Bonjour pouvez vous m aider svp je doit inventez Dans un récit mené à la première personne, racontez le confinement que vit à cause du coronavirus un narrateur de votre choix, en faisant en sorte que l'histoire racontée puisse être qualifié de fantastique (30 lignes).
Je me prénomme Pépinet, c'est mon speudo. Je vais vous narrer une journée de confinement dans ma vieille maison, située proche de la forêt. Actuellement, je suis peu rassuré, les informations sont terribles, inhabituelles et chez moi, tout me semble étrange. Mon bureau se trouve partout, la cuisine, ma chambre, le salon et mon bureau. Assis quelque moment dans une pièce, je n'ai qu'une envie, partir dans une autre. Ce virus me pertube, je me lave sans cesse les mains et mes stylos. Je ressens une terreur insurmontable et je crains le pire. Mes objets qui m'entourent me semblent prendre vie. Je regarde une statue posée sur le guéridon, et je crois voir un sourire malicieux. Mon poul s'accélère, j'ai rêvé, non, tu l'as bien vu, me souffle mon subconscient. Je transpire, quand penché sur ma feuille blanche, j'entends un crépitement puis un clapotement vers la fenêtre. Les mains moites, je me sens blêmir, proche de l'évanouissement, je tends l'oreille et de nouveau, ce bruit mêlé me fait craindre le pire. Sous le choc, je me prépare un café. Fiévreux, non je n'ai pas de fièvre! De nouveau, les informations annoncent le nombre de victimes. C'est terrible ! J'observe autour de moi, et tour à tour, un visage dans un tableau me fait une grimace, la plante verte devient grisâtre, le rideau dont la fenêtre est fermée tremblotte, le sol me semble bouger. Je n'ai pas ce virus, mais un autre attaque mon cerveau et je suis seul à y faire face. A qui vais-je raconter cela, et bien à vous, car je ressens des frissons partagés avec vous.
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Réponse : raconte ton confinement , Tu peux dire également que tu as l’impression que tes rêves prennent vie à cause de la fatigue
Explications :
Réponse :
Bonjour
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Je me prénomme Pépinet, c'est mon speudo. Je vais vous narrer une journée de confinement dans ma vieille maison, située proche de la forêt. Actuellement, je suis peu rassuré, les informations sont terribles, inhabituelles et chez moi, tout me semble étrange. Mon bureau se trouve partout, la cuisine, ma chambre, le salon et mon bureau. Assis quelque moment dans une pièce, je n'ai qu'une envie, partir dans une autre. Ce virus me pertube, je me lave sans cesse les mains et mes stylos. Je ressens une terreur insurmontable et je crains le pire. Mes objets qui m'entourent me semblent prendre vie. Je regarde une statue posée sur le guéridon, et je crois voir un sourire malicieux. Mon poul s'accélère, j'ai rêvé, non, tu l'as bien vu, me souffle mon subconscient. Je transpire, quand penché sur ma feuille blanche, j'entends un crépitement puis un clapotement vers la fenêtre. Les mains moites, je me sens blêmir, proche de l'évanouissement, je tends l'oreille et de nouveau, ce bruit mêlé me fait craindre le pire. Sous le choc, je me prépare un café. Fiévreux, non je n'ai pas de fièvre! De nouveau, les informations annoncent le nombre de victimes. C'est terrible ! J'observe autour de moi, et tour à tour, un visage dans un tableau me fait une grimace, la plante verte devient grisâtre, le rideau dont la fenêtre est fermée tremblotte, le sol me semble bouger. Je n'ai pas ce virus, mais un autre attaque mon cerveau et je suis seul à y faire face. A qui vais-je raconter cela, et bien à vous, car je ressens des frissons partagés avec vous.