Bonjour, pouvez- vous m'aider. Remplacez les verbes entre parenthèses par un passé simple ou imparfait.
Félicité est la servante de Madame Aubain, elle vit avec elle et ses deux enfants. Ce soir-là, ils rentrent de promenade. Un soir d'automne, on s'en (retourne) par les herbages. La lune à son premier quartier (éclaire) une partie du ciel, et un brouillard (flotte) comme une écharpe [...]. Des bæufs, étendus au milieu du gazon, (regardent) tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns (se lèvent), puis (se mettent) en rond devant elles. - « Ne craignez rien ! » dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle (flatte) sur l'échine celui qui se (trouve) le plus près ; il (fait) volte-face, les autres l'(imitent). Mais quand l'herbage suivant (est) traversé, un beuglement formidable (s'élève). C'(est) un taureau, que (cache) le brouillard. Il (avance) vers les deux femmes. Mme Aubain va courir.- «Non ! non! moins vite ! » Elles (pressent) le pas cependant, et (entendent) par-derrière un souffle sonore qui (se rapproche).
Félicité est la servante de Madame Aubain, elle vit avec elle et ses deux enfants. Ce soir-là, ils rentrent de promenade.
Un soir d'automne, on s'en retournait par les herbages. La lune à son premier quartier éclairait une partie du ciel, et un brouillard flottait comme une écharpe [...]. Des bœufs, étendus au milieu du gazon regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond devant elles.
- « Ne craignez rien ! » dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta sur l'échine celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent . Mais quand l'herbage suivant fut traversé, un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau, que cachait le brouillard. Il avança vers les deux femmes. Mme Aubain va courir.- «Non ! non! moins vite ! » Elles pressèrent le pas cependant, et entendirent par-derrière un souffle sonore qui se rapprochait.
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Félicité est la servante de Madame Aubain, elle vit avec elle et ses deux enfants. Ce soir-là, ils rentrent de promenade.
Un soir d'automne, on s'en retournait par les herbages. La lune à son premier quartier éclairait une partie du ciel, et un brouillard flottait comme une écharpe [...]. Des bœufs, étendus au milieu du gazon regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond devant elles.
- « Ne craignez rien ! » dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta sur l'échine celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent . Mais quand l'herbage suivant fut traversé, un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau, que cachait le brouillard. Il avança vers les deux femmes. Mme Aubain va courir.- «Non ! non! moins vite ! » Elles pressèrent le pas cependant, et entendirent par-derrière un souffle sonore qui se rapprochait.
5. Se levèrent 6. Se mirent 7. Flatta 8.Trouvait
9.fit 10. Imitèrent
11. Fut 12.S’éleva
13. C’était 14. Cachait 15. Avança 16.Pressèrent 17. Entendirent 18.se rapprochait