Henri Barbusse évoque les combats de la Première Guerre mondiale dans son roman Le Peu, Brusquement, devant nous, sur toute la largeur de la descente, de sombres flammes s'élancent en frappant l'air de detonations épouvantables. En ligne, de gauche à droite, des fusants' sortent du ciel, des explosifs sortent de terre. l...) On trebuche. on se retient les uns aux autres, dans de grands flots de fumée. On a le coeur souleve, tordu par l'odeur soufrée. Les souffles de la mort nous poussent, nous soulèvent, nous balancent. On bondit, on ne sait pas où on marche, Henri Barbusse, Le Feu, 1916.
a. Surlignez les phrases simples
b. Dans les phrases complexes, délimitez par des crochets les propositions. Quel signe de pone tuation les sépare ?
c. Pourquoi l'auteur emploie-t-il ce type de propositions ?