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Réponse:

Voici les réponses aux questions que vous avez posées:

Chapitre 7: p.64 & 72

17. Les autorités ont découvert la cachette des enfants parce que quelqu'un les a dénoncés.

Le "rose des gendarmes français" fait référence à la couleur des uniformes des gendarmes français.

Les documents concernant les enfants contiennent plusieurs erreurs, notamment des fautes d'orthographe dans les noms des enfants et des incohérences dans les dates de naissance.

Chapitre 8: p.73 à 78

20. Les conditions de détention dans la première prison étaient très difficiles. Deux éléments spécifiques sont mentionnés dans le livre: les cellules étaient surpeuplées et les prisonniers étaient mal nourris.

Les catégories de population emmenées à Drancy étaient les Juifs et les étrangers.

Chapitre 9: p.79 à 88

22. Le camp d'internement de Drancy se situait en banlieue de Paris. Il était surveillé par la police française.

Les conditions de vie des enfants à Drancy étaient intolérables. Quatre éléments qui montrent cela sont: ils étaient mal nourris, ils n'avaient pas assez de place pour dormir, ils n'avaient pas de vêtements chauds pour l'hiver et ils étaient souvent malades.

"Pitchipola" était un terme inventé par les détenus pour désigner un endroit imaginaire où ils pourraient être libres.

L'oncle de l'auteur-narrateur connaissait de meilleures conditions d'internement parce qu'il avait une profession qui était utile pour les Allemands.

Chapitre 10: p.89 à 96

26. Après leur passage à Drancy, l'auteur-narrateur et sa soeur étaient très affaiblis et traumatisés. Pour chaque enfant, un élément physique et un élément psychologique sont:

L'auteur-narrateur avait perdu beaucoup de poids et était très faible physiquement. Psychologiquement, il était très anxieux et avait des cauchemars fréquents.

Sa soeur avait également perdu du poids et était très faible physiquement. Psychologiquement, elle était très craintive et avait peur d'être arrêtée à tout moment.

Chapitre 11: p.97 à 108

27. La mère de l'auteur-narrateur a échappé à la Gestapo et à la police française en se cachant dans un appartement loué par un ami.

28. Les Français qui l'ont aidée faisaient partie de la Résistance.

29. Même en zone libre, la mère de l'auteur-narrateur était exposée à des risques d'arrestation. Les gendarmes ne l'ont pas arrêtée parce qu'elle avait des faux papiers qui semblaient légitimes.

30.L'auteur-narrateur retrouve sa mère le 26 août 1944.

31.La mère et les enfants vivent cachés pour échapper aux arrestations. Trois mesures de précaution sont :

Changer souvent de cachette.

Éviter de sortir le jour pour ne pas attirer l'attention.

Éviter de parler à quiconque de leur situation.

32. Le contenu de la carte postale ne correspond pas à la réalité. En effet, la carte postale envoyée par les parents de l'auteur-narrateur depuis la Suisse donnait l'impression qu'ils étaient en sécurité et heureux, mais en réalité, ils étaient en exil et en danger.

33. L'attitude du curé est courageuse parce qu'il a caché des Juifs dans sa maison et qu'il a risqué sa propre vie pour les protéger des nazis.

34. La peur domine la vie de l'auteur-narrateur pendant cette période. Un élément du texte qui le montre est qu'il écrit : "Je n'osais pas bouger ni parler, de peur d'attirer l'attention sur nous".

35. L'auteur-narrateur est assimilé aux enfants chrétiens de son école parce que, pour éviter de se faire remarquer en tant que juif, il a adopté leur comportement et leur langage.

36. Le message code qui annonce le débarquement américain du 6 juin 1944 est : "Les carottes sont cuites