Rédaction : écrire un incipit d'une nouvelle fantastique. Consigne: A l'aide de la séquence, vous devrez rédiger un incipit d'une nouvelle fantastique en introduisant et en développant un élément perturbateur. Vous êtes le narrateur-personnage. Introduisez au moins un personnages dans votre texte en plus de vous-même, un élément surnaturel qui vous fait peur, une description, des dialogues, un cadre spatio-temporel et des horizons d'attentes. Vous êtes libres de tout inventer, c'est votre imagination qui parle ! Faites une page au moins.
Au milieux d'hommes, de femmes, d'enfants, dans une foules amassée, dans la gare de St Etienne, un policier me pris le bras et me fit montée dans un wagon portant le nom de "services de prison". Je n'était encore qu'une enfant, mais je m'en souviens comme si c'était hier. Plus tard, dans la journée le train roulait et j'entendit par le haut-parleur: "Arrivée à la prison de Valence, dans 5 minutes". Je ne voulais être ni un des gardes stupides qui surveiller les prisonniers, ni un des prisonniers qui m'entourés dans le wagons. J'étais terroriser. Dès l'ouverture des portes de ce vieux wagons, je tenta de m'échapper, mais je fus bien vite rattrapé par un groupe de gardes qui me jetèrent en prison. J'étais enfermé par 4 murs, très dur et épais. A plusieurs reprise, j'essayai de casser un de ces murs. Après de nombreuses tentatives, j'étais fatigué, je m'assoupis.
Une troupes de morts vivants et de fantômes s'approchèrent de moi, j'eus très peur. Je me réveilla en pensant que toute cette journée n'était qu'un mauvais rêve. Cette journée, était bien réelle mais les monstres n'était qu'un vilain cauchemars. Il était déjà six heures du matin, et oui je le savais car j'avais toujours ma montre à aiguilles sur mon poignée.
Je réessaya de casser le mur, à ma grande surprise, je le traversa mais il n'était ni fissurer, ni casser. Je ni croyais pas. A ce moment là, je me souvint d'un livre que j'avais lu, il y a peu " Nina et le pouvoir de passé à travers les murs". Je me pinça pour vérifier que ce n'était qu'un rêve. "Aie" criai-je. Non ce n'était pas un rêve, j'étais passées à travers le mur.
Le garde c'était endormis, je passa discrètement devant lui et m'enfuit. Je fis de l'auto-stop, toute la matinée, jusqu'à ce qu'une gentil et jeune dame s'arrêta, elle s'appelait Camille et elle me raccompagna chez moi.
Je pris son numéro de téléphone, pour que l'on reste en contact, puis elle partit. Mon père avait étais à la gendarmerie, pour me chercher.
Papa ! hurlais-je, en commençant à pleurais. Mia, j'étais si inquiét, où était tu? dit-il
Et oui, Mia était mon prénom, je l'avais presque oublié. Je lui racconta tout ce qu'il c'était passer. Quelques années plus tard, je me rendit avec mon père chez Camille pour avoir de ses nouvelles... mais elle n'était pas là d'après ces proches, Camille aurait été reconnue pour m'avoir aidée (étant couplice) et fut jeté dans mon ancienne cellule de prison. Il fallait que je l'aide comme elle l'a fait pour moi.
Explications : n' oublie pas de rajouter des alinéas et de faire des paragraphes... et tu peux rajouter des choses ce texte est a toi.
Bonne Journée
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guillamonemma
Merci beaucoup mais c’est toi qui l’a crée si oui il est superb
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Réponse :
Au milieux d'hommes, de femmes, d'enfants, dans une foules amassée, dans la gare de St Etienne, un policier me pris le bras et me fit montée dans un wagon portant le nom de "services de prison". Je n'était encore qu'une enfant, mais je m'en souviens comme si c'était hier. Plus tard, dans la journée le train roulait et j'entendit par le haut-parleur: "Arrivée à la prison de Valence, dans 5 minutes". Je ne voulais être ni un des gardes stupides qui surveiller les prisonniers, ni un des prisonniers qui m'entourés dans le wagons. J'étais terroriser. Dès l'ouverture des portes de ce vieux wagons, je tenta de m'échapper, mais je fus bien vite rattrapé par un groupe de gardes qui me jetèrent en prison. J'étais enfermé par 4 murs, très dur et épais. A plusieurs reprise, j'essayai de casser un de ces murs. Après de nombreuses tentatives, j'étais fatigué, je m'assoupis.
Une troupes de morts vivants et de fantômes s'approchèrent de moi, j'eus très peur. Je me réveilla en pensant que toute cette journée n'était qu'un mauvais rêve. Cette journée, était bien réelle mais les monstres n'était qu'un vilain cauchemars. Il était déjà six heures du matin, et oui je le savais car j'avais toujours ma montre à aiguilles sur mon poignée.
Je réessaya de casser le mur, à ma grande surprise, je le traversa mais il n'était ni fissurer, ni casser. Je ni croyais pas. A ce moment là, je me souvint d'un livre que j'avais lu, il y a peu " Nina et le pouvoir de passé à travers les murs". Je me pinça pour vérifier que ce n'était qu'un rêve. "Aie" criai-je. Non ce n'était pas un rêve, j'étais passées à travers le mur.
Le garde c'était endormis, je passa discrètement devant lui et m'enfuit. Je fis de l'auto-stop, toute la matinée, jusqu'à ce qu'une gentil et jeune dame s'arrêta, elle s'appelait Camille et elle me raccompagna chez moi.
Je pris son numéro de téléphone, pour que l'on reste en contact, puis elle partit. Mon père avait étais à la gendarmerie, pour me chercher.
Papa ! hurlais-je, en commençant à pleurais. Mia, j'étais si inquiét, où était tu? dit-il
Et oui, Mia était mon prénom, je l'avais presque oublié. Je lui racconta tout ce qu'il c'était passer. Quelques années plus tard, je me rendit avec mon père chez Camille pour avoir de ses nouvelles... mais elle n'était pas là d'après ces proches, Camille aurait été reconnue pour m'avoir aidée (étant couplice) et fut jeté dans mon ancienne cellule de prison. Il fallait que je l'aide comme elle l'a fait pour moi.
Explications : n' oublie pas de rajouter des alinéas et de faire des paragraphes... et tu peux rajouter des choses ce texte est a toi.
Bonne Journée