Madame Dashwood à ses trois fillesoccupées à coudre : Nous sommes bien ici, nous avons bien fait de changer de demeure depuis la mort de votre père. cette maison nous convient mieux.
Sir Georges Middleton qui entre comme un habitué : je vous salue madame et vous souhaite l bonjour chères demoiselles. Je vous trouve toujours occupées et cela fait plaisir à voir.
Madame Dashwood avec amabilité : Comme nous ne recevons pas beaucoup, nous avons le temps pour l'ouvrage. D'ailleurs je ne verrai que les personnes chez qui je pourrai me rendre à pied en me promenant.
Trois jours plus tard, dans la campagne, Maria et sa petite soeur dans les bras montent le chemin de la colline.
Maria à sa petite soeur : Comme le ciel est bleu, comme la nature est verte ! je plains Elinor et maman de ne pas être venues avec nous.
Le temps se gâte et en courant maria trébuche et glisse sur la pente rapide.
Un gentilhomme vient à passer. Il intervient.
Le gentilhomme : puis -je vous aider ?
Maria fait signe oui de la tête. Il l'emporte dans ses bras et ramène les deux soeurs chez elles.
Le gentilhomme : excusez madame je vous prie mon intrusion chez vous sans être annoncé mais j'ai croisé mademoiselle qui visiblement s'est fait une entorse en courant. J'ai proposé mon aide.
Madame Dashwood avec reconnaissance : je ne sais comment vous remercier Monsieur et vous adresse mille mercis. Toute ma gratitude ! Asseyez-vous donc.
Le gentilhommer : je ne puis rester davantage .
Madame Dashwood : dites-moi monsieur à qui ai-je l'honneur ?
Le gentilhomme : Willoughby, nous sommes presque voisins, j'habite le château d'Altenham. Si vous le permettez, je passerai prendre des nouvelles de la jeune demoiselle. Mes hommages madame.
Il sort
Madame Dashwood : que ce gentilhomme est charmant et civil. Un galant homme, un vrai chevalier !
Les soeurs en choeur : un vrai Adonis !
Le lendemain visite de Sir Georges
Madame Dashwood : savez-vous que notre Maria a été secourue par un gentilhomme du voisinage, du nom de Willoughfy.
Sir Georges : Mais bien sûr.
Madame Daswood : vous le connaissez ?
Sir Georges : Il vient à Altenham chaque année. J'irai le voir et l'inviterai. C'est un garçon d'une belle éducation : charmant, chasseur, danseur, cavalier.
Madame Dashwood : Dites nous aussi ce qu'il aime.
Sir Georges : je ne sais mais il a deux adorables petites chiennes. Il vit chez sa grand tante madame Smith. Un beau parti.
Madame Dashwood : je ne crois pas qu'il puisse être capturé par l'une de mes filles mais je peux le recevoir.
Sir Georges : je me souviens l'avoir vu l'an dernier danser pendant des heures au petit bal au Park sans paraître fatigué.
Maria enthousiaste : cela me plaît. Voilà comment doit être un gentilhomme ! mais je ne songe pas à faire de conquête et personne n'a fait la mienne.
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Réponse :
La nouvelle demeure des Dashwood à Burton
Madame Dashwood à ses trois filles occupées à coudre : Nous sommes bien ici, nous avons bien fait de changer de demeure depuis la mort de votre père. cette maison nous convient mieux.
Sir Georges Middleton qui entre comme un habitué : je vous salue madame et vous souhaite l bonjour chères demoiselles. Je vous trouve toujours occupées et cela fait plaisir à voir.
Madame Dashwood avec amabilité : Comme nous ne recevons pas beaucoup, nous avons le temps pour l'ouvrage. D'ailleurs je ne verrai que les personnes chez qui je pourrai me rendre à pied en me promenant.
Trois jours plus tard, dans la campagne, Maria et sa petite soeur dans les bras montent le chemin de la colline.
Maria à sa petite soeur : Comme le ciel est bleu, comme la nature est verte ! je plains Elinor et maman de ne pas être venues avec nous.
Le temps se gâte et en courant maria trébuche et glisse sur la pente rapide.
Un gentilhomme vient à passer. Il intervient.
Le gentilhomme : puis -je vous aider ?
Maria fait signe oui de la tête. Il l'emporte dans ses bras et ramène les deux soeurs chez elles.
Le gentilhomme : excusez madame je vous prie mon intrusion chez vous sans être annoncé mais j'ai croisé mademoiselle qui visiblement s'est fait une entorse en courant. J'ai proposé mon aide.
Madame Dashwood avec reconnaissance : je ne sais comment vous remercier Monsieur et vous adresse mille mercis. Toute ma gratitude ! Asseyez-vous donc.
Le gentilhommer : je ne puis rester davantage .
Madame Dashwood : dites-moi monsieur à qui ai-je l'honneur ?
Le gentilhomme : Willoughby, nous sommes presque voisins, j'habite le château d'Altenham. Si vous le permettez, je passerai prendre des nouvelles de la jeune demoiselle. Mes hommages madame.
Il sort
Madame Dashwood : que ce gentilhomme est charmant et civil. Un galant homme, un vrai chevalier !
Les soeurs en choeur : un vrai Adonis !
Le lendemain visite de Sir Georges
Madame Dashwood : savez-vous que notre Maria a été secourue par un gentilhomme du voisinage, du nom de Willoughfy.
Sir Georges : Mais bien sûr.
Madame Daswood : vous le connaissez ?
Sir Georges : Il vient à Altenham chaque année. J'irai le voir et l'inviterai. C'est un garçon d'une belle éducation : charmant, chasseur, danseur, cavalier.
Madame Dashwood : Dites nous aussi ce qu'il aime.
Sir Georges : je ne sais mais il a deux adorables petites chiennes. Il vit chez sa grand tante madame Smith. Un beau parti.
Madame Dashwood : je ne crois pas qu'il puisse être capturé par l'une de mes filles mais je peux le recevoir.
Sir Georges : je me souviens l'avoir vu l'an dernier danser pendant des heures au petit bal au Park sans paraître fatigué.
Maria enthousiaste : cela me plaît. Voilà comment doit être un gentilhomme ! mais je ne songe pas à faire de conquête et personne n'a fait la mienne.
Sir Georges éclate de rire.
Explications :