*inégalité des salaires Les individus sont discriminés lorsque les différences entre eux conduisent à créer des inégalités de traitement.
. d’ordre sexuel, de l’âge ou encore de l’origine sociale. des inégalités pour l’obtention d’un logement, d’un emploi ou encore d’une promotion à l’intérieur de l’entreprise par exemple.
*stigmatisations sociales : ces dernières années, des politiques de discriminations positives ont été mises en place à l’image de ce qui se fait aux États-Unis. distinguer les individus pour leur donner plus de chances de réussir malgré leur stigmatisation sociale.
*la loi sur la parité adoptée en 2000 : améliorer la représentation des femmes
*mise en place des ZEP, puis maintenant des Réseau Ambition Réussite (RAR) en2007 dans le domaine scolaire,pour donner plus de moyens financiers et humains pour les élèves venant de zones où les difficultés scolaires sont les plus fortes. Le concours d’entrée à l’école de sciences politiques de Paris a ainsi été adapté pour que les élèves sortant de ces ZEP puissent eux aussi intégrer cette prestigieuse école.
*des débats ont été lancés sur le curriculum vitae anonyme (sans photo ni nom) pour améliorer les chances de certains candidats à l’emploi
*Les discriminations sont aussi punies par la loi, notamment les inégalités entre hommes et femmes dans le domaine professionnel ou encore dans les discriminations selon l’origine ethnique mais elles sont difficiles à prouver. Le Défenseur des droits est une autorité indépendante qui lutte contre ces inégalités de traitements des individus.
II. Fiscalité et services collectifs
La fiscalité peut permettre une réduction des inégalités si elle est redistributive. Une partie des recettes de l’État va servir à améliorer la situation des plus pauvres et des personnes qui ont un besoin ponctuel (maladies, chômage) dans un système de protection sociale.
Mais elles permettent aussi de fournir à tous des services collectifs gratuits comme l’école, les hôpitaux, la protection policière, militaire et judiciaire des citoyens. Ces services permettent donc une réduction des inégalités puisque chacun peut en bénéficier, pour une qualité équivalente, gratuitement. L’étendue de ces services gratuits dépend de la volonté de l’État d’intervenir dans le domaine économique et social.
La fiscalité doit être juste pour que chaque individu puisse y contribuer équitablement. L’impôt sur le revenu en France est progressif, son taux s’élève avec la valeur du revenu. Une partie des ménages (pratiquement 1 sur 2) n’en paye pas, faute de revenus suffisants. Pour les patrimoines les plus élevés (au-delà de 1,2 millions d’euros), l’État français prélève un impôt sur la fortune (ISF) sujet à de nombreuses controverses.
II. Le système de protection sociale
a.
Le système français de protection sociale comprend d’abord une assurance maladie puis, progressivement, d’autres revenus de transfert comme la retraite ou le chômage mais aussi pour lutter contre la pauvreté. Ce système de sécurité sociale comprend deux volets :
*système d’assurance. Les individus paient ici des cotisations sociales prélevées sur leur salaire brut (et complétées par une participation de l’employeur) pour s’assurer contre un risque social parmi lesquels on trouve essentiellement la maladie, la retraite et le chômage.
*système d’assistance : les individus les plus riches paient des impôts pour aider ceux qui ont des difficultés financières. les bourses d’études, le Revenu de Solidarité Active (RSA) ou encore les allocations pour les adultes handicapés, le minimum vieillesse, etc.
Dans ce système, ce sont les besoins des individus qui sont pris en compte et non pas leurs cotisations préalables, ils peuvent ainsi bénéficier d’un haut niveau de protection sociale mais qui s’accompagne aussi de forts prélèvements obligatoires.
b.
*La protection sociale collective (comme en France) détermine une solidarité entre les individus, les biens portants cotisent pour les malades, les actifs pour les retraités ou encore les plus riches pour les plus démunis.
*Ce lien social passe par l’intervention de l’État dans le domaine social. D’ autres pays comme les États-Unis ont opté pour un système plus individualiste dans lequel ce lien social ne transparaît pas car les individus sont habitués à ne cotiser que pour eux-mêmes. Mais ce type de système crée plus d’inégalités. Notre système français connaît tout de même une crise de financement qui remet en cause cette protection dans les années futures, notamment en ce qui concerne les retraites.
Conclusion
L’État a un rôle majeur dans la lutte contre les inégalités. Il peut lutter contre les discriminations, moduler ses prélèvements obligatoires pour plus de justice sociale et surtout par la mise en place d’une sécurité sociale collective qui crée un lien de solidarité entre tous les individus.
Explications :
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alyssagaouaoui
Hey pourrais tu m'aider ? si tu peut aller voir mon dernier poste stpp merciiii
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Réponse :
I. la lutte contre les discriminations
*inégalité des salaires Les individus sont discriminés lorsque les différences entre eux conduisent à créer des inégalités de traitement.
. d’ordre sexuel, de l’âge ou encore de l’origine sociale. des inégalités pour l’obtention d’un logement, d’un emploi ou encore d’une promotion à l’intérieur de l’entreprise par exemple.
*stigmatisations sociales : ces dernières années, des politiques de discriminations positives ont été mises en place à l’image de ce qui se fait aux États-Unis. distinguer les individus pour leur donner plus de chances de réussir malgré leur stigmatisation sociale.
*la loi sur la parité adoptée en 2000 : améliorer la représentation des femmes
*mise en place des ZEP, puis maintenant des Réseau Ambition Réussite (RAR) en2007 dans le domaine scolaire,pour donner plus de moyens financiers et humains pour les élèves venant de zones où les difficultés scolaires sont les plus fortes. Le concours d’entrée à l’école de sciences politiques de Paris a ainsi été adapté pour que les élèves sortant de ces ZEP puissent eux aussi intégrer cette prestigieuse école.
*des débats ont été lancés sur le curriculum vitae anonyme (sans photo ni nom) pour améliorer les chances de certains candidats à l’emploi
*Les discriminations sont aussi punies par la loi, notamment les inégalités entre hommes et femmes dans le domaine professionnel ou encore dans les discriminations selon l’origine ethnique mais elles sont difficiles à prouver. Le Défenseur des droits est une autorité indépendante qui lutte contre ces inégalités de traitements des individus.
II. Fiscalité et services collectifs
La fiscalité peut permettre une réduction des inégalités si elle est redistributive. Une partie des recettes de l’État va servir à améliorer la situation des plus pauvres et des personnes qui ont un besoin ponctuel (maladies, chômage) dans un système de protection sociale.
Mais elles permettent aussi de fournir à tous des services collectifs gratuits comme l’école, les hôpitaux, la protection policière, militaire et judiciaire des citoyens. Ces services permettent donc une réduction des inégalités puisque chacun peut en bénéficier, pour une qualité équivalente, gratuitement. L’étendue de ces services gratuits dépend de la volonté de l’État d’intervenir dans le domaine économique et social.
La fiscalité doit être juste pour que chaque individu puisse y contribuer équitablement. L’impôt sur le revenu en France est progressif, son taux s’élève avec la valeur du revenu. Une partie des ménages (pratiquement 1 sur 2) n’en paye pas, faute de revenus suffisants. Pour les patrimoines les plus élevés (au-delà de 1,2 millions d’euros), l’État français prélève un impôt sur la fortune (ISF) sujet à de nombreuses controverses.
II. Le système de protection sociale
a.
Le système français de protection sociale comprend d’abord une assurance maladie puis, progressivement, d’autres revenus de transfert comme la retraite ou le chômage mais aussi pour lutter contre la pauvreté. Ce système de sécurité sociale comprend deux volets :
*système d’assurance. Les individus paient ici des cotisations sociales prélevées sur leur salaire brut (et complétées par une participation de l’employeur) pour s’assurer contre un risque social parmi lesquels on trouve essentiellement la maladie, la retraite et le chômage.
*système d’assistance : les individus les plus riches paient des impôts pour aider ceux qui ont des difficultés financières. les bourses d’études, le Revenu de Solidarité Active (RSA) ou encore les allocations pour les adultes handicapés, le minimum vieillesse, etc.
Dans ce système, ce sont les besoins des individus qui sont pris en compte et non pas leurs cotisations préalables, ils peuvent ainsi bénéficier d’un haut niveau de protection sociale mais qui s’accompagne aussi de forts prélèvements obligatoires.
b.
*La protection sociale collective (comme en France) détermine une solidarité entre les individus, les biens portants cotisent pour les malades, les actifs pour les retraités ou encore les plus riches pour les plus démunis.
*Ce lien social passe par l’intervention de l’État dans le domaine social. D’ autres pays comme les États-Unis ont opté pour un système plus individualiste dans lequel ce lien social ne transparaît pas car les individus sont habitués à ne cotiser que pour eux-mêmes. Mais ce type de système crée plus d’inégalités. Notre système français connaît tout de même une crise de financement qui remet en cause cette protection dans les années futures, notamment en ce qui concerne les retraites.
Conclusion
L’État a un rôle majeur dans la lutte contre les inégalités. Il peut lutter contre les discriminations, moduler ses prélèvements obligatoires pour plus de justice sociale et surtout par la mise en place d’une sécurité sociale collective qui crée un lien de solidarité entre tous les individus.
Explications :