Bonjour pouvez-vous m’aider à répondre aux questions du texte « LA CAFETIÈRE » de Théophile GAUTIER merci.
1. Quel phénomène surnaturel se produit dans « Mais il me fut…de la cheminée »? Listez tous les éléments de la chambre touchés par ce phénomène
2. « Il me sembla… » relevez un synonyme de ce verbe dans « Rien…encore frais ».A quel mode est conjugué le verbe « l’on aurait pu » Quelle impression l’emploi de ces mots créé-ils ?
3. Quel sentiment le narrateur éprouve-il devant ce phénomène ? Croit-il à ce qu’il voit ? Justifiez. Le lecteur est-il amené à le croire ? Justifiez en citant le texte.
1. Dans "La Cafetière" de Théophile Gautier, le phénomène surnaturel qui se produit est la manifestation d'un esprit ou d'un fantôme. Les éléments de la chambre touchés par ce phénomène sont : la cafetière qui se remplit toute seule, le feu qui s'allume sans être allumé et le café qui se prépare automatiquement.
2. Dans la phrase "Il me sembla... encore frais", un synonyme du verbe "sembler" pourrait être "paraître". Le verbe "l'on aurait pu" est conjugué au conditionnel passé. L'emploi de ces mots crée une impression de possibilité ou d'hypothèse.
3. Le narrateur éprouve de la surprise et de la perplexité devant ce phénomène surnaturel. Il doute de ce qu'il voit et se demande s'il est réel ou s'il s'agit d'une illusion. Le lecteur est également amené à douter, car le récit est basé sur les perceptions et les impressions du narrateur.
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Réponse:
1. Dans "La Cafetière" de Théophile Gautier, le phénomène surnaturel qui se produit est la manifestation d'un esprit ou d'un fantôme. Les éléments de la chambre touchés par ce phénomène sont : la cafetière qui se remplit toute seule, le feu qui s'allume sans être allumé et le café qui se prépare automatiquement.
2. Dans la phrase "Il me sembla... encore frais", un synonyme du verbe "sembler" pourrait être "paraître". Le verbe "l'on aurait pu" est conjugué au conditionnel passé. L'emploi de ces mots crée une impression de possibilité ou d'hypothèse.
3. Le narrateur éprouve de la surprise et de la perplexité devant ce phénomène surnaturel. Il doute de ce qu'il voit et se demande s'il est réel ou s'il s'agit d'une illusion. Le lecteur est également amené à douter, car le récit est basé sur les perceptions et les impressions du narrateur.