C’est un poème engagé parce qu’à travers ses vers le poète critique la guerre. C’est vrai qu’au début de la lecture on ne pense pas que ce soldat est mort. Il est calme, serein (la bouche ouverte, il dort, il et jeune, la nature est paisible, belle) mais lorsqu’on arrive au dernier vers, on s’aperçoit qu’il « a deux trous rouges), et que finalement il ne dormait pas mais était mort. Nous sommes obligés de relire ce poème pour trouver les indices qui nous conduisent à cette mort.
C’est une critique des méfaits de la guerre, celle qui emporte la jeunesse dans la fleur de l’âge.
Ce magnifique poème un poème engagé car il dénonce la cruauté de la guerre. Rimbaud a écrit ces vers lors de la guerre franco-prussienne de 1870, probablement inspiré par la bataille de Sedan. Le soldat parait endormi dans une Nature paisible et omniprésente qui semble accueillir bien chaleureusement. Mais le blessé n'est pas simplement assoupi dans ce val, serein; c'est un défunt, une victime de la violence de cette guerre. La tranquilité du tableau est subitement bouleversée par le dernier vers qui révèle enfin cette sinistre vérité.
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bonjour
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C’est un poème engagé parce qu’à travers ses vers le poète critique la guerre. C’est vrai qu’au début de la lecture on ne pense pas que ce soldat est mort. Il est calme, serein (la bouche ouverte, il dort, il et jeune, la nature est paisible, belle) mais lorsqu’on arrive au dernier vers, on s’aperçoit qu’il « a deux trous rouges), et que finalement il ne dormait pas mais était mort. Nous sommes obligés de relire ce poème pour trouver les indices qui nous conduisent à cette mort.
C’est une critique des méfaits de la guerre, celle qui emporte la jeunesse dans la fleur de l’âge.
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Ooooh, Rimbaud!! J'adore!!
Ce magnifique poème un poème engagé car il dénonce la cruauté de la guerre. Rimbaud a écrit ces vers lors de la guerre franco-prussienne de 1870, probablement inspiré par la bataille de Sedan. Le soldat parait endormi dans une Nature paisible et omniprésente qui semble accueillir bien chaleureusement. Mais le blessé n'est pas simplement assoupi dans ce val, serein; c'est un défunt, une victime de la violence de cette guerre. La tranquilité du tableau est subitement bouleversée par le dernier vers qui révèle enfin cette sinistre vérité.
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