Bonjour pouvez vous m'aider à répondre aux questions sur le poème s'il vous plait ? Merci d'avance je ne comprends rien .
Mon enfance passa De grisailles en silences De fausses révérences En manque de batailles [...] L’été à moitié nu Mais tout à fait modeste Je devenais indien Pourtant déjà certain Que mes oncles repus M’avaient volé le Far West
Mon enfance passa Les femmes aux cuisines Où je rêvais de Chine Vieillissaient en repas Les hommes au fromage S’enveloppaient de tabac Flamands1 taiseux et sages Et ne me savaient pas
Moi qui toutes les nuits Agenouillé pour rien Arpégeais2 mon chagrin Au pied du trop grand lit Je voulais prendre un train Que je n’ai jamais pris
[...]
Mon enfance éclata Ce fut l’adolescence Et le mur du silence Un matin se brisa [...] Je volais je le jure Je jure que je volais Mon cœur ouvrait les bras Je n’étais plus barbare
6. (J'ai un doute parce que je pense que deux propositions peuvent être juste, donc je te dit les deux et tu choisiras celle qui te semble le meiux).
(1) a)Par "barbare", il s'exprime étranger à sa propre vie.
b) Un être présent mais aussi absent, innactif, une personne n'ayant pas les moyens de décider de sa propre vie. Et donc la libération que lui apporte le passage à l'adolescence lui permet de prendre sa vie en main, et donc de ne plus être un "barbare".
(2) a) Par "barbare", il s'exprime ignorant à sa propre vie.
b) Quelqu'un qui au final ne connait rien de la vie, que ce soit la vie en général ou bien sa propre vie. Sa vision d'enfant lui empecher de tout voir concernant cette vie, et son passage à l'adolescence lui à fait comprendre ce que c'était de vivre. Son passage à l'adolescence lui a donc permit de vivre, et donc de ne plus être un "barbare".
7. a) Les temps utilisés sont : le passé simple, le passé composé, l'imparfait et le plus-que-parfait.
b) À la fin du texte, le temps semble plus rapide car les phrases sont courtes et ont un rythme rapides, elles s'enchainent donc rapidement. Les temps utilisés sont le passé simple et l'imparfait, l'utilisation du passé simple joue beaucoup à cette impression de rapidité, les actions ont l'air de se passer directement et rapidement.
8. a) Le texte se constitue de quatre strophes irrégulières. On note trois fois la répétition de "Mon enfance"(v.1,11,25), simplement car Jacques Brel nous raconte celle-ci, une enfance plutot douloureuse qu'il nous conte. Il insite sur son enfance, ce qui donne un sentiment encore plus profond sur ce qu'il raconte. Il répète aussi deux fois qu'il volait" (v.29 et 30), il insite bien sur ce verbe car se n'est pas croyable. À première vue on pourrait se dire qu'il vole quelque chose, ce qui serait tout de même assez étonnant. Et puis on se rend compte qu'il parle de s'envoler, grace à la liberté. Cela reste tout de même peu croyable, et c'est donc pour ça qu'il le répète, pour s'assurer de la compréhension et que personne n'a halluciné.
b) Brel donne une image de son enfance plutot douloureuse. De part le brisage de rêve dans la première strophe, l'ignorance que lui apporte sa famille dans la seconde strophe, et surtour à cause du chagrin dont il nous fait part dans la troixième strophe. Chaque nuit il pleurait, pour quelconques raison certes, mais il était tout de même mal. Il dit même qu'il voulait s'en aller, prendre un train et partir (v.23). Ce vers s'apparente en première vue à ce que le jeune garçon voulait parit loin de chez lui à cause de toute les souffrance qu'il subissait, mais on peut aussi voir un côté plus sombre dans ce verbe; ce train pourrait s'agit d'une métaphore vers un suicide, qui effacerai alors toutes ses souffrances. Mais cette seconde interprétation serait bien étrange pour un enfant assez jeune, cela reste une possibilité.
Quoi qu'il en soit à propos de ce vers, l'enfance de Brel semble plutot horrible et très douloureuse pour lui, une enfance qu'on ne souhaite à personne.
Heureusement pour, lui tout ça a disparu à l'adolescence et il s'est sentie ce qu'il était : libre.
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Réponse :
6. (J'ai un doute parce que je pense que deux propositions peuvent être juste, donc je te dit les deux et tu choisiras celle qui te semble le meiux).
(1) a)Par "barbare", il s'exprime étranger à sa propre vie.
b) Un être présent mais aussi absent, innactif, une personne n'ayant pas les moyens de décider de sa propre vie. Et donc la libération que lui apporte le passage à l'adolescence lui permet de prendre sa vie en main, et donc de ne plus être un "barbare".
(2) a) Par "barbare", il s'exprime ignorant à sa propre vie.
b) Quelqu'un qui au final ne connait rien de la vie, que ce soit la vie en général ou bien sa propre vie. Sa vision d'enfant lui empecher de tout voir concernant cette vie, et son passage à l'adolescence lui à fait comprendre ce que c'était de vivre. Son passage à l'adolescence lui a donc permit de vivre, et donc de ne plus être un "barbare".
7. a) Les temps utilisés sont : le passé simple, le passé composé, l'imparfait et le plus-que-parfait.
b) À la fin du texte, le temps semble plus rapide car les phrases sont courtes et ont un rythme rapides, elles s'enchainent donc rapidement. Les temps utilisés sont le passé simple et l'imparfait, l'utilisation du passé simple joue beaucoup à cette impression de rapidité, les actions ont l'air de se passer directement et rapidement.
8. a) Le texte se constitue de quatre strophes irrégulières. On note trois fois la répétition de "Mon enfance"(v.1,11,25), simplement car Jacques Brel nous raconte celle-ci, une enfance plutot douloureuse qu'il nous conte. Il insite sur son enfance, ce qui donne un sentiment encore plus profond sur ce qu'il raconte. Il répète aussi deux fois qu'il volait" (v.29 et 30), il insite bien sur ce verbe car se n'est pas croyable. À première vue on pourrait se dire qu'il vole quelque chose, ce qui serait tout de même assez étonnant. Et puis on se rend compte qu'il parle de s'envoler, grace à la liberté. Cela reste tout de même peu croyable, et c'est donc pour ça qu'il le répète, pour s'assurer de la compréhension et que personne n'a halluciné.
b) Brel donne une image de son enfance plutot douloureuse. De part le brisage de rêve dans la première strophe, l'ignorance que lui apporte sa famille dans la seconde strophe, et surtour à cause du chagrin dont il nous fait part dans la troixième strophe. Chaque nuit il pleurait, pour quelconques raison certes, mais il était tout de même mal. Il dit même qu'il voulait s'en aller, prendre un train et partir (v.23). Ce vers s'apparente en première vue à ce que le jeune garçon voulait parit loin de chez lui à cause de toute les souffrance qu'il subissait, mais on peut aussi voir un côté plus sombre dans ce verbe; ce train pourrait s'agit d'une métaphore vers un suicide, qui effacerai alors toutes ses souffrances. Mais cette seconde interprétation serait bien étrange pour un enfant assez jeune, cela reste une possibilité.
Quoi qu'il en soit à propos de ce vers, l'enfance de Brel semble plutot horrible et très douloureuse pour lui, une enfance qu'on ne souhaite à personne.
Heureusement pour, lui tout ça a disparu à l'adolescence et il s'est sentie ce qu'il était : libre.
9. Tu n'as pas mis l'image.