Bonjour pouvez vous m'aider à répondre aux questions sur le poème s'il vous plait ? Merci d'avance je ne comprends rien .
Mon enfance passa De grisailles en silences De fausses révérences En manque de batailles [...] L’été à moitié nu Mais tout à fait modeste Je devenais indien Pourtant déjà certain Que mes oncles repus M’avaient volé le Far West
Mon enfance passa Les femmes aux cuisines Où je rêvais de Chine Vieillissaient en repas Les hommes au fromage S’enveloppaient de tabac Flamands1 taiseux et sages Et ne me savaient pas
Moi qui toutes les nuits Agenouillé pour rien Arpégeais2 mon chagrin Au pied du trop grand lit Je voulais prendre un train Que je n’ai jamais pris
[...]
Mon enfance éclata Ce fut l’adolescence Et le mur du silence Un matin se brisa [...] Je volais je le jure Je jure que je volais Mon cœur ouvrait les bras Je n’étais plus barbare
1. On remarque surout qu'il utilise la première personne du singulier et des pronom possessif : "Mon enfance (v.1, v.11, v.25)", "Je devenais (v.7), "M'avaient (v.10), "Je rêvais (v.13)", "Me savaient (v.18)", "Moi (v.19)", "Je voulais (v.23)", "Je n'ai (v.24)", "Je volais (v.29,30)", "Je jure (v.30)", "Mon coeur (v.31)" et "Je n'étais (v.32)".
2. Son enfance qui passe le fascine, on peut remarquer le champ lexical de l'enfance : "enfance(v.1,11,25)", "indien (v.7) (personnage imaginaire pour jouer) "rêver(v.13), "sage(v.17), "train(v.23)" (le jouet).
3. a) La famille de Jacques Brel n'avait pas l'air très présente et aimante envers lui. Déja dans la première strophe, il indique que ses oncles lui avaient volé la Far West ("Ques mes oncles repus M'avaient volé le Far West " (v.9 et 10)), on peut penser que ses oncles lui ont brisé un rêve d'enfance dans le quel il était un indien ("Je devenais indien" (v.7)). Sa famille avait aussi l'air de suivre les foyers de l'époque, c'est à dire les femmes dans la cuisine et les hommes qui mangeaient ce qu'elles préparaient (v. 12,13,14,15,16). Jacques Brel avait l'air invisible au sein de sa famille : "Et ne me savaient pas" (v.17). Ce vers indique que durant un repas personne ne le remarquait, bien top occupé à faire à manger, fumer ou manger. Mais on remarque surtout qu'il souffrait (v.21), de par sa famille surement. Il voulait prendre un train, partir loin, mais il ne le fut jamais (v.23 et 24)
b) Cette description s'oppose au monde de l'enfant étant donné que justement, c'est un enfant. Il rêve d'un monde à l'époque du Far West (strophe 1), un rêve que ses oncles brisent (v.9 et 10). Il rêve aussi de Chine (v.13), tandis que sa famille fait un repas, tout en l'ignorant ou bien en lui apportant très peu d'importance (v.18).
4. Au début, l'enfant n'a pas l'air d'apprécier cette vie; tout d'abord parce qu'elle s'apparente briseuse de rêve (du à ses oncles durant la première strophe). En grandissant, cette vie a l'air plutôt ennuyante et les enfants n'ont plus tellement d'importance; les gens vieillissent (v.14) et se concentrent sur eux (v.18). Jacques Brel n'avait pas l'air d'avoir envie de grandir, ou du moins, pas dans cette famille. Dans la troixième strophe, rien ne prouve son chagrin, mais on peut s'imaginer qu'il commençait à grandir, et il ne le voulait pourtant pas. Ensuite arriva l'adolescence et durant cette période, le vieil enfant avait l'air de se libérer, profitant de sa vie, et ne pensant pas à ce qui l'attendait dans peu de temps. Puis il connu enfin le terrible âge où l'on rentre dans le monde des adultes.
5. Le passage à l'adolescence a l'air de le libérer : "Et le mur du silence Un matin se brisa (v.27,28). Il commençait à grandir et à se réveler, à trouver et comprendre qui il était vraiment et à faire comprendre qui il était. Les vers 29 et 30 sont tout simplement des métaphores pour exprimer le sentiment de liberté qu'il ressentait, il était libre de toutes les souffrances qu'il avait vécu à cause du monde. Il s'envolait en se libérant de tout, il était enfin bien en étant lui-même. Son "coeur ouvrait les bras" (v.31) nous montre bien qu'il était bien et s'accepter dès lors,il était libre et heureux et c'était tout ce qui compter.
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Réponse :
1. On remarque surout qu'il utilise la première personne du singulier et des pronom possessif : "Mon enfance (v.1, v.11, v.25)", "Je devenais (v.7), "M'avaient (v.10), "Je rêvais (v.13)", "Me savaient (v.18)", "Moi (v.19)", "Je voulais (v.23)", "Je n'ai (v.24)", "Je volais (v.29,30)", "Je jure (v.30)", "Mon coeur (v.31)" et "Je n'étais (v.32)".
2. Son enfance qui passe le fascine, on peut remarquer le champ lexical de l'enfance : "enfance(v.1,11,25)", "indien (v.7) (personnage imaginaire pour jouer) "rêver(v.13), "sage(v.17), "train(v.23)" (le jouet).
3. a) La famille de Jacques Brel n'avait pas l'air très présente et aimante envers lui. Déja dans la première strophe, il indique que ses oncles lui avaient volé la Far West ("Ques mes oncles repus M'avaient volé le Far West " (v.9 et 10)), on peut penser que ses oncles lui ont brisé un rêve d'enfance dans le quel il était un indien ("Je devenais indien" (v.7)). Sa famille avait aussi l'air de suivre les foyers de l'époque, c'est à dire les femmes dans la cuisine et les hommes qui mangeaient ce qu'elles préparaient (v. 12,13,14,15,16). Jacques Brel avait l'air invisible au sein de sa famille : "Et ne me savaient pas" (v.17). Ce vers indique que durant un repas personne ne le remarquait, bien top occupé à faire à manger, fumer ou manger. Mais on remarque surtout qu'il souffrait (v.21), de par sa famille surement. Il voulait prendre un train, partir loin, mais il ne le fut jamais (v.23 et 24)
b) Cette description s'oppose au monde de l'enfant étant donné que justement, c'est un enfant. Il rêve d'un monde à l'époque du Far West (strophe 1), un rêve que ses oncles brisent (v.9 et 10). Il rêve aussi de Chine (v.13), tandis que sa famille fait un repas, tout en l'ignorant ou bien en lui apportant très peu d'importance (v.18).
4. Au début, l'enfant n'a pas l'air d'apprécier cette vie; tout d'abord parce qu'elle s'apparente briseuse de rêve (du à ses oncles durant la première strophe). En grandissant, cette vie a l'air plutôt ennuyante et les enfants n'ont plus tellement d'importance; les gens vieillissent (v.14) et se concentrent sur eux (v.18). Jacques Brel n'avait pas l'air d'avoir envie de grandir, ou du moins, pas dans cette famille. Dans la troixième strophe, rien ne prouve son chagrin, mais on peut s'imaginer qu'il commençait à grandir, et il ne le voulait pourtant pas. Ensuite arriva l'adolescence et durant cette période, le vieil enfant avait l'air de se libérer, profitant de sa vie, et ne pensant pas à ce qui l'attendait dans peu de temps. Puis il connu enfin le terrible âge où l'on rentre dans le monde des adultes.
5. Le passage à l'adolescence a l'air de le libérer : "Et le mur du silence Un matin se brisa (v.27,28). Il commençait à grandir et à se réveler, à trouver et comprendre qui il était vraiment et à faire comprendre qui il était. Les vers 29 et 30 sont tout simplement des métaphores pour exprimer le sentiment de liberté qu'il ressentait, il était libre de toutes les souffrances qu'il avait vécu à cause du monde. Il s'envolait en se libérant de tout, il était enfin bien en étant lui-même. Son "coeur ouvrait les bras" (v.31) nous montre bien qu'il était bien et s'accepter dès lors,il était libre et heureux et c'était tout ce qui compter.