Remplacez « un étranger » par « deux étrangères » et faites toutes les transformations nécessaires.
Au coin de mon feu vint s’asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Il était morne et soucieux ;
D’une main il montrait les cieux, Et de l’autre il tenait un glaive. De ma peine il semblait souffrir ; Mais il ne poussa qu’un soupir, Et s’évanouit comme un rêve.
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Réponse :
bonjour
Explications :
Au coin de mon feu vinrent s’asseoir
Deux étrangères vêtues de noir,
Qui me ressemblaient comme deux soeurs.
Elles étaient mornes et soucieuses ;
D’une main elles montraient les cieux,
Et de l’autre elles tenaient un glaive.
De ma peine elles semblaient souffrir ;
Mais elles ne poussèrent qu’un soupir,
Et s’évanouirent comme un rêve.