bonjour pouvez vous m'aider à corriger mes fautes et a me dire si vous avez aimer ou pas merci
La pièce, éclairée par les premiers rayons de la journée, était un salon de grandes dimensions, Elle donnait sur un grand jardin où, en mai on pouvait sentir l'odeur des lilas et en juin voir les rosiers s’éclater sur le vert de la pelouse. Le vent qui passait entre les feuilles, les cliquetis de l'eau et le chant des oiseaux formaient une mélodie harmonieuse qui passait les oreilles. À l’intérieur se trouvait un tapis dont il était difficile de savoir si il était autrefois beige, blanc ou jaune pâle. Un canapé avec des coussins bleus ciel où deux enfants discutaient et riaient devant la télé dont les couleurs vives s’échappaient . Au fond de la pièce un grand piano noir, où lorsque ma mère posait ses mains sur le clavier noir et blanc, recréait un univers harmonieux. À côté de lui une petite bibliothèque, dégageait une odeur de vieux livres qui y étaient conservés. Puis à gauche, une porte entrouverte donnait accès à la cuisine. Le matin on pouvait y entendre le bruit des casseroles qui se cognaient entre elles, le son sonore du grille pain ect… et y sentir l'amertume du café, l'odeur du beurre et le parfum du sirop d’érable.
La pièce, éclairée par les premiers rayons de la journée, était un salon de grandes dimensions, Elle donnait sur un grand jardin où, en mai on pouvait sentir l'odeur des lilas et en juin voir les rosiers s’éclater sur le vert de la pelouse. Le vent qui passait entre les feuilles, les cliquetis de l'eau et le chant des oiseaux formaient une mélodie harmonieuse qui passait les oreilles. À l’intérieur se trouvait un tapis dont il était difficile de savoir si il était autrefois beige, blanc ou jaune pâle. Un canapé avec des coussins bleus ciel où deux enfants discutaient et riaient devant la télé dont les couleurs vives s’échappaient . Au fond de la pièce un grand piano noir, où lorsque ma mère posait ses mains sur le clavier noir et blanc, recréait un univers harmonieux. À côté de lui une petite bibliothèque, dégageait une odeur de vieux livres qui y étaient conservés. Puis à gauche, une porte entrouverte donnait accès à la cuisine. Le matin on pouvait y entendre le bruit des casseroles qui se cognaient entre elles, le son sonore du grille pain ect… et y sentir l'amertume du café, l'odeur du beurre et le parfum du sirop d’érable.
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Réponse :
je trouve ton texte extrêmement bien !
bravo !! : )
Explications :
bjr
La pièce, éclairée par les premiers rayons de la journée, était un salon de grandes dimensions.
Elle S'OUVRAIT sur un grand jardin où, en mai (virgule), on pouvait sentir l'odeur des lilas et en juin, voir les rosiers s’éclater (bof) sur le vert de la pelouse.
Le vent qui passait entre les feuilles, les cliquetis de l'eau et le chant des oiseaux formaient une mélodie harmonieuse qui passait les oreilles.
passait les oreilles ?? ne veut rien dire..
À l’intérieur DE CE SALON, se trouvait un tapis dont il était difficile de savoir S'IL était autrefois beige, blanc ou jaune pâle.
Un canapé avec des coussins bleus (pas de S) ciel où deux enfants discutaient et riaient devant la télé dont les couleurs vives s’échappaient .
Au fond de la pièce un grand piano noir, où lorsque ma mère posait ses mains sur le clavier, recréait un univers harmonieux.
À côté de lui une petite bibliothèque, dégageait une odeur de vieux livres qui y étaient conservés.
Puis à gauche, une porte entrouverte donnait accès à la cuisine.
Le matin on pouvait y entendre le bruit des casseroles qui se cognaient entre elles, le son sonore du grille pain ETC… et y sentir l'amertume du café, l'odeur du beurre et le parfum du sirop d’érable.
on s'y croirait - belle description.. bravo !