Bonjour pouvez vous m’aider j’ai une dissertation peut on se débarrasser des préjugés .. Es ce que vous pouvez m’aidez à trouver le plan et ce que je dois mettre dans mes partis et ma conclusion s’il vous plaît
Explications : Dans préjuger vous avez: Pré: avant et juger: dans le présent.
Votre plan est de parler de la nature humaine, c'est à dire les émotions bonnes et mauvaises qui habite toutes personnes à des degrés divers et chacun étant différent dans le émotions. Exemple: l'un aime une personne ou les gens, idem dans les métiers, on en choisit un car on aime pas les autres, on jalouse les uns ou ont apprécie leurs façons d'avoir réussi.
Dans le préjugé, un délit de mauvaise apparence porte à une méfiance non fondée, la race, la religion, il n'y a pas que celà, dans une profession, l'un a une promotion, immédiatement certain trouverons cela normal, d'autres dirons, forcément il a tout fait pour être le chouchou, d'autres termes existent, même chose dans le sport. L'homme a des sentiments d'envie, d'être plus fort que d'autres, il fait la différence entre lui "son niveau, son état" et les autres, le sentiment de frustration déclenche la jalousie. A ce moment le préjugé intervient, la critique aussi.
Le préjugé est un jugement personnel envers ce que l'autre fait, réalise, réussi ou accusé provisoirement d'un fait sans preuve à ce moment.
La conclusion: Le préjugé est dangereux, il ne contient ni les tenants ni les aboutissants.
Une fois que dans ton introduction tu as constaté le problème puis défini la notion (le préjugé est une idée préconçue), les mots-clés (se débarrasser des préjugés suppose 1) qu'on en ait d'abord pris conscience, 2) qu'on accepte de faire l'effort d'y renoncer), et annoncé la problématique (Peut-on se débarrasser des préjugés, et si oui, comment ?), le mieux (pour ce sujet) est de suivre un plan de type cause / conséquences.
En première partie, il faudrait donc expliquer l'origine des préjugés. Elle a des causes multiples :
- tout d'abord, le milieu social dans lequel on évolue, et l'éducation qu'on a reçue. Le milieu socio-culturel causera une sorte d'esprit de caste : certaines valeurs, certains arts ou certains sports seront privilégiés par rapport à d'autres. Par exemple, d'une manière générale les familles bourgeoises ou les classes supérieures méprisent ouvertement le football, trop populaire, et préfèrent pour leurs enfants des activités sportives bien plus "select", comme l'équitation ou le tennis. Pourquoi plus "select" ? Parce que comme ces sports coûtent cher, la sélection se fait par l'argent, seules des familles aisées auront les moyens d'y mettre leurs enfants. C'est un cercle vicieux, qui, petit à petit, exclut tous les autres (classes populaires ou défavorisées), qui, amers, parleront de "sport de bourges" - chaque classe sociale méprisera l'autre, donc.
- ensuite, il y a le sexe : on n'a pas les mêmes attentes pour une fille que pour un garçon, ni les mêmes exigences. Il n'y a qu'à voir les polémiques récentes sur la tenue des filles, par exemple, comme si on pouvait décider à leur place de ce qu'elles peuvent mettre ou non, ce qui est extrêmement insultant et dégradant pour elles (comme si s'habiller décemment mais plus légèrement, parce qu'il fait chaud, fait obligatoirement de la fille une prostituée - c'est ce qu'on sous-entend)
- les incidents de notre vie et notre expérience confortent ou annulent (plus ou moins) les préjugés. Par exemple, si UN jour UN maghrébin nous manque de respect pour une raison ou pour une autre, on aura vite fait d'en tirer une généralité : "Ils sont TOUS comme ça, TOUS pareils !" même si on n'a connu qu'une seule fois ce genre de mésaventure.
- ce n'est pas tout : ces préjugés évoluent aussi en fonction des modes et des époques. Par exemple, au XIXème siècle, l'idéal de beauté féminin était d'avoir la peau la plus claire possible (d'où les jeunes femmes aux ombrelles en plein soleil sur les tableaux de Monet), car seules les paysans et les pauvres étaient bronzés. Aujourd'hui, c'est l'inverse, si quelqu'un a le teint trop pâle, on jugera qu'il n'a pas les moyens de prendre des vacances au soleil - donc qu'il est pauvre.
- enfin, on se croit libres... mais on reproduit forcément avec nos enfants les principes éducatifs qu'on a reçus - avec les mêmes préjugés que nos parents - tout simplement parce que, comme on n'a jamais rien connu d'autre, c'est notre seule référence.
En deuxième partie, pour réussir à se débarrasser (éventuellement) des préjugés, encore faut-il d'abord en prendre conscience, puis tous les identifier, même les plus subtils. Or on a très vite fait de "juger quelqu'un sur la mine", au premier regard on "catalogue" les gens en fonction de nos a prioris - parce que ça nous rassure, parce que cela nous donne une impression de maîtrise et surtout de supériorité ("On ne me la fait pas !").
Le risque, c'est aussi de confondre sixième sens et préjugé : parfois notre esprit nous alerte confusément, et parce qu'on se dit qu'il ne faut pas se montrer méfiant ni plein de préjugés, on passe outre cet avertissement... et on se rend compte trop tard, à nos dépens, que la première impression négative était bien la bonne et qu'on aurait dû suivre notre instinct.
Renoncer à nos préjugés est également difficile, parce que cela nous met dans une situation inconfortable : on a un peu l'impression de trahir nos origines, notre milieu, notre histoire. Pour basculer dans l'inconnu : plus de lieux communs, plus d'idées toutes faites ! Il faut s'adapter au coup par coup, tout le temps, alors que se contenter d'une généralité était bien plus facile !
En conclusion, il faut bien faire la part des choses entre l'instinct, inné, qui nous prévient, et les préjugés, qui sont acquis au fil du temps. Tout ce qui compte à ce niveau, c'est que tu donnes un avis personnel, et surtout argumenté, justifié.
Voilà, j'espère que ça t'aura un peu aidée ! Bonne soirée !
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Réponse : Bonjour,
Explications : Dans préjuger vous avez: Pré: avant et juger: dans le présent.
Votre plan est de parler de la nature humaine, c'est à dire les émotions bonnes et mauvaises qui habite toutes personnes à des degrés divers et chacun étant différent dans le émotions. Exemple: l'un aime une personne ou les gens, idem dans les métiers, on en choisit un car on aime pas les autres, on jalouse les uns ou ont apprécie leurs façons d'avoir réussi.
Dans le préjugé, un délit de mauvaise apparence porte à une méfiance non fondée, la race, la religion, il n'y a pas que celà, dans une profession, l'un a une promotion, immédiatement certain trouverons cela normal, d'autres dirons, forcément il a tout fait pour être le chouchou, d'autres termes existent, même chose dans le sport. L'homme a des sentiments d'envie, d'être plus fort que d'autres, il fait la différence entre lui "son niveau, son état" et les autres, le sentiment de frustration déclenche la jalousie. A ce moment le préjugé intervient, la critique aussi.
Le préjugé est un jugement personnel envers ce que l'autre fait, réalise, réussi ou accusé provisoirement d'un fait sans preuve à ce moment.
La conclusion: Le préjugé est dangereux, il ne contient ni les tenants ni les aboutissants.
Je souhaite vous avoir aidé.
Réponse :
Bonjour,
Une fois que dans ton introduction tu as constaté le problème puis défini la notion (le préjugé est une idée préconçue), les mots-clés (se débarrasser des préjugés suppose 1) qu'on en ait d'abord pris conscience, 2) qu'on accepte de faire l'effort d'y renoncer), et annoncé la problématique (Peut-on se débarrasser des préjugés, et si oui, comment ?), le mieux (pour ce sujet) est de suivre un plan de type cause / conséquences.
En première partie, il faudrait donc expliquer l'origine des préjugés. Elle a des causes multiples :
- tout d'abord, le milieu social dans lequel on évolue, et l'éducation qu'on a reçue. Le milieu socio-culturel causera une sorte d'esprit de caste : certaines valeurs, certains arts ou certains sports seront privilégiés par rapport à d'autres. Par exemple, d'une manière générale les familles bourgeoises ou les classes supérieures méprisent ouvertement le football, trop populaire, et préfèrent pour leurs enfants des activités sportives bien plus "select", comme l'équitation ou le tennis. Pourquoi plus "select" ? Parce que comme ces sports coûtent cher, la sélection se fait par l'argent, seules des familles aisées auront les moyens d'y mettre leurs enfants. C'est un cercle vicieux, qui, petit à petit, exclut tous les autres (classes populaires ou défavorisées), qui, amers, parleront de "sport de bourges" - chaque classe sociale méprisera l'autre, donc.
- ensuite, il y a le sexe : on n'a pas les mêmes attentes pour une fille que pour un garçon, ni les mêmes exigences. Il n'y a qu'à voir les polémiques récentes sur la tenue des filles, par exemple, comme si on pouvait décider à leur place de ce qu'elles peuvent mettre ou non, ce qui est extrêmement insultant et dégradant pour elles (comme si s'habiller décemment mais plus légèrement, parce qu'il fait chaud, fait obligatoirement de la fille une prostituée - c'est ce qu'on sous-entend)
- les incidents de notre vie et notre expérience confortent ou annulent (plus ou moins) les préjugés. Par exemple, si UN jour UN maghrébin nous manque de respect pour une raison ou pour une autre, on aura vite fait d'en tirer une généralité : "Ils sont TOUS comme ça, TOUS pareils !" même si on n'a connu qu'une seule fois ce genre de mésaventure.
- ce n'est pas tout : ces préjugés évoluent aussi en fonction des modes et des époques. Par exemple, au XIXème siècle, l'idéal de beauté féminin était d'avoir la peau la plus claire possible (d'où les jeunes femmes aux ombrelles en plein soleil sur les tableaux de Monet), car seules les paysans et les pauvres étaient bronzés. Aujourd'hui, c'est l'inverse, si quelqu'un a le teint trop pâle, on jugera qu'il n'a pas les moyens de prendre des vacances au soleil - donc qu'il est pauvre.
- enfin, on se croit libres... mais on reproduit forcément avec nos enfants les principes éducatifs qu'on a reçus - avec les mêmes préjugés que nos parents - tout simplement parce que, comme on n'a jamais rien connu d'autre, c'est notre seule référence.
En deuxième partie, pour réussir à se débarrasser (éventuellement) des préjugés, encore faut-il d'abord en prendre conscience, puis tous les identifier, même les plus subtils. Or on a très vite fait de "juger quelqu'un sur la mine", au premier regard on "catalogue" les gens en fonction de nos a prioris - parce que ça nous rassure, parce que cela nous donne une impression de maîtrise et surtout de supériorité ("On ne me la fait pas !").
Le risque, c'est aussi de confondre sixième sens et préjugé : parfois notre esprit nous alerte confusément, et parce qu'on se dit qu'il ne faut pas se montrer méfiant ni plein de préjugés, on passe outre cet avertissement... et on se rend compte trop tard, à nos dépens, que la première impression négative était bien la bonne et qu'on aurait dû suivre notre instinct.
Renoncer à nos préjugés est également difficile, parce que cela nous met dans une situation inconfortable : on a un peu l'impression de trahir nos origines, notre milieu, notre histoire. Pour basculer dans l'inconnu : plus de lieux communs, plus d'idées toutes faites ! Il faut s'adapter au coup par coup, tout le temps, alors que se contenter d'une généralité était bien plus facile !
En conclusion, il faut bien faire la part des choses entre l'instinct, inné, qui nous prévient, et les préjugés, qui sont acquis au fil du temps. Tout ce qui compte à ce niveau, c'est que tu donnes un avis personnel, et surtout argumenté, justifié.
Voilà, j'espère que ça t'aura un peu aidée ! Bonne soirée !
Explications :