Leur univers quotidien : le travail, travail répétitif, tout le temps, éternellement, les machines, les meules, c’est l’usine
2. figure de style vers 7/8 : métaphore, la « machine sombre » est « monstre hideux ». Ces machines sont effrayantes pour les enfants et l’on voit les conditions de travail de ces pauvres enfants.
3. Le lecteur éprouve une réelle compassion pour ces enfants :
- « doux êtres pensifs » « anges »
- ces enfants sont en mauvaise santé « que la fièvre maigrit, quelle pâleur ! » ils sont « bien las, » , maigres, « rachitisme ».
- ce sont des vraies machines, leurs conditions de travail sont « infâmes »
4. procédés polémiques :
- c’est un véritable réquisitoire
*sur l’innocence de ces enfants, sur leur vie difficile et misérable
*sur le fait que ce sont des enfants, ils sont faibles, ne rient ni ne jouent (rachitisme, qui tue, bossu, …)
*des souffrances physiques et morales (ils sont exploités), ils sont seuls donc un manque d’affection aussi
*ce discours se veut aussi être argumentatif dans le sens où il dénonce la triste vérité du sort des enfants.
*l’indignation (vers16/17/25…)
*ce réquisitoire est contre la société moderne mais on peut dire aussi que le poète s’engage envers les enfants, qui sont faibles et ne peuvent pas se défendre seuls
5. vers 18 à 25 : personnification du travail
- « le souffle soufflant » , on retrouve aussi une allitération en « f » qui montre la pénibilité
- « qui tue , œuvre, insensée, la beauté sur les fronts » : le travail détruit la beauté de ces enfants, il tue
- le travail est mauvais pour les enfants : hyperboles « et qui ferait, d’Appolon un bossu de Voltaire un crétin »
- le travail prend et vole la jeunesse de ces enfants ( vers24)
- « une âme à la machine et la retire à l’homme » : l’industrialisation n’est pas un progrès en soi, puisqu’il détruit les enfants, les hommes en donnant leurs âmes aux machines
6. Réflexion sur le travail et le progrès :
Il est d’accord pour le progrès mais pas au détriment des enfants. Il faut que les lois évoluent pour que ces enfants puissent avoir une jeunesse normale, que le travail ne les accable pas, qu’ils puissent vivre en toute dignité, sans ces maltraitances physiques morales et psychiques.
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Réponse :
bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton devoir
1. Les informations fournies sont :
- ils travaillent quinze heures par jour (v .4)
- les filles aussi travaillent (v3)
- le travail est répétitif (v.5/6)…
- jamais on ne joue, jamais on ne s’arrête
Leur univers quotidien : le travail, travail répétitif, tout le temps, éternellement, les machines, les meules, c’est l’usine
2. figure de style vers 7/8 : métaphore, la « machine sombre » est « monstre hideux ». Ces machines sont effrayantes pour les enfants et l’on voit les conditions de travail de ces pauvres enfants.
3. Le lecteur éprouve une réelle compassion pour ces enfants :
- « doux êtres pensifs » « anges »
- ces enfants sont en mauvaise santé « que la fièvre maigrit, quelle pâleur ! » ils sont « bien las, » , maigres, « rachitisme ».
- ce sont des vraies machines, leurs conditions de travail sont « infâmes »
4. procédés polémiques :
- c’est un véritable réquisitoire
*sur l’innocence de ces enfants, sur leur vie difficile et misérable
*sur le fait que ce sont des enfants, ils sont faibles, ne rient ni ne jouent (rachitisme, qui tue, bossu, …)
*des souffrances physiques et morales (ils sont exploités), ils sont seuls donc un manque d’affection aussi
*ce discours se veut aussi être argumentatif dans le sens où il dénonce la triste vérité du sort des enfants.
*l’indignation (vers16/17/25…)
*ce réquisitoire est contre la société moderne mais on peut dire aussi que le poète s’engage envers les enfants, qui sont faibles et ne peuvent pas se défendre seuls
5. vers 18 à 25 : personnification du travail
- « le souffle soufflant » , on retrouve aussi une allitération en « f » qui montre la pénibilité
- « qui tue , œuvre, insensée, la beauté sur les fronts » : le travail détruit la beauté de ces enfants, il tue
- le travail est mauvais pour les enfants : hyperboles « et qui ferait, d’Appolon un bossu de Voltaire un crétin »
- le travail prend et vole la jeunesse de ces enfants ( vers24)
- antithèse « richesse, misère » « enfant, outil »
- « une âme à la machine et la retire à l’homme » : l’industrialisation n’est pas un progrès en soi, puisqu’il détruit les enfants, les hommes en donnant leurs âmes aux machines
6. Réflexion sur le travail et le progrès :
Il est d’accord pour le progrès mais pas au détriment des enfants. Il faut que les lois évoluent pour que ces enfants puissent avoir une jeunesse normale, que le travail ne les accable pas, qu’ils puissent vivre en toute dignité, sans ces maltraitances physiques morales et psychiques.