Pouvez vous m'aider à répondre a ces deux questions sur la fable « Le Pouvoir des fables » de Jean De La Fontaine ?
1. Expliquer le titre de la fable 2. Que cherche à faire comprendre l’orateur en interrompant son discours pour raconter une histoire ? Celle-ci a-t-elle réellement un sens ? Atteint-il son but ?
1. Dans le "pouvoir des fables", la Fontaine raconte l'histoire d'un orateur qui n'arrive pas à capter l'attention de l'auditoire dans un discours direct, mais qui y parvient finalement en faisant passer son discours sous la forme d'une fable. C'est là que réside le pouvoir des fables : capter l'attention du public. Elle est le meilleur moyen pour persuader car elle permet d'instruire par en divertissant.
2. L'orateur cherche à faire comprendre que la patrie est en danger, mais que personne ne prête attention à son message, délivré sur un ton trop sérieux, passionné, puis violent. Mais quand il commence une histoire simple, sans véritable sens, le public adhère aussitôt. Le peuple est comparé à des combat d'enfants.
L'histoire est banale, sans réel sens, mais elle a l'intérêt de capter l'intérêt du peuple. On en conclut que l'auteur pense que le peuple est puéril, qu'il ne faut point être trop sérieux pour s'adresser à lui. L'orateur atteint son but par le biais divertissant de la fable.
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En espérant t'avoir aidé, je te laisse pousser plus avant tes recherches sur la question. Regarde aussi nosdevoirs.fr/devoir/2336371
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Bonjour,
1. Dans le "pouvoir des fables", la Fontaine raconte l'histoire d'un orateur qui n'arrive pas à capter l'attention de l'auditoire dans un discours direct, mais qui y parvient finalement en faisant passer son discours sous la forme d'une fable. C'est là que réside le pouvoir des fables : capter l'attention du public. Elle est le meilleur moyen pour persuader car elle permet d'instruire par en divertissant.
2. L'orateur cherche à faire comprendre que la patrie est en danger, mais que personne ne prête attention à son message, délivré sur un ton trop sérieux, passionné, puis violent. Mais quand il commence une histoire simple, sans véritable sens, le public adhère aussitôt. Le peuple est comparé à des combat d'enfants.
L'histoire est banale, sans réel sens, mais elle a l'intérêt de capter l'intérêt du peuple. On en conclut que l'auteur pense que le peuple est puéril, qu'il ne faut point être trop sérieux pour s'adresser à lui. L'orateur atteint son but par le biais divertissant de la fable.
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