Réponse :
Il faisait tard et je n’arrivais pas à dormir. Alors je décidai de continuer à regarder un documentaire
sur les animaux. J’étais complétement concentré, de peur de m’endormir. Soudain, je crus voir, à
travers l’écran, une ombre traverser le salon vers la cuisine. Je m’assis et scrutai le salon en silence.
J’entendis un étrange bruit qui venait de la cuisine. C’était comme si quelqu’un ouvrait et refermait le
réfrigérateur. Je me mis debout et m’apprêtai à me rendre à la cuisine, quand un frisson glacial
traversa tout mon corps… Je n’ose vous avouer ce que j’ai vu, de peur que vous me preniez pour un
fou ! Je reculai de deux pas, personne ne pourrait comprendre ces épouvantables et stupides
terreurs, avant de les avoir ressenties : ma grand-mère, décédée il y a six ans, se tenait au coin du
canapé. Elle portait une tenue noire et ses cheveux étaient couverts. Elle paraissait en bonne santé.
Elle me regardait avec un sourire radieux, les bras ouverts pour me serrer contre elle et me
dit : « Approche mon chéri, tu m’as beaucoup manqué ». A ces paroles, je lui tournai le dos pour me
sauver. Mon cœur se mis à battre la chamade, j’étais tout en sueur, mes pieds tremblaient et mes
dents claquaient de peur. Je voulais m’enfuir mais j’étais cloué au sol comme une lourde statue de
bronze. J’ouvris la bouche pour crier, hélas les mots refusaient de sortir. Je me retournai pour voir ce
qu’elle faisait. Comme j’étais heureux de ne plus la voir, même si je l’adorais.
En allant vers ma chambre, je me demandais si ce que j’avais vécu ne serait que le fruit de mon
imagination, à cause du sommeil. Cependant, que faisait sa canne près de la porte du salon ?
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Réponse :
Il faisait tard et je n’arrivais pas à dormir. Alors je décidai de continuer à regarder un documentaire
sur les animaux. J’étais complétement concentré, de peur de m’endormir. Soudain, je crus voir, à
travers l’écran, une ombre traverser le salon vers la cuisine. Je m’assis et scrutai le salon en silence.
J’entendis un étrange bruit qui venait de la cuisine. C’était comme si quelqu’un ouvrait et refermait le
réfrigérateur. Je me mis debout et m’apprêtai à me rendre à la cuisine, quand un frisson glacial
traversa tout mon corps… Je n’ose vous avouer ce que j’ai vu, de peur que vous me preniez pour un
fou ! Je reculai de deux pas, personne ne pourrait comprendre ces épouvantables et stupides
terreurs, avant de les avoir ressenties : ma grand-mère, décédée il y a six ans, se tenait au coin du
canapé. Elle portait une tenue noire et ses cheveux étaient couverts. Elle paraissait en bonne santé.
Elle me regardait avec un sourire radieux, les bras ouverts pour me serrer contre elle et me
dit : « Approche mon chéri, tu m’as beaucoup manqué ». A ces paroles, je lui tournai le dos pour me
sauver. Mon cœur se mis à battre la chamade, j’étais tout en sueur, mes pieds tremblaient et mes
dents claquaient de peur. Je voulais m’enfuir mais j’étais cloué au sol comme une lourde statue de
bronze. J’ouvris la bouche pour crier, hélas les mots refusaient de sortir. Je me retournai pour voir ce
qu’elle faisait. Comme j’étais heureux de ne plus la voir, même si je l’adorais.
En allant vers ma chambre, je me demandais si ce que j’avais vécu ne serait que le fruit de mon
imagination, à cause du sommeil. Cependant, que faisait sa canne près de la porte du salon ?