C'était un jour de foire et les manèges battaient leur plein. les enfants se promenaient en tenant une barbe à papa. Près du marchand de nougat, je fus attirée par un bruit que je ne connaissais pas. Je m'approchai et vis un bonhomme souriant, barbu, portant un grand short de cuir et une sorte de chapeau tyrolien vert avec une petite plume. Il avait devant lui un instrument bizarre posé sur un gros trépied. Le bonhomme tournait une manivelle et il sortait de son instrument des cartons reliés en accordéon et perforés de petits trous. Les badauds commençaient à former un cercle. On reconnaissait des vieux airs : Sous les ponts de Paris, La Madelon, le dénicheur. C'était comme un orgue de barbarie. Quand trois morceau étaient finis, il faisait le tour du cercle et tendait un son chapeau pour récolter quelques pièces. Il souriait toujours et semblait visiblement content quand le public applaudissait ou donnait des pièces.
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Mw1
Merci beaucoup, je vais prendre ton texte … C'est top ! Merci, merci !!!!
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C'était un jour de foire et les manèges battaient leur plein. les enfants se promenaient en tenant une barbe à papa. Près du marchand de nougat, je fus attirée par un bruit que je ne connaissais pas. Je m'approchai et vis un bonhomme souriant, barbu, portant un grand short de cuir et une sorte de chapeau tyrolien vert avec une petite plume. Il avait devant lui un instrument bizarre posé sur un gros trépied. Le bonhomme tournait une manivelle et il sortait de son instrument des cartons reliés en accordéon et perforés de petits trous. Les badauds commençaient à former un cercle. On reconnaissait des vieux airs : Sous les ponts de Paris, La Madelon, le dénicheur. C'était comme un orgue de barbarie. Quand trois morceau étaient finis, il faisait le tour du cercle et tendait un son chapeau pour récolter quelques pièces. Il souriait toujours et semblait visiblement content quand le public applaudissait ou donnait des pièces.
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