Éd. Gallimard, 2001). Dans cet ouvrage, publié en 1954, l’auteur de Belle du seigneur confie son vibrant amour pour sa mère défunte. Une mère qui n’a vécu que pour son fils et par son fils, et dont il magnifie le souvenir.
Des gens très bien, d’Alexandre Jardin (Éd. Le livre de poche, 2012). Levant le voile sur un secret qui l’a longtemps rongé, l’auteur – aujourd’hui candidat déclaré à l’élection présidentielle – se plonge avec douleur dans le sombre passé d’une partie de sa famille et en particulier de son grand-père, décrit comme le « principal collaborateur du plus collabo des hommes d’État français : Pierre Laval, chef du gouvernement du maréchal Pétain ».
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Réponse :
Qu’il s’agisse de revisiter sa vie, de transmettre un patrimoine humain ou de faire œuvre littéraire, beaucoup ressentent le besoin d’écrire leur histoire familiale.
Explications :
D’innombrables écrivains ont fait de leur histoire familiale la matière de romans. Parmi les œuvres à lire ou relire :
Souvenirs d’enfance, de Marcel Pagnol. L’auteur provençal signe ici une série de quatre romans, dans lesquels il rend notamment hommage à ses parents avec La gloire
de mon père et Le Château de ma mère (Éd. de Fallois, 2004), tous deux parus en 1957 et adaptés, depuis, au cinéma par Yves Robert.
Vipère au poing, d’Hervé Bazin (Éd. Grasset, 2011). Parue en 1948, cette œuvre largement autobiographique, premier livre et immense succès pour cet écrivain, évoque la révolte d’un fils contre sa mère et plus largement contre l’oppression sociale et familiale qu’elle
incarne.
Le Livre de ma mère, d’Albert Cohen (Éd. Gallimard, 2001). Dans cet ouvrage, publié en 1954, l’auteur de Belle du seigneur confie son vibrant amour pour sa mère défunte. Une mère qui n’a vécu que pour son fils et par son fils, et dont il magnifie le souvenir.
Des gens très bien, d’Alexandre Jardin (Éd. Le livre de poche, 2012). Levant le voile sur un secret qui l’a longtemps rongé, l’auteur – aujourd’hui candidat déclaré à l’élection présidentielle – se plonge avec douleur dans le sombre passé d’une partie de sa famille et en particulier de son grand-père, décrit comme le « principal collaborateur du plus collabo des hommes d’État français : Pierre Laval, chef du gouvernement du maréchal Pétain ».