Bonjour, pouvez vous m'aider je suis en seconde.
Voici l'énoncé : Faites des phrases au "present perfect" (have+participe passé) pour décrire l'évolution des conditions des filles depuis le temps de Shakespeare.
Merci d'avance
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Bonjour, pouvez-vous m'aider à trouver des métaphores dans ce poème ainsi que des allitérations ou assonances? Merci d'avance Ce nuage est bien noir : – sur le ciel il se roule, Comme sur les galets de la côte une houle. L’ouragan l’éperonne, il s’avance à grands pas. – A le voir ainsi fait, on dirait, n’est-ce pas ? Un beau cheval arabe, à la crinière brune, Qui court et fait voler les sables de la dune. Je crois qu’il va pleuvoir : – la bise ouvre ses flancs, Et par la déchirure il sort des éclairs blancs. Rentrons. – Au bord des toits la frêle girouette D’une minute à l’autre en grinçant pirouette, Le martinet, sentant l’orage, près du sol Afin de l’éviter rabat son léger vol ; – Des arbres du jardin les cimes tremblent toutes. La pluie ! – Oh ! voyez donc comme les larges gouttes Glissent de feuille en feuille et passent à travers La tonnelle fleurie et les frais arceaux verts ! Des marches du perron en longues cascatelles, Voyez comme l’eau tombe, et de blanches dentelles Borde les frontons gris ! – Dans les chemins sablés, Les ruisseaux en torrents subitement gonflés Avec leurs flots boueux mêlés de coquillages Entraînent sans pitié les fleurs et les feuillages ; Tout est perdu : – Jasmins aux pétales nacrés, Belles-de-nuit fuyant l’astre aux rayons dorés, Volubilis chargés de cloches et de vrilles, Roses de tous pays et de toutes famines, Douces filles de Juin, frais et riant trésor ! La mouche que l’orage arrête en son essor, Le faucheux aux longs pieds et la fourmi se noient Dans cet autre océan dont les vagues tournoient. – Que faire de soi-même et du temps, quand il pleut Comme pour un nouveau déluge, et qu’on ne peut Aller voir ses amis et qu’il faut qu’on demeure ? Les uns prennent un livre en main afin que l’heure Hâte son pas boiteux, et dans l’éternité Plonge sans peser trop sur leur oisiveté ; Les autres gravement font de la politique, Sur l’ouvrage du jour exercent leur critique ; Ceux-ci causent entre eux de chiens et de chevaux, De femmes à la mode et d’opéras nouveaux ; Ceux-là du coin de l’oeil se mirent dans la glace, Débitent des fadeurs, des bons mots à la glace, Ou, du binocle armés, regardent un tableau. – Moi, j’écoute le son de l’eau tombant dans l’eau.
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