Nous sommes en Amazonie, je suis Tibou le chef avec une centaine de membres. La forêt est notre maison et nous nous y sentons bien. Nous vivons au rythme des saisons, des animaux, des naissances. Un jour, tout s'est arrêté dans la forêt, des bruits associés à des cris, des voix aiguës, puis graves, se sont avancées vers nous, je fis un signe pour que tout le monde se cacha en attendant mon signal. Quelle étrangeté, des humains sur pattes, différents de nous par les tissus qu'ils portaient, s'avançaient avec des bois pour se frayer un chemin. Ils marchaient sur nos terres. Tout d'abord, on les a observés et nous éprouvions une crainte certaine et une menace. Que voulaient-ils ? Nous sommes tous nés, ici, et nous mourrons là. Différents, ils le sont, mais très certainement, ils sont venus pour nous exterminer. Leur physique est bizarre, plus petit et habillé de partout. Ils avançaient vers nous, sans nous voir. Silencieux puis à mon signal correspondant au cri du houhou, nous leur sommes tombés dessus. Ce fut pareil à une attaque de guêpes, surpris et méfiants, l'un d'eux sorti de son sac, un morceau de tissu blanc, signe de la paix. Alors que nous les encerclions, je compris qu'ils ne comprenaient rien à mon langage et de même pour nous. Pourtant, un homme, le plus âgé me tendit sa main, je lui pris et nous comprîmes, que le danger n'était pas là. Ces humains, des autres mais inconnus de nous, sont repartis en direction de la lune. Quelle histoire !
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Nous sommes en Amazonie, je suis Tibou le chef avec une centaine de membres. La forêt est notre maison et nous nous y sentons bien. Nous vivons au rythme des saisons, des animaux, des naissances. Un jour, tout s'est arrêté dans la forêt, des bruits associés à des cris, des voix aiguës, puis graves, se sont avancées vers nous, je fis un signe pour que tout le monde se cacha en attendant mon signal. Quelle étrangeté, des humains sur pattes, différents de nous par les tissus qu'ils portaient, s'avançaient avec des bois pour se frayer un chemin. Ils marchaient sur nos terres. Tout d'abord, on les a observés et nous éprouvions une crainte certaine et une menace. Que voulaient-ils ? Nous sommes tous nés, ici, et nous mourrons là. Différents, ils le sont, mais très certainement, ils sont venus pour nous exterminer. Leur physique est bizarre, plus petit et habillé de partout. Ils avançaient vers nous, sans nous voir. Silencieux puis à mon signal correspondant au cri du houhou, nous leur sommes tombés dessus. Ce fut pareil à une attaque de guêpes, surpris et méfiants, l'un d'eux sorti de son sac, un morceau de tissu blanc, signe de la paix. Alors que nous les encerclions, je compris qu'ils ne comprenaient rien à mon langage et de même pour nous. Pourtant, un homme, le plus âgé me tendit sa main, je lui pris et nous comprîmes, que le danger n'était pas là. Ces humains, des autres mais inconnus de nous, sont repartis en direction de la lune. Quelle histoire !